Sujet :

Aimez-vous les uns les autres...

lepereboniface
   Posté le 26-04-2006 à 18:34:11   

Au dela des ethnies, des religions, des convoitises, des haines, etc... Pouvons nous nous aimer les uns les autres?
Verdad
   Posté le 26-04-2006 à 20:43:40   

Non, car nous sommes civilisés.
Atil
   Posté le 27-04-2006 à 16:52:26   

C'est ce "au-dela" qui nous permet de nous aimer les uns les autres.

Tant qu'on ne se tient pas au-dela on ne peut pas s'aimer.
PizzaMan
   Posté le 27-04-2006 à 18:26:12   

«Au delà» ça se situe où, exactement ?
Atil
   Posté le 28-04-2006 à 08:05:28   

Ca se situe la ou on ne voit plus la différence entre les hommes et les femmes, les pauvres et les riches, les intelligents et les ignorants.

Mais quel est le commun dénominateur à tous les hommes ?
Si c'est le fait qu'ils sont tous des êtres sensibles et capables de souffrir, ca ne fait pas de différence avec les animaux.

Au niveau ou tous les hommes sont égaux, il me semble qu'ils sont tous égaux également avec les autres êtres vivants.
PizzaMan
   Posté le 28-04-2006 à 16:37:53   

Ça ressemble de plus en plus à de l'utopie neu-neu...

Il me semble qu'en France, par-exemple, on tente d'ignorer les différences culturelles depuis plusieurs décennies. On lui donne même un nom : métissage. Vu les résultats désastreux qu'on connait encore, est-ce bien réaliste de prétendre que c'est là «où on ne voit plus la différence entre les hommes et les femmes, les pauvres et les riches, les intelligents et les ignorants».

Faire fi des différences entre les hommes, est-ce vraiment salutaire, compte tenu du fait que rien ne démontre que ce soit THE solution ? Au contraire, je constate que plus on tente de mêler les gens d'horizons différents, ça fout un sacré bordel.

J'ai résidé dans un immeuble peuplé par des gens financièrement à l'aise, et par des pauvres. Les premiers étaient souvent absents pour aller bosser, et les autres glandaient toute la journée, se couchaient très tard, et empêchaient les autres de dormir.
Ensuite je suis allé vivre dans un immeuble de gens riches, et c'était le calme plat, les gens se saluaient, ils étaient polis, etc.

Mais certains pauvres pouvaient aussi améliorer leur sort, et déménager dans les immeubles des riches. Comme moi.

Est-ce à dire que les différences sont utiles ? Je pense que si.
Atil
   Posté le 28-04-2006 à 18:24:24   

C'est leurs différences qui empèchent les gens de s'entendre.
Mais si on enlève toutes les diférences culturelles, alors tous les hommes se ressemblent.
Quelle que soit sa nationalité, sa religion ou sa culture, quand un homme soufre ou a faim, il soufre ou a faim comme tout le monde.

Le niveau ou les hommes sont "tous frêre" c'est celui ou l'on arrive à faire fi des différence culturelles.
Et faire fi des diférences culturelles ca ne veut pas dire faire comme si les autres cultures n'existaient pas : ca veut dire que TOUT LE MONDE cesse de s'opposer comme si la culture était une chose qui mérite qu'on la défende par la violence.
Il ne s'agit pas d'ignorer la culture des autres. : il s'agit de cesser de faire chier les autres au nom de SA culture... et d'empécher les autres de nous gfaire chier au nom de leur culture.
La culture est en quelque sorte notre ennemie commune quand on la met sur un piédestal.
Verdad
   Posté le 28-04-2006 à 18:35:30   

Pizza Man a écrit :

Ça ressemble de plus en plus à de l'utopie neu-neu...


Atil n'est pas neu-neu. Il simplifie à l'extrême à en devenir simpliste.

Nous sommes civilisés: veut dire que nous avons appris à faire des différences. Nous sommes devenus des singes savants, prétentieux et imbus d'eux-mêmes.
Parce que nous sommes blancs, alors nous sommes les "vrais". C'est normal de penser ainsi quand on est civilisé.
Lorsque l'on a appris à se regarder avec les filtres imposés par le politiquement correct, lorsque nous ne pouvons nous accepter nous-mêmes qu'a travers les canons de beauté, d'élégance, de niveau social, de mode de vie, alors nous nous détachons de plus en plus de la masse pour devenir des individus.
L'individu est l'opposé du groupe dans la notion, même s'il en est physiquement le constituant.
PizzaMan
   Posté le 28-04-2006 à 19:50:48   

«Il ne s'agit pas d'ignorer la culture des autres. : il s'agit de cesser de faire chier les autres au nom de SA culture... et d'empécher les autres de nous gfaire chier au nom de leur culture»


<o> Il sagit surtout de ne pas être envahissant.
On rend parfois visite à nos copains, mais on ne vit pas avec eux pour autant. Ils ont leur habitudes, et nous avons les nôtres. C'est pareil avec les cultures étrangères. Rien ne nous empêche de nous rencontrer, mais il faut respecter mutuellement nos limites également.
Atil
   Posté le 28-04-2006 à 20:11:30   

On devrait aller plus loin que le respect des cultures pour aller jusqu'à l'indiférence envers la culture.

Si un homme qui a un grain de beauté sur le bras gauche rencontre un homme qui a un grain de beauté sur le bras droit, vont-il respecter leur différence ? Il est plus probable qu'ils vont s'en foutre et l'ignorer tellement elle est superficielle.
Le jours ou les hommes ignoreront ainsi les différences culturelles et les tiendront pour des diférences superficielles, ils auront moins de raisons de s'opposer violemment.
PizzaMan
   Posté le 28-04-2006 à 20:48:08   

Tu disais plus haut qu'il ne faut pas faire fi de la culture, et maintenant tu prétends qu'il faut aller jusqu'à l'indifférence de la culture. Quelle différence ?
lepereboniface
   Posté le 28-04-2006 à 22:13:04   

Les êtres humains sont absolument identiques dans leur besoins naturels et sociaux. Donc, à la base il n'y a aucune raison pour qu'ils ne s'aiment pas pour peu que leur besoins minimaux soient satisfaits.

C'est quand les convoitises et les jalousies s'éveillent que les problemes commencent.. En instrumentalisant les religions, les ethnies, les differences pour dresser les uns contre les autres...

Et c'est pour cela que la vie devient de plus en plus difficiles et les rapports de plus en plus tendus...

Tout a été perverti!!
Verdad
   Posté le 28-04-2006 à 22:31:31   

La perversion vient de l'illusion de la connaissance qu'inculque la civilisation.
Atil
   Posté le 29-04-2006 à 07:47:06   

[quote]Tu disais plus haut qu'il ne faut pas faire fi de la culture, et maintenant tu prétends qu'il faut aller jusqu'à l'indifférence de la culture. Quelle différence ? [/quote]

Il faut connaitre la culture des autres pour comprendre leur comportement.
Mais les autres comme soi-même doivent etre conscients que ces diférences culturelles sontt une chose superficielle et de peu d'importance.
Il y a une diférence entre connaitre un fait et se braquer dessus comme si c'était un problème énorme.



[quote]vous ignorez ce que vous ne comprenez pas.
[/quote]

Le danger n'est pas de ne pas comprendre ce qu'on ne connait pas (qui serait capable de comprendre ce qu'il ne connait pas ?)
Le danger est de rejeter et de décrier une chose sous prétexte qu'on ne la comprend pas (... ou de vouloir la détruire).





[quote]Les êtres humains sont absolument identiques dans leur besoins naturels et sociaux. Donc, à la base il n'y a aucune raison pour qu'ils ne s'aiment pas pour peu que leur besoins minimaux soient satisfaits.

C'est quand les convoitises et les jalousies s'éveillent que les problemes commencent.. En instrumentalisant les religions, les ethnies, les differences pour dresser les uns contre les autres... [/quote]

Il y a la deux problèmes différents :
Les hommes sont semblables mais leurs cultures introduisent des éléments de différences artificielles qui peuvent les pousser à s'opposer violemment.
D'un autre coté, les hommes étant tous semblables, ils ont des besoins semblables (amour, nourriture, etc...) et donc ils peuvent aussi s'affronter pour la possession des mêmes ressources convoitées.
Le 1er problème est d'ordre culturel (il est au niveau du "surmoi" des psychanalystes) alors que le 2ème est d'ordreu naturel (au niveau du "ca" des psychanalystes).
Atil
   Posté le 30-04-2006 à 09:30:58   

Au dela des ethnies, des religions, des convoitises, des haines, etc... Pouvons nous nous aimer les uns les autres?


Aparemment même dans les forums c'est difficile.
lepereboniface
   Posté le 03-05-2006 à 00:04:08   

"Il y a la deux problèmes différents :
Les hommes sont semblables mais leurs cultures introduisent des éléments de différences artificielles qui peuvent les pousser à s'opposer violemment.
D'un autre coté, les hommes étant tous semblables, ils ont des besoins semblables (amour, nourriture, etc...) et donc ils peuvent aussi s'affronter pour la possession des mêmes ressources convoitées.
Le 1er problème est d'ordre culturel (il est au niveau du "surmoi" des psychanalystes) alors que le 2ème est d'ordreu naturel (au niveau du "ca" des psychanalystes)."
dixit Atil


"L'analyse marxiste est incontournable" comme le dit si bien Fernand Braudel. Il est vrai que deux societés de cuiltures differentes ou non peuvent s'affronter pour la possession de ressources mais une fois les besoins minimaux assouvis il n'y a plus aucune raison objective à des conflits.
La perversion des rapports survient quand un individu ou un groupe d'individus s'acharne à accumuler des ressources ou des biens, comme un animal predateur qui continue à tuer des proies meme si sa faim a été assouvie. C'est la tout le probleme des societés modernes dites 'capitalistes' ou la richesse devient un but et non un moyen.
Atil
   Posté le 03-05-2006 à 07:59:57   

Autrement dit, lorsque les besoins naturels deviennet exacerbés et amplifiés au-dela du raisonnable, cela peut être du à la culture.
Certaines cultures favorisent la sobriété et d'autres la démesure.
Ase
   Posté le 24-08-2006 à 13:27:09   

"Pouvons nous nous aimer les uns les autres?"

---> biensur. Jésus disait "aime ton prochain comme toi-même", il serait bon de commencer par "aimer son prochain PLUS que soi-même". Ceci passe par l'acceptation des autres tel qu'ils sont.

Tu as a aimé ce qui est Juste. Chaque être humain est un mendiant d'amour. On a des demandes et on essaye de combler nos demandes de diverses façons. Pour répondre a la demande d'un second, il faut deja accepter de regarder sa demande (dite ou non-dite). Ensuite regardant si cette demande est juste et que tu peut y faire quelque chose, tu peut voir comment y remédier dans la mesure de ce qui t'es possible et accessible. Il faut bcp de courage pour aider un ami et encore plus pour aider un second, un inconnu que l'on ne connait pas.

J'ai été très impressioné de l'hospitalité des pays syriaques (actuel liban et syrie) et des contrées de la mer ionienne. La chaleur humaine (conséquence de l'ouverture aux autres) est primordiale pour cette aide, hospitalité, amour.
Atil
   Posté le 25-08-2006 à 09:16:47   

Je me demande si l'hospitalité humaine n'est pas inversement proportionnelle à la richesse des peuples.
PizzaMan
   Posté le 25-08-2006 à 14:51:06   

Tout dépend à quelle richesse on fait référence. Celle de la culture, celle des banques, des ressources naturelles...
hepta
   Posté le 25-09-2006 à 16:39:30   

Jésus a dit 'aime ton prochain comme toi même', ça ne veut pas dire 'aimez vous les uns les autres' obligatoirement...
Atil
   Posté le 25-09-2006 à 16:52:27   

Si on ne s'aime pas soi_meme on fait quoi ?
hepta
   Posté le 25-09-2006 à 17:20:43   

c'est un très bon début !
Atil
   Posté le 27-09-2006 à 15:43:49   

Peut-être que le mieux n'est pas de s'aimer ou de se détester mais simplement de rester neutre.
flash
   Posté le 28-09-2006 à 10:41:14   

Bonjour Atil et bonjour à tous.

"Aimez-vous les uns les autres" introduit la définition de l’amitié.

La neutralité pourrait se définir aussi par l’absence de troubles (ataraxie) nécessaire pour accéder au bonheur selon Epicure.

Épicure pose la question de la sincérité de l'amitié.

Qu'est-ce qu'un véritable ami ? Comment définir l'amitié vraie ?

Pour Épicure, le véritable ami est avant tout celui qui prévient les besoins de l'autre, lui évitant ainsi les troubles de l'âme et lui permettant d'accéder à l'ataraxie (absence de troubles), notion qu’il aurait emprunté à Socrate (par l’intermédiaire du platonisme) (Hello Verdad, relaxe ! je cite Socrate juste pour les besoins de compréhension) concernant ses préoccupations morales (recherche du bonheur).

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89picure

Quels sont nos besoins les uns et les autres ?

Notions indispensables à connaitres pour faire ami-ami !
Atil
   Posté le 28-09-2006 à 13:23:24   

Mais si on prévient les besoins des autres, on ne les aide pas à trouver la véritable ataraxie.
C'est dans les emmerdes qu'on voit si on a ou pas la vraie ataraxie.
hepta
   Posté le 28-09-2006 à 16:44:21   

mais l'amour universel c'est un leurre !
tu ne peux pas tomber amoureux de ton voisin qui te fait chier tous les matins a la meme heure quand il sort faire pisser son clebs ou tire sa chasse d'eau !
tu ne peux aimer que celui qui tu reconnais comme ton egal, ton ami, ton image, ton double ou ton complément.
si tu détiens le pouvoir de faire voir aux autres la vie eternelle, alors tu tends la joue gauche a celui ki t'a giflé la droite. en faisant ça, tu l'enterre 2 fois, mais en même temps tu es forcé d'avoir mal de voir que celui ci ne verra jamais la vie que tu lui proposais... maintenant si tu tends l'autre joue pour appliquer une 'règle' de ta religion sans detenir le sens réel de l'acte, et donc sans detenir 'le trésor' que tu pourrais donner a l'autre, alors tu es dans l'hypocrisie pure et simple.
Atil
   Posté le 29-09-2006 à 23:00:30   

On imagine trop souvent un truc sentimental quand on parle d'amour dans le domaine spirituel.
Mais ca n'a rien à voir.
L'amour spirituel est plutôt une sorte de fraternité, d'amitié, d'harmonie entre les membres de la société. On se sent solidaires car on fait partie d'un même tout, qu'on est embarqué dans la même galère.
oeilduneant
   Posté le 30-09-2006 à 09:44:40   

On ne peut aimer autrui que s'il nous est d'une quelconque utilité.
Et pour ceux qui m'objectent qu'aider un sans abri ne nous est pas utile, songez que si nous désirons et apprécions de le faire c'est que c'est un acte gratifiant pour nous et qu'en ce sens il nous est utile car il porte notre égo encore un peu plus haut.
Aimer un être qui vous fait du mal ? Ca n'est pas naturel, c'est la socio-culture qui vous a appris que c'est de la bonté et que cela élève l'homme, ce qui est sensé contribuer à son bonheur, ce qui lui est utile, donc.
Je ne dis pas que les deux exemples ci-dessus sont d'une réelle utilité à l'homme, je dis juste que ceci est valable dans le cadre de notre société moderne.
Atil
   Posté le 30-09-2006 à 14:45:28   

Le vrai amour ne s'occupe pas de l'utilité pour moi mais de l'utilité pour l'ensemble de la société.
A ce stade on ne voit plus un riche qui aide un pauvre mais mais des membres d'une même société qui intéragissent pour que l'ensemble de la société fonctionne de manière optimale.
PizzaMan
   Posté le 30-09-2006 à 15:15:52   

Voyons ! Comment peut-on mettre un visage sur le véritable amour, quand on n'en a pas un seul exemple... Il n'y a pas une seule période dans l'histoire où les hommes se seraient globalement préoccupé du sort de l'ensemble.
flash
   Posté le 30-09-2006 à 16:33:09   

Salut Pizza Man et bonjour à tous.

Mais bien sur que si ! On peut mettre un visage sur le véritable amour ! C'est Muhammad !

l'Islam édifie tout un système moral extrêmement élevé grâce auquel l'humanité peut réaliser pleinement son potentiel.

L'Islam purifie l'âme. La soumission permanente du musulman à la volonté divine, crée une atmosphère de religiosité, dans laquelle baigne son existence. Cette soumission représente la motivation fondamentale de sa vie morale.

http://www.islamfrance.com/systememorale.html

CLÉ DU DIALOGUE AVEC NOS FRERES MUSULMANS
http://www.diafrica.org/nigeriaop/kenny/wafr/DefaultKinAf.htm

Ceux qui ne sont pas d'accord avec la morale islamique sont voués à disparaître pour immoralité ! Ca c'est de l'Amour ou je m'y connait pas !
Atil
   Posté le 30-09-2006 à 18:11:46   

Il semble pourtant que les peuples les plus primitifs étaient bien plus collectivistes que nous.
Chez eux l'individu n'existait pas : seul le clan ou la famille comptait.
Verdad
   Posté le 30-09-2006 à 18:15:46   

Pizza Man a écrit :

Voyons ! Comment peut-on mettre un visage sur le véritable amour, quand on n'en a pas un seul exemple... Il n'y a pas une seule période dans l'histoire où les hommes se seraient globalement préoccupé du sort de l'ensemble.


Bien vu Pizza Man


Personne ne peut imposer à la collectivité sa vision de l'amour. Il n'en est pas d'unique, pas d'universelle. De plus, l'amour s'inscrit dans le temps. On ne peut donc parler d'amour éternel.
Il se peut que pendant un instant, la conscience de chaque individu ait communié et se soit muée en pensée collective et unviverselle.
Mais cela n'a pas duré, et personne ne s'en ai rendu compte.
Atil
   Posté le 30-09-2006 à 18:46:49   

Les religions et les cultures, véhiculent cependant leur vision de l'amour et celle-ci s'impose à des peuples entiers.
Verdad
   Posté le 30-09-2006 à 21:10:27   

Atil a écrit :

Les religions et les cultures, véhiculent cependant leur vision de l'amour et celle-ci s'impose à des peuples entiers.

En surface Atil.
Les dons se font lorsqu'il y a réduction d'impôts.
Le reste n'est que mimiques de circonstance, phrases emphatiques et creuses.
La réalité, c'est que ce qui arrive au voisin, on s'en bat les couilles.

Je ne suis pas agressif, juste un peu vulgaire.

Je demande à ne pas être modéré sur ce message.
Atil
   Posté le 30-09-2006 à 21:29:10   

Je parlais plutôt de la manière dont on concoit l'amour.
Les occidentaux le voient comme un truc assez romantique.
Les peuples de l'hymalaya ou d'Afrique comme une union à caractère pratique.
Les chinois comme "l'union d'un révolutionnaire male et d'un révolutionnaire femelle dans l'intéret du parti".
Etc ...
Verdad
   Posté le 30-09-2006 à 21:31:06   

Ne mélangerais-tu pas volontairement les genres, Atil?
L'amour existant entre un homme et une femme (ou entre deux personnes qui ont envie l'une de l'autre pour faire simple et ne pas être accusé d'homophobie) n'a rien à voir avec le message du Christ.
Atil
   Posté le 30-09-2006 à 22:18:24   

Ca dépend pour qui.
Beaucoups de gens confondent l'amour du christ avec un amour du genre sentimental.
Un amour plutôt du genre d'un père envers ses enfants que d'un mari envers sa femme évidemment.
Verdad
   Posté le 01-10-2006 à 07:54:34   

L'amour ou intervient un besoin/envie sexuel n'est pas de la même catégorie que les autres.
Je ne dis pas qu'il est en dessous, ou au dessus! Il ne fait pas partie de la même famille de sentiments, c'est tout.
Par contre, il peut se transformer au cours du temps.
Atil
   Posté le 01-10-2006 à 08:27:08   

Pour moi un homme qui ne pense qu'au sexe n'est qu'un esclave de la partie la plus primitive de son cerveau.
Les femmes méprisent assez souvent ce genre d'homme.
Pourtant elles ne valent pas mieux : Celles qui ne pensent qu'aux mignonspetitsbébés sont également esclaves de la partie la plus primitive de leur cerveau.
Verdad
   Posté le 01-10-2006 à 09:54:32   

Atil a écrit :

Pour moi un homme qui ne pense qu'au sexe n'est qu'un esclave de la partie la plus primitive de son cerveau.
Les femmes méprisent assez souvent ce genre d'homme.
Pourtant elles ne valent pas mieux : Celles qui ne pensent qu'aux mignonspetitsbébés sont également esclaves de la partie la plus primitive de leur cerveau.


Si l'on s'écoute, on va finir par avoir des points communs!

Je trouve effectivement d'une grande stupidité ces femelles s'ébaubissant devant un tas de chairs frippées et braillardes. Pour capter leur attention, il suffit de leur présenter un de ces machins appelé bébé. Un peu comme un mec perd son cerveau devant une belle nana.
Atil
   Posté le 01-10-2006 à 17:29:48   

Pour vendre des produits, la pub connait un moyen facile : il siffit de les présenter avec des femmes en petite tenue ou avec des mignonspetitsbébés.
PizzaMan
   Posté le 01-10-2006 à 17:45:00   

Il paraît qu'il y a une baisse d’activité cérébrale face à une pub télé, qu'on peut identifier grâce à l’émission d’ondes alpha. La TV nous met donc dans un état réceptif passif. C'est l'explication logique qui explique pourquoi on peut vendre des produits en présentant une jolie fille en tenue légère, ou avec un mignonpetitbébé.
Verdad
   Posté le 01-10-2006 à 17:55:38   

Bien vu, admirable, beau, bon, brillant, caractéristique, considérable, distingué, éblouissant, éclatant, émérite, éminent, épatant, étincelant, étonnant, excellent, exceptionnel, extraordinaire, fameux, fin, formidable, frappant, glorieux, grand, haut, important, incomparable, insigne, intéressant, magistral, marquant, marqué, mémorable, notable, original, parfait, premier, prestigieux, rare, réussi, saillant, saisissant, signalé, singulier, spécial, supérieur, surprenant, transcendant, Pizza Man

On peut cependant observer des comportements similaires face à une jolie fille ou un mignonpetitbébé dans la vie courante.
Moins lorsque la maman vient prendre sa priorité à la caisse du supermarché surbondé, mais dans la vie professionnelle par exemple, rien ne vaut la photo du petit dernier pour faire roucouler toutes les femelles.
hepta
   Posté le 02-10-2006 à 21:05:57   

et après vous direz qu'on ne cherche pas a faire 'non penser' la populace (lol) (ondes alpha) re lol.

l'homme est guerrier et pense avec sa qu.... , la femme est soumise et rève de faire des bébés, ils regardent l'étoile dans le ciel et revent d'y aller un jour, le tout en pensant vivre au juste poid égal dans la balance, sous le regard d'un dragon [phrase subliminale]
Atil
   Posté le 02-10-2006 à 21:46:31   

Pas étonnant que les moines recherchent l'ascèse.
Mais est-ce la solution ?