Sujet :

Léon

Milie
   Posté le 17-09-2012 ŕ 11:59:42   

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Edité le 19-10-2017 à 15:53:48 par Milie


TaoTheKing
   Posté le 17-09-2012 ŕ 17:10:00   

Celui-ci est à mon avis très bien. Juste une chose, l'expression des yeux ne correspond pas à celle de la "bouche".
Si tu peux également estomper la machoire inférieure, ce sera parfait
Milie
   Posté le 19-09-2012 ŕ 20:39:48   

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Edité le 19-10-2017 à 15:54:06 par Milie


Trotmany
   Posté le 20-09-2012 ŕ 21:11:01   

Chez moi, rien ne s'affiche...
Milie
   Posté le 20-09-2012 ŕ 21:59:15   

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Edité le 19-10-2017 à 15:54:25 par Milie


Trotmany
   Posté le 21-09-2012 ŕ 21:42:39   

Je m'attendais à un homme vu le titre du sujet.
Force est de constater que tu préfères les autres espèces animales.

Pourtant, il y a un effort d'humanisation de l'animal qui se dégage de tes peintures. Le trait est forcé comme pour faire passer une émotion trop insolite pour des bêtes sauvages. Pourtant, la nature, c'est aussi le rut, l'agressivité, la soumission, la fange, l'odeur âcre, le dépeçage, le viol, la famine, etc.

N'essayes-tu pas d'ériger un univers compensatoire où les choses sont telles que tu le souhaiterais. Où la nature serait foncièrement bonne et où elle formerait une famille utopique prête à t'accueillir les bras ouverts. C'est ma deuxième question.
Milie
   Posté le 21-09-2012 ŕ 23:10:37   

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Edité le 19-10-2017 à 15:54:42 par Milie


Milie
   Posté le 22-09-2012 ŕ 00:21:57   

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Edité le 19-10-2017 à 16:05:13 par Milie


Trotmany
   Posté le 22-09-2012 ŕ 08:09:07   



Celui-ci est d'une grande réussite :
http://michele1968.tchatcheblog.com/image.htm?k=article&id=9919616&t=Milie2
Milie
   Posté le 22-09-2012 ŕ 09:59:18   

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Edité le 19-10-2017 à 17:01:46 par Milie


Trotmany
   Posté le 22-09-2012 ŕ 16:27:55   

Tu sembles vouloir transformer la tristesse en joie, la peur en amour.
Tu sembles vouloir ce qui semble beau et heureux en apparence.

Cet évitement du laid n'est-il pas symptomatique ?
N'est-ce pas dans ces différences, que l'on nomme imperfections, que l'on est une individualité ?

As-tu désiré l'ambivalence qui se lit sur ce visage ?

Milie
   Posté le 22-09-2012 ŕ 17:20:12   

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Edité le 19-10-2017 à 16:06:08 par Milie


Trotmany
   Posté le 22-09-2012 ŕ 19:32:52   

Il existe une ligne verticale sur ce visage qui découpe la frontière de deux réalités. La forme des yeux, les commissures de la bouche, la tenue des cheveux, leur teinte, la courbure des sourcils, la finesse du nez, l'arrondi de la mâchoire, tout est différent.

Que l'on regarde une moitié sans l'autre et on aura deux lectures différentes de ce même visage. La part de droite est bienveillante, rayonnante, douce, consensuelle, idéaliste. La part de gauche dévoile une forme d'aridité, une sophistication, de l'autorité, de la réprobation, de l'insolence, de la détermination.


Amicalement votre.
Milie
   Posté le 22-09-2012 ŕ 19:44:51   

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Edité le 19-10-2017 à 17:01:24 par Milie


Trotmany
   Posté le 23-09-2012 ŕ 19:00:11   

L’śuvre est-elle plus belle lorsqu'on emprunte un autre point de vue ?
Milie
   Posté le 23-09-2012 ŕ 19:55:24   

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Edité le 19-10-2017 à 17:02:29 par Milie


Trotmany
   Posté le 24-09-2012 ŕ 17:51:16   

Perfectionniste !
Milie
   Posté le 24-09-2012 ŕ 20:16:55   

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Edité le 19-10-2017 à 17:02:47 par Milie


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   Posté le 02-03-2013 ŕ 05:14:13   

Dans le sureau qui ombrage sa chambre
Un merle plaintif module son chant.
Son reflet s'argente dans le miroir
Reflet étranger dans le clair-obscur.