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 Barack Obama

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Ase
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   Posté le 03-11-2008 à 13:16:56   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

sources:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Barack_Obama
http://www.blogg.org/blog-11851-billet-biographie_de_barack_obama-736771.html


Biographie de Barack Obama

L'enfance et la jeunesse de Barack Obama

Barack Hussein Obama est né le 4 août 1961 à Honolulu dans l'Etat de Hawaï. A l'époque, ses parents sont un jeune couple mixte (son père est noir et sa mère blanche) étudiant à l'université de Hawaï. Sa mère, Ana, originaire du Kansas, est une descendante de Jefferson Davis le président des Etats confédérés du sud des Etats Unis durant la guerre de sécession mais à également du sang cherokee[0]. Son père, Barack Obama Sr est un économiste kenyan et de confession musulmane appartenant à l'ethnie Luo. Ses parents se séparent alors qu'il n'a que deux ans, il ne reverra son père, alors ministre de l'économie et des finances au Kenya, qu'en 1982 quatre avant sa mort dans un accident de la circulation. Il part alors vivre à Djakarta avec sa mère et son nouveau mari d'origine indonésienne. A l'age de dix ans il rentre à Hawaï pour des raisons scolaires et étudie dans la prestigieuse académie Punahou réservée à l'élite de l'Etat.[1] Ainsi la vie du jeune Barack Obama est très emblématique d'une Amérique multiraciale et multiculturelle.

Après le Lycée, Barack Obama part étudier 2 ans à l'Université de Californie, puis intègre la prestigieuse université de Columbia à New-York où il obtient un diplôme en science politique et en relations internationales.

Après avoir travaillé dans la finance à Chicago (il y commenca une carrière professionnelle comme analyste d'affaires d'une grande compagnie financière), où il se convertit au christianisme, en 1984, il choisit de travailler comme animateur social dans le quartier noir défavorisé de Bronzeville. Il devient adjoint de Jerry Kellman un travailleur social chrétien, membre d'un réseau d'églises progressistes. Jusqu'en 1987, Barack Obama, surnommé « Baby Face » par les pasteurs locaux, arpente South Side pour aider les résidents à s'organiser dans la défense de leurs intérêts, pour obtenir le désamiantage des logements sociaux, l'ouverture de bureaux d'embauche ou pour lutter contre la délinquance des jeunes. C'est durant cette période que Barack Obama, élevé sans religion, se rapproche de l'Église unie du Christ, dirigée dans le quartier par le pasteur Jeremiah Wright et se convertit au christianisme.

Obama quitte Chicago en 1987 pour trois ans afin d'étudier le droit à la faculté de droit de Harvard (Harvard Law School) à Cambridge près de Boston dont il sera diplômé magna cum laude avec félicitations du Jury. En 1990, il y devient le premier métis rédacteur en chef de la prestigieuse revue juridique, Harvard Law Review, élu face à 18 autres candidats.


Son début de carrière

À la fin de ses études, au lieu de devenir adjoint au juge Abner Mikva, Barack Obama revient à Chicago dans le South Side[2], l'une des zones les plus défavorisées de la ville, qui devient dès lors sa base politique et son « laboratoire » social pour mettre en œuvre son projet politique.

En 1992, il épouse Michelle Robinson, juriste originaire de Chicago rencontrée en 1989 dans le cabinet d'avocats où il travaille et où elle est avocate associée. Le couple Obama aura deux filles, Malia Ann (née en 1998) et Natasha (née en 2001). Michelle Robinson-Obama est alors une avocate renommée, figure influente du Parti démocrate local et proche du maire de Chicago, Richard M. Daley. C'est elle qui va propulser la carrière politique de son époux alors qu'il n'a, jusque là, milité activement que pour soutenir la candidature de Bill Clinton à la présidence des États-Unis et celle de Carol Moseley-Braun au Sénat.

En 1992, il est très actif pour l'élection de Bill Clinton à la fois pour les primaires démocrates mais aussi pour la course à la maison blanche face à George Bush Sr. Toutefois ce qui lui ouvre les portes de la politique avec une envergure nationale c'est son dynamisme et sa connaissance des dossiers dans le cadre de la campagne pour l'élection au sénat Carol Moseley Braun pour l'Etat de l'Illinois la même année. Cette dernière lui ouvre les portes du parti démocrate local et lui fait rencontrer de hauts personnages du parti à Washington. Durant la même période, il devient associé dans un cabinet d'avocat spécialisé dans les droits civiques, et enseigne le droit constitutionnel à l'université de Chicago.

Une carrière politique en plein élan (1994-2004)

En 1996, Barack Obama est élu au Sénat de l'État de l'Illinois dans la 13e circonscription, couvrant les quartiers sud de South Side à Chicago, comprenant le quartier de Hyde Park. Il préside la commission de santé publique quand les démocrates reprennent la majorité au Sénat local.
Il soutient les législations en faveur de l'extension de la couverture médicale aux plus démunis, se fait le défenseur de la cause des homosexuels et fait augmenter les fonds destinés à la lutte contre le SIDA. Son mandat est marqué par sa capacité à obtenir, par le biais de compromis, l'assentiment des républicains sur des lois comme celles contre le profilage racial, la surveillance vidéo des interrogatoires de police ou un moratoire sur l'application de la peine de mort dans l'Illinois.

Son style est proche de celui de Bill Clinton (charisme, proximité avec les électeurs, visite des églises, projets en faveur des défavorisés, etc...).

En 2000, candidat démocrate à l'investiture aux élections de la chambre des représentants, il est battu aux primaires de son parti par le représentant sortant.[3]

Après la défaite du vice président Al Gore face à George W. Bush en 2000, il devient l'une des flèches montantes du parti à la recherche de sang neuf. Ainsi, en juillet 2004, il est acclamé de façon triomphale par les délégués démocrates lors de la convention désignant John Kerry comme candidat démocrate à l'élection présidentielle. A ce titre il est très intéressant de noter l'ordre des principaux discours officiels, les derniers à s'exprimer étant les plus influents : Ted Kennedy[4] , Al Gore, Hillary Clinton, Bill Clinton, Barack Obama, John Edwards et enfin John Kerry. Bien qu'il soit le moins connu de tous ces orateurs, il s'est exprimé en dernier juste avant les candidats du « ticket » car en plus d'être la valeur montante du parti, il est à l'époque candidat au poste de sénateur de l'Etat de l'Illinois, Etat foncièrement acquis aux républicains. Surtout en cas de victoire il deviendrait le cinquième sénateur noir de l'histoire des Etats-Unis. A la tribune de la convention il fait l'apologie du rêve américain, expliquant qu'il prend la parole après avoir été annoncé par le Président Clinton[5], lui « le type maigre, noir avec un drôle de nom, ce qui prouve qu'il n'y a pas une Amérique noire, une Amérique blanche et une Amérique hispanique : il y a les Etats-Unis d'Amérique (...) et son peuple va réussir à panser les plaies qui remontent à plusieurs siècles dans ce pays ».

Sa campagne pour les sénatoriales est également menée d'une main de maître. Les primaires ne sont qu'un parcours de santé pour l'avocat métis qui obtient presque 91% des voix face à sept autres adversaires, parmi lesquels figurent un millionnaire très populaire et le chef du parti démocrate de l'Illinois. Les républicains ont du mal à trouver un adversaire capable de faire face au candidat démocrate. Tout d'abord, c'est Jack Ryan, un riche banquier très doué dans la communication, et qui avait une très bonne présentation, mais son aspect moraliste est balayé par des révélations sur les circonstances de son divorce, et son goût prononcé pour les clubs échangistes. Le parti de l'éléphant décide alors d'investir un concurrent noir pensant que l'Etat étant traditionnellement aux républicains, si la force d'Obama se situe à un niveau racial celui-ci n'aurait plus aucun avantage face à un candidat noir et républicain.

L'ancien ambassadeur à l'UNESCO Alan Keyes accepte de se lancer dans la course pour le parti républicain. Le fair-play de Barack Obama a incontestablement joué en sa faveur lorsqu'il déclare que le fait d'avoir poussé les républicains à choisir un candidat noir est une demi victoire pour lui, et que donc le « Sénat des Etats-Unis d'Amérique ne serait plus tout blanc ». Toutefois les républicains ont commis une erreur d'une importance cruciale que l'équipe Obama va utiliser avec intelligence. Le but était de faire de Keyes l'opposé totale de Barack Obama. Tout d'abord il est très fantasque et appartient à la branche la plus ultra conservatrice du parti républicain, ce qui est à l'opposé total du sérieux et de la rigueur sur les dossiers, que toute la classe politique reconnaît à son adversaire démocrate. De plus il vient tout droit du Maryland et n'a jamais vécu dans l'Illinois (rappelons que Barack Obama, dès sa sortie de l'université, s'est installé à Chicago et a fait de South Side son laboratoire politque et social) or lorsque Hillary Clinton a déménagé à New York pour se faire élire au sénat, Alan Keyes a été le plus virulent républicain à dénoncer ces méthodes qui constituent « un abus de la démocratie » ce que Barack Obama n'a pas manqué de lui faire remarquer. De plus, face aux soutiens des grands caciques républicains pour Alan Keyes, le candidat démocrate a choisi comme appuis plus symboliques comme le fils du charismatique Révérend Jessie Jackson, élus à la chambre des représentants. Ceci est très intéressant car Barack Obama est considéré comme le successeur de Jessie Jackson en matière de défense des minorités au sein du parti et comme bien plus crédible qu'Al Sharpton.

Par ailleurs au niveau de l'Etat il est le protégé du Président du sénat de l'Etat de l'Illinois, Emil Jones, le « faiseur de roi » dans la région que Barack Obama surnomme d'ailleurs son « rocher de Gibraltar ».

Il préfère les contacts plus personnels, que se soit avec les élus locaux ou avec la population locale, n'hésitant pas à s'arrêter sur la route pour organiser un mini débat improvisé avec des électeurs hostiles à ses positions (avortement, droits des gays ou guerre en Irak[6]). Après avoir tout écouté, il insiste sur le respect des opinions de ses adversaires, et affirme qu'aucune piste de réflexion ne sera exclue s'il est élu au sénat. Il est décrit comme attentif sans pour autant s'attarder ; « quand d'autres parlent pendant des heures dans des salles toujours pleines, lui écoute, deux doigts sur le menton. Rien n'échappe à ses yeux mobiles. », selon le reporter du New York Times qui a suivi sa campagne.

Il sait également frapper fort ses adversaires. C'est ainsi qu'il a humilié Jack Ryan, le premier candidat républicain, avant qu'il ne doive se retirer. En effet, en pleine conférence de presse, il dénonce en l'indexant le « tracker »[7] de son adversaire, affirmant que ce dernier le suit y comprit aux toilettes. Il fait cela en l'interpellant en direct à la télé par son nom, et révèle que ce dernier à enregistrer ses conversations personnelles. Les journalistes furent interloqués par une possible affaire d'écoute, ce qui ruine une campagne en quelques heures dans la vie politique américaine et ceci encore plus depuis le watergate. Tout cela précipite la chute de Ryan, en quelques minutes au cours d'un direct à la télé, sans pour autant donner le rôle de celui qui « achève » à Barack Obama, mais au contraire celui de victime honnête et intègre qui tente de faire une campagne propre. De l'avis des observateurs, en particulier du New York Times, et même de la très conservatrice chaîne de télévision Fox News, ceci fut un coup de maître.

Le 2 novembre 2004 il est élu triomphalement au Sénat des Etats-Unis d'Amérique avec 70% des voix contre 27% pour Alan Keyes. Il obtient donc les voix des minorités, mais aussi celles de près de 76% des électeurs blancs convaincus par le nouveau style politique du candidat noir.

Un candidat post-racial

Barack Obama a su donner à son discours, une dimension plus large que l'aspect communautaire, ce qui lui confère une autorité et une crédibilité manifeste au sein des autres communautés. Ceci est aussi lié au fait qu'il assume complètement son ascendance métisse[8]. Il ne cherche pas à se faire élire en flattant les communautés afro américaines, ces communautés le trouvant trop clair de peau, trop diplômé et trop proche du milieu politique blanc selon eux au sénat de l'Etat. Barack Obama a toutefois comme point fort que ses études et son poste de directeur de la Harvard Law Review aurait pu lui ouvrir une carrière d'avocat millionnaire, mais il a choisi malgré de très nombreuses propositions, d'enseigner à l'université et de s'engager politiquement dans le South Side. Cependant il n'a aucune complaisance à l'égard de sa communauté et à l'occasion de sa campagne, demande aux parents de jeunes noirs « d'éteindre la télévision et d'éradiquer cette stupidité consistant à dire qu'un jeune noir avec un livre se comporte comme blanc ». De plus, pour se faire élire au sénat il ne suffit de convaincre une circonscription, qui peut être à majorité blanche ou noire mais tout l'Etat. Ainsi il n'hésite pas à aller rencontrer les paysans de la plaine illinoise où tout en s'opposant à la guerre en Irak, face à un public qui y est favorable, il assure à son auditoire d'ouvriers syndiqués et d'agriculteurs subventionnés que le protectionnisme pourrait revenir les hanter, en prônant la libre concurrence, l'initiative individuelle et une meilleure protection sociale. Il engage un réel dialogue avec le monde très blanc de la politique. On le considère comme le premier candidat post racial dont les thèmes de campagne sont une meilleure justice sociale et une réduction du fossé entre les nantis et les laissés pour compte du rêve américain.

Quel avenir pour Barack Obama ?

Barack Obama porte bien son prénom qui signifie en Swali « béni des dieux », il semble promis à une carrière nationale. Son positionnement atypique, c'est-à-dire très à gauche sur le domaine social mais pour une réelle compétitivité et un accès par le mérite à la réussite sociale, et de plus ses valeurs familiales lui offrent une vraie perspective. Certes il n'est pas sûr que l'Amérique soit prêt à accepter un Président noir en 2008 mais un bon score aux primaires de la présidentielle pourrait lui ouvrir les portes de la vice présidence, et donc celles du bureau ovale par la suite.

Il est très pressenti pour être sur un ticket avec John Edwards voire Hillary Clinton s'il bat ce dernier lors des primaires.

Après son fameux discours lors de la convention démocrate en juillet 2004, les forums des sites démocrates le comparaient à Bill Clinton : « Hilary Clinton n'a qu'à bien se tenir, écrivait un militant. Elle pourra prétendre aux Affaires étrangères lorsque Obama sera à la maison blanche en 2012 ». Lors de la campagne d'Obama pour les sénatoriales en novembre 2002, la représentante de l'Illinois, Jan Schakowsky, était reçue à la Maison Blanche, vêtue d'une veste ornée d'un gros badge « Obama ». Le Président Bush eu un mouvement de recul croyant lire « Osama », la représentante de l'Illinois, sentant un malaise, lui expliqua qu'il s'agissait de « Obama », ce à quoi le Président lui répondit « connais pas » en grommelant. Elle lui répondit « vous en entendrez bientôt parler », et effectivement, il en a entendu parler comme un des prétendants à sa succession, mais surtout comme l'un des plus grands espoirs de la scène politique américaine.



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[0] Sa mère, Stanley Ann Dunham (1942-1995), est née sur une base militaire du Kansas dans une famille américaine et chrétienne, mais est elle-même agnostique. Elle est l'enfant de Stanley et Madelyn Dunham.
Après avoir combattu en Europe dans l'armée de George Patton pendant la Seconde Guerre mondiale, Stanley Dunham devient vendeur représentant en meubles. Madelyn Dunham a travaillé dans les usines aéronautiques de Wichita en 1941 pendant la guerre puis est devenue employée de banque. La famille Dunham déménage sans cesse, à la recherche de travail. Ils habitent successivement la Californie, le Kansas, le Texas, l'État de Washington avant de partir pour Hawaii en 1969. Stanley Ann y suit des études d'anthropologie à l'université d'Hawaii quand elle rencontre Barack Sr. Par son grand-père maternel, Barack Obama a du sang cherokee

[1] La famille royale d'Hawaï y a toujours inscrit ses héritiers.

[2] Qu'on appelle aussi le Harlem de Chicago

[3] Ceci n'est pas une défaite humiliante le taux de réélection étant de plus de 90% pour les sortants de la chambre des représentants qui doivent se soumettre au suffrage de leurs électeurs tous les deux ans.

[4] Depuis 1960 il y a toujours eu un Kennedy pour s'exprimer lors de la Convention. D'ailleurs son discours fut très apprécié, il y a beaucoup cité son frère le Président John F. Kennedy ainsi que le Président Roosevelt rappelant que « le Président Roosevelt nous as enseigné qu'il ne fallait avoir peur que de la peur elle-même mais après des guerres sans justifications, un mépris des droits civiques, pourtant à la base de notre nation, après l'image désastreuse de notre pays dans le monde et une situation économique dramatique, je pense que la seule chose dont nous devons avoir peur c'est quatre années de plus de George W. Bush ».

[5] En effet à la fin de chaque discours l'orateur qui finit son discours annonce le prochain orateur, or Barack Obama s'est exprimé après Bill Clinton alors que l'on pensait que le dernier président en date allait annoncé les candidats du ticket et donc s'exprimé en dernier, mais ce fut à Barack Obama que revint cette honneur.

[6] A ce sujet il affirme ne pas être opposé à toutes les guerres mais « juste aux guerres déclenchées pour des raisons idiotes ».

[7] Chaque candidat, pour une élection importante, confie à un membre de son équipe la mission de suivre son adversaire, noter, enregistrer tout ce qu'il dit et fait, afin de l'utiliser contre lui.

[8] Ceci tant au niveau de l'origine de ses parents que des lieux où il a vécu, les écoles fréquentées (musulmane en Indonésie et catholique à Hawaï),

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Ase
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   Posté le 04-11-2008 à 15:28:01   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

aucune remarque ?

Allez quelques idées a débattre :

- diplomé d'Harvard avec félicitations du jury, que fait-il ? il part a Chicago aider les pauvres du Harlem de Chicago.

- avant les élections Obama demande de réouvrir les dossiers du New Deal de Roosevelt, quels sont ces choix en matières de lois sociales ?

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Atil
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   Posté le 04-11-2008 à 15:47:14   Voir le profil de Atil (Offline)   Répondre à ce message   http://noo-spheres.com/   Envoyer un message privé à Atil   

Et tout ce que les gens retiennent, c'est "wah ! Il est noir !"

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...à mon humble avis.

#Atil
Ase
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   Posté le 04-11-2008 à 17:12:29   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

lol

- création d'un fonds (10 milliards de dollars) pour venir en aide aux propriétaires immobiliers menacés de saisie et d'un autre fonds doté d'une somme équivalente pour aider les administrations des Etats en situation de déficit budgétaire.

- plan de relance (75 milliards) de l'économie par redistribution de l'argent à ceux qui en ont besoin et qui le dépenseront rapidement.

- limiter les subventions fédérales à 250 000 $ par agriculteur tout en s’assurant d’empêcher les compagnies de contourner cette législation en créant des fermes « sur papier ».

- investissements dans les "technologies vertes" et les énergies renouvelables.

Qui complète ?




"avant les élections Obama demande de réouvrir les dossiers du New Deal de Roosevelt, quels sont ces choix en matières de lois sociales ? "

---> il promet un ensemble de mesures sociales portant sur le traitement fiscal des avantages médicaux et scolaires.

Qui sont ses conseillers ?

En matière économique, c’est surtout Austan Goolsbee qui se démarque comme son principal conseiller. Cet économiste de Chicago est connu pour être un centriste dont la recherche porte sur l’internet, la nouvelle économie, la politique gouvernementale et les impôts.

Son bras droit est Jeffrey Liebman, un diplômé de Harvard spécialisée dans la fiscalité, les mesures sociales et la redistribution. Ce dernier avait travaillé de 1998 à 1999 sous l’administration Clinton, faisant partie du comité technique de réforme de la sécurité sociale.

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tayaqun
loin derrière pour voir devant
tayaqun
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   Posté le 04-11-2008 à 18:13:47   Voir le profil de tayaqun (Offline)   Répondre à ce message   http://homologie-historique.nuxit.net/   Envoyer un message privé à tayaqun   

Je ne m'emballe pas sur le cas Obama...lequel mérite un grand coup de chapeau et mérite bien de gagner...

Si je ne m'emballe pas, c'est parce que son souci majeur sera de recaler les Us et pas nécessairement de faire risette aux européens qui auront compris qu'il leur faut s'unir étroitement quand ils seront passés sous la coupe américaine... Isolationnisme au final?

Sur que cela va bouger... mais qui va nous jurer que ce sera dans le sens souhaité par l'Europe? Et depuis quand y aurait-il une vue (une!) européenne cohérente?
Et si parfois "vaut mieux tard que jamais", parfois, quand c'est trop tard, c'est trop tard...

Obama me paraît trop novateur pour vivre vieux et puissant aux US...
Ceci dit, j'aime bien les contes de fée, cela fait rêver un peu et ouvre un coin de ciel...

On peut se demander si son succès n'est pas d'abord dû au ras-le-bol bushiste! Les Américains entrevoient en quelque sorte celui qui va les sortir de la mouise...

La période homologue est celle des Gracque... Du 2ème Gracque pendant que tout le monde voit en Obama un 2ème Kennedy. Début de grands conflits civils...

Ceci dit, souhaitons-lui bonne chance.
Ase
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   Posté le 04-11-2008 à 18:31:04   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

"Sur que cela va bouger... mais qui va nous jurer que ce sera dans le sens souhaité par l'Europe ? Et depuis quand y aurait-il une vue (une!) européenne cohérente ?"

---> qu'est-ce que l'Eurosphère vient faire la dedands ?



"Ceci dit, j'aime bien les contes de fée, cela fait rêver un peu et ouvre un coin de ciel"

---> moi Obama Vs Mc Cain me fait penser a David Vs Goliath.


"On peut se demander si son succès n'est pas d'abord dû au ras-le-bol bushiste ! Les Américains entrevoient en quelque sorte celui qui va les sortir de la mouise"

---> a son succès il y a plusieurs causes : en tout cas Cheney qui vient de soutenir Cain, ca en fait rire plus d'un et ca permet d'aller dans ton sens.


"La période homologue est celle des Gracque... Du 2ème Gracque pendant que tout le monde voit en Obama un 2ème Kennedy. Début de grands conflits civils..."

---> c'est sur surtout si Obama veut augmenter les impots des ptits riches américains.

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Ase
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   Posté le 05-11-2008 à 13:21:22   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   





Une Amérique Bénie de Dieu !

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Atil
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   Posté le 05-11-2008 à 20:57:28   Voir le profil de Atil (Offline)   Répondre à ce message   http://noo-spheres.com/   Envoyer un message privé à Atil   

"Nous sommes bénis de Dieu !" = "Arrogance américaine"

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...à mon humble avis.

#Atil
Ase
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   Posté le 06-11-2008 à 10:54:52   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

barak = béni en arabe
Obama = Lance enflammée en swahili

Je pense qu'avec Obama Président des USA après le 20 Janvier, c'est un Nouveau USA qui apparaitra.


ps : apocalypse 19:15 ?


Edité le 06-11-2008 à 10:55:55 par Ase




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Atil
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   Posté le 06-11-2008 à 11:33:49   Voir le profil de Atil (Offline)   Répondre à ce message   http://noo-spheres.com/   Envoyer un message privé à Atil   

Il parrait même qui transforme l'eau en vin et qu'il multiplie les pains !

Méfions-nous de trop l'idolatrer : cela ne pourrait que nous conduire à la déception.

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...à mon humble avis.

#Atil
Ase
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   Posté le 06-11-2008 à 15:29:10   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

yeah ! it's our new leader for peace kingdom !
allez lou yaya !

Pour être plus sérieux, oui attendons de voir ce qu'il va faire.

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tayaqun
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tayaqun
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   Posté le 06-11-2008 à 17:02:31   Voir le profil de tayaqun (Offline)   Répondre à ce message   http://homologie-historique.nuxit.net/   Envoyer un message privé à tayaqun   

Il y a au moins un point évident: le déblocage psychologique des colored aux USA et ailleurs...

Pour le reste, il ne faut pas pas oublier qu'il est président des US et non de l'Europe... Comme le veuille ou non, il est hautement probable que les difficultés intérieures qui débutent à peine donneront assez de fil à retordre dans un proche avenir pour laisser croire à quiconque qu'Obama puisse rejoindre les vues européennes lesquelles demandent un certain abandon du laxisme financier de l'Amérique qui vend son déficit à certains qui commencent à renâcler.

Il ne suffira pas d'être fort, ni trop fort, il faudra lâcher des privilèges et là, il faudra qu'il soit inspiré. New deal...oui, mais planétaire! Et là, qui est près?
Les Chinois? Les Indiens?

Il est probable que l'Afrique soit le futur terrain de l'Amérique... Depuis plus d'une décennie on les appelle au secours en lâchant l'Europe qui parlote comme d'habitude...

Il faut de l'enthousiasme certes mais il faudra encore plus de lucidité.

Attention au désespoir de certains! Voilà pourquoi il ne faut pas d'excès d'enthousiasme... Le mélange est dangereux.
Ase
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   Posté le 07-11-2008 à 11:58:08   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

"Il ne suffira pas d'être fort, ni trop fort, il faudra lâcher des privilèges et là, il faudra qu'il soit inspiré. New deal...oui, mais planétaire! Et là, qui est près?
Les Chinois? Les Indiens? "

---> Parmis les auteurs du Traité de Lisbonne, il y a des partisans d'un "nouvel libéral-impérialisme" terme proné par le guru de Tony Blair en politique etrangère et de sécurité commune (PESC) Robert Cooper.
Parmis ce concept, il y a l'appel à la mise en place d’un nouveau système colonial qui permettrait de garantir l’aide humanitaire et d'offrir un peu d’ordre au plus démunis. Iddée repris par Tony Blair en 1999 avant son intervention au Kosovo.
En octobre 2001, dans sa revue Prospect, il écrit « toutes les conditions sont réunies pour un nouvel impérialisme » et « la non-existence d’un empire est historiquement sans précédent »; et dans sa conclusion, il écrit « on a besoin d’une nouvelle sorte d’impérialisme, un impérialisme acceptable pour le monde des droits de l’homme et des valeurs cosmopolites » capable de « nous apporter l’ordre et l’organisation mais qui reste fondé sur un principe volontaire ». Plus loin, il donne son voeu d'un nouvel empire : « Une UE postmoderne offre une vision d’un empire co-opératif, une liberté et sécurité commune sans la domination ethnique et l’absolutisme centralisateur dont souffrait les empires du passé, mais aussi sans l’exclusivité ethnique qui est la marque de l’Etat-nation – inapproprié dans une région sans frontières et inapplicable dans une région telle que les Balkans. Un empire co-opératif peut être le cadre politique qui convient le mieux à la substance altérée de l’Etat postmoderne ».
Rejoignant cette iddée de coopération lors de la réunion de la Commission Trilatérale de 2000, il y propose un partage des rôles entre les élites anglophiles américaines et les europhiles européens, en leur disant qu’ « en réalité, le monde a aussi bien besoin de la loi que de la puissance, de Hobbes (la puissance, i.e. les Etats-Unis) que de Grotius (le droit, i.e. les Européens) ».

Plus tard, un de ses disciples, Mark Leonard (ancien directeur du Centre for European Reform et du Foreign Policy Centre), qui dirige actuellement l’European Council on Foreign Relations (ECFR) de Londres reprendra le même credo dans son « Projet pour un nouveau siècle européen », où il affirme que « l’Eurosphère » dominera le monde du XXIe siècle.
Comme il le dira lui-même « l’UE dans sa vaste sphère d’influence, qui s’étend dans une ceinture de quatre-vingt pays comprenant l’ancienne Union Soviétique, les Balkans occidentales, le Proche orient, l’Afrique du nord et subsaharien totalise 20 % de la population mondiale »



"Il est probable que l'Afrique soit le futur terrain de l'Amérique... Depuis plus d'une décennie on les appelle au secours en lâchant l'Europe qui parlote comme d'habitude... "

---> Le nouvel Empire financier Anglo-Américain a fort a faire avec la présence de la Chine en Afrique. L’arrivée en force de la Chine en Afrique depuis quelques années, n’est pas du tout du goût des anciennes puissances coloniales qui voient leurs zones d’influences voler en éclats sous la pression du nouvel arrivant. On a vu apparaître une quantité d’articles dans une presse généralement défenue par ces intérêts, qui dénoncent la nouvelle colonisation chinoise de l’Afrique, et forcent les traits des difficultés sociales évidentes nées d’une telle coopération.



"Il faut de l'enthousiasme certes mais il faudra encore plus de lucidité"

---> tout repose sur les décisions d'Obama. Les "maîtres mots" d'Obama sont ESPOIR et DISCERNEMENT.
Soit Obama suit la politique de ce nouvel empire coopératif entre l'Angleterre et l'Amérique au travers de ce qu'il a appris de Lord Malloch Brown (a l'époque secrétaire adjoint britannique des Affaires étrangères). Ce qui donnerait évidemment plus de pouvoir a l'Eurosphère et a ses actions en Afrique. Dans tel cas, les USA deviendrait la 54ème nation « indépendante » du Commonwealth britannique.
Soit Obama ne suit pas la politique des financiers de La City, et dans tel cas on peut prévoir une fin de ce rêve "libéral-impérialiste britannique", et un accroissement en montée de la Puissance Américaine dans le continent Américain.

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tayaqun
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tayaqun
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   Posté le 07-11-2008 à 16:16:37   Voir le profil de tayaqun (Offline)   Répondre à ce message   http://homologie-historique.nuxit.net/   Envoyer un message privé à tayaqun   

Ces informations sont très intéressantes mais les vues anglophiles me semblent manquer de bon sens...

De bon sens élémentaire:
- quand on mélange un cheval et une alouette, le résultat peut s'appeler "pâté d'alouette"... et cela me fait penser à l'alliage britannique qui est du pur acier américain avec des traces britanniques.

Ceci dit tout me semble cohérent et conforme à certaines projections.

Pour ce qui concerne l'action des Chinois, elle est conforme à l'expansion commerciale déclenchée par la mondialisation...


Edité le 12-11-2008 à 17:54:24 par tayaqun


Ase
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   Posté le 11-11-2008 à 12:04:06   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

"quand on mélange un cheval et une alouette, le résultat peut s'appeler "pâté d'alouette"... et cela me fait penser à l'alliage britannique qui est du pur acier américain avec des traces britanniques"

---> c'est rigolo cette expression, elle me fait penser a ce que l'on enseigne dans certains groupes religieux aux Etats-Unis et en Angleterre : les pieds mélange de fer et d'argile de la statue de Nabuchodonozor dans la voyance de Daniel sont interpretés comme étant le paté mélangé de la puissance Anglo-Américaine, la dernière avant que ne survienne la petite pierre qui annéantira cette hyper puissance monétariste afin d'instituer un nouveau royaume de paix et de sécurité ...



"Pour ce qui concerne l'action des Chinois, il est conforme à l'expansion commerciale déclenchée par la mondialisation"

---> je viens de recevoir les derniers rapports de l'Institut Aspen et de la fondation Ditchley justement sur la situation actuelle en Afrique et les perspectives d'avenir. Je vais me renseigner un peu plus.

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Ase
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   Posté le 20-11-2008 à 13:54:16   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

Je ne suis pas certain que la mondialisation ait eu des effets bénéfiques en Afrique.

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Ase
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   Posté le 29-11-2008 à 15:29:12   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

Barack Obama star du BollyBolly !
http://www.youtube.com/watch?v=sA-451XMsuY

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Ase
Ase
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   Posté le 03-04-2009 à 20:05:17   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

Voilà, en ce temps où le G20 de Londres donne tout pouvoir au FMI comme on s'y attendait, et où se prennent des mesures pour pérenniser le système financier actuel, Obama lors de sa première visite en Europe, à Strasbourg, lors du Sommet de l'OTAN propose une lueur d'espoir, l'idée d'élaborer une chambre d'étude sur le démantèlement des armes nucléaires.

Résumé par le Nouvel Observateur:

Barack Obama souhaite "un monde sans armes nucléaires"

Barack Obama a déclaré vendredi à Strasbourg qu'il se fixait le but ambitieux de construire "un monde sans armes nucléaires".
Le nouveau président américain, qui s'exprimait dans la salle de basket du Rhénus devant près de 4.000 adolescents, a promis qu'il exposerait les détails de sa proposition lors du sommet entre l'Union européenne et les Etats-Unis, dimanche à Prague.

"Même si la Guerre froide est terminée, la prolifération nucléaire ou le vol de matériaux radioactifs pourrait conduire à l'éradication de n'importe quelle ville sur la planète", a souligné M. Obama, qui a répondu aux questions en parcourant la scène à grandes enjambées, le micro en main.

Deux jours plus tôt à Londres, Barack Obama et son homologue russe Dimitri Medvedev avaient déjà annoncé vouloir relancer les discussions entre les deux plus grandes puissances nucléaires du monde sur la réduction des armes nucléaires. "Les deux côtés de l'Atlantique comprennent que (...) la présence de ces armes meurtrières continue de représenter la menace la plus grave pour l'humanité", avait déclaré le chef de la Maison Blanche.

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Atil
Atil
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   Posté le 03-04-2009 à 22:55:44   Voir le profil de Atil (Offline)   Répondre à ce message   http://noo-spheres.com/   Envoyer un message privé à Atil   

C'est vrai que Sarko' s'est encore abaissé devant les Chinois et a accepté de ne plus soutenir le Dalaï-lama en échange de quelques consessions ?

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...à mon humble avis.

#Atil
Ase
Ase
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   Posté le 03-04-2009 à 23:46:59   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

J'ai cru en effet comprendre un truc dans ce genre.

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Ase
Ase
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   Posté le 05-05-2009 à 14:42:03   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

« Lors de ses 100 premiers jours, Roosevelt bousculait tout sur son passage : Il a fermé les banques, viré les marchands du temple et a pondu loi sur loi. (…) Certes, le président Obama est très occupé, mais il n’est pas Roosevelt » dixit Bill Moyers, ancien conseiller de Lyndon Johnson.

Pourquoi Obama se réunie-t-il d'économistes comportementalistes (je ne connaissais pas cette expression) ? Vers quoi ça peut amener ?

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PizzaMan
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   Posté le 05-05-2009 à 16:09:43   Voir le profil de PizzaMan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à PizzaMan   

Obama file de blé aux banques. Le blé de la population américaine afin de renflouer les dettes des banques qui ont perdu le blé appartenant à la population.

C'est comme si je devais du fric à Ase, et que je lui prenais son pèse pour payer mes dettes.

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#PizzaMan
tayaqun
loin derrière pour voir devant
tayaqun
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   Posté le 05-05-2009 à 18:58:41   Voir le profil de tayaqun (Offline)   Répondre à ce message   http://homologie-historique.nuxit.net/   Envoyer un message privé à tayaqun   

Explique-nous ce qu'il devrait faire. Le forum est bien un lieu d'échange d'idées et qui sait si nous ne sommes pas espionnées de tout près, cela pourrait passer directo du forum à la Maison Blanche...
Atil
Atil
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   Posté le 05-05-2009 à 21:04:39   Voir le profil de Atil (Offline)   Répondre à ce message   http://noo-spheres.com/   Envoyer un message privé à Atil   

D'aprés les spécialistes :
Les USA n'ont encore débloqué que 50% de la somme qui serait nécessaire pour stopper la crise.
Et l'Europe n'a encore débloqué que 20% de la somme nécessaire.

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...à mon humble avis.

#Atil
Ase
Ase
5229 messages postés
   Posté le 12-05-2009 à 17:08:03   Voir le profil de Ase (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ase   

" « Lors de ses 100 premiers jours, Roosevelt bousculait tout sur son passage : Il a fermé les banques, viré les marchands du temple et a pondu loi sur loi. (…) Certes, le président Obama est très occupé, mais il n’est pas Roosevelt » dixit Bill Moyers, ancien conseiller de Lyndon Johnson."

---> Obama ne fait pas lois sur lois, mais il fait décrets sur décrets



"Les USA n'ont encore débloqué que 50% de la somme qui serait nécessaire pour stopper la crise. Et l'Europe n'a encore débloqué que 20% de la somme nécessaire."

---> qu'attendent-ils ?

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