| Dernières réponses | |  Je connais un autre mot qui rime avec coquine, si cela vous intéresse! 
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| | Et pourquoi pas le mot bassin, y'avait des thermes de toute façon.
Par contre, ça rime plus avec coquine.
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| | Il me semble qu'il y avait des sortes de piscines dans l'antiquité.
La "mer d'airain", par exemple, ou se baignaient les prêtres du temple de Jérusalem.
... mais ce n'était pas en Grèce.
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| | je suis désolé pour ce qu'on pourrait qualifier "d'anachronisme", a savoir le mot piscine, sur la fin... Il a sa propre signification...
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| | Euterpe et Calliope je vous implore.
Aidez moi à chanter une dernière fois,
Mieux que cette sirène qui me dévore.
Aidez moi à chanter sans retenue,
Et au gré de mes pensées d’ivoire
Le goût de celle qui enfilait votre tenue,
Lorsque nous écrivions dans le noir.
Oui comme vous elle était muse,
Et du suc extrait de la lyre divine
Je ne connaissait qu’elle
Elle, sirène malgré sa volonté,
Tel Hélène beaucoup trop convoitée
Sur les rivages illuminés de Troie
Risque de faire cruellement chavirer
Ma flotte grecque à son port arrimé
Les hommes rustres et barbares
Ô muses, ont oublié votre monde.
Alors vous deux je vous implore,
Rendez moi la plume sacrée et d’or
Du poète de jadis belle et si féconde
…
Vous savez les filles, celle dont je parle
Est comme cette fleur de la côte du Cyrénaïque
Au goût de miel et de poèmes épiques
Et lorsque les marins belliqueux d’Ulysse
Débarquèrent assoiffés de douceurs
Asséchés par la bise piquante et lisse
Sur les côtes du Cyrénaïque…
Lorsqu’ils goûtèrent à la fleur bleue
Des rivages d’Afrique…
Les hommes devinrent poètes et enfants
Enfants à jamais, à vivre maintenant,
Rêvant seulement de son suc envoûtant
A travers l’éternité de la vie et du temps
Comme eux de cette fleur,
Je rêve de ses yeux si grands
Lorsque tu pleures je pleure
Je t’aime et dans mes bras je te prends.
…
J’ai sculpté une Galatée qui est restée de marbre.
Narcissique, je lui avais donné
Toutes ces valeurs qui me faisaient rêver.
Pensive poète et romantique belle,
Elle était reine des nuits qui m’endormaient
Rien n’était tant moi, sinon elle
Et les journées ensemble s’écoulaient
Comme ces perles pures qui glissent
Sur les joues d’un enfant triste.
Ensemble nous avions tissé un monde
Fait de jeu et de rondes
Enfantines comme celle de l’enfant fou
Qui tire ses traits n’importe où.
Parfois sérieuse, parfois coquine
Comme perdue éperdue au bord d’une piscine
Malicieuse délicieuse et Ô combien rêveuse.
…
Le titan Chronos constant et ravageur
Se joue de moi comme il se joue de tout.
Déjà je vois nos jeux comme des erreurs
Et cette idylle comme une source de pleurs |
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