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un genu
Lorsqu'il s'agit de rumeurs...
Mais les amitiés de Mitterand pour la collaboration ne sont plus des rumeurs mais des faits historiques!
Verdad
J'ai lu que Charles Tre.et faisait dans les balais roses dans sa jeunesse???

Au fait, je croyais qu'il était interdit de citer des noms sur internet?
Je vous trouve vachement courageux d'oser braver cet interdit.
Moi, j'ose pas aller au bout.
En tout cas, chapeau!
Atil
Quand un homme de gauche est pédophile, on dit qu'il est "libre des conventions bourgeoises"
un genu
Et Conne-Bandit pour incitation à la débauche sur mineurs; aujourd'hui on dirait pédophilie...
un genu
C'est vrai que Mitterand fut jugé pour complicté de meurtre... cfr Rainbow warrior....
Verdad
Non Atil! Le loubard de banlieue va en prison car c'est un sauvageon.
L'homme politique de gauche va en prison aussi car il est honteux qu'un représentant élu par le peuple puisse le tromper.
L'homme politique de droite touche 20 000 euros. Il ne va pas en prison, il va directement à la case départ.
L'homme politique de droite est persécuté par la conspiration socialo-judéo-communo-anarcho-bolchéviko-sioniste, alors qu'il est innocent comme l'agneau qui vient de naitre et s'approche, l'oeil en amande, une larme sur la joue droite, une autre sur la joue gauche, pour têter sa mère.
Snif.
Atil
Finalement tous les hommes sont les mêmes. Le petit loubard de banlieue ou le ministre sortent le même genre de mensonge naïf quand ils sont pris la main dans le sac.
Papy39
Gaymard va s'expliquer ce soir



L'immeuble du VIIIe arrondissement de Paris, où Hervé Gaymard avait son appartement - France 2
Enferré dans ses contradictions et pressé par Matignon, le ministre de l'Economie s'exprimera ce soir sur TF1


Un proche de Jean-Pierre Raffarin avait indiqué plus tôt que le Premier ministre souhaitait que le ministre de l'Economie "puisse s'expliquer avant la fin de la semaine" sur cette polémique.

Libération a fait rebondir l'affaire vendredi en révélant que le couple Gaymard possèdait deux maisons en province et trois appartements, dont un à Paris.

Jusqu'à présent Bercy n'avait reconnu la possession par le ministre de l'Economie que d'un seul appartement, d'au moins 200 m2 à Paris, boulevard Saint-Michel, loué 2.300 euros par mois. C'est le Canard Enchaîné qui avait révélé l'existence de cet appartement dans son édition de mercredi alors que Paris Match publiait jeudi une interview d'Hervé Gaymard dans laquelle il indiquait ne pas être propriétaire.

Matignon évoquait jeudi "des problèmes de communication" de la part d'Hervé Gaymard dans cette affaire. C'est à Hervé Gaymard de "démontrer" désormais que l'affaire de son logement de fonction est classée et qu'il conserve la "capacité" de "faire son travail" de ministre de l'Economie, indiquait-on notamment.

M. Gaymard a dû déménager précipitamment après les révélations du Canard enchaîné, la semaine dernière, sur la location pour 14.000 euros par mois, aux frais de l'Etat, d'un duplex de 600 m2. Il a promis aussi de rembourser tous les frais liés à la location de cet appartement de fonction et le coût des travaux qui y avaient été engagés.

Gaymard: démission pas à l'ordre du jour

Ma démission du gouvernement "n'est pas à l'ordre du jour", déclarait jeudi de son côté le ministre de l'Economie au Figaro. Ajoutant: "je suis complètement soutenu, autant à Matignon qu'à l'Elysée".

Pensant mettre fin à la polémique, Hervé Gaymard avait annoncé qu'il rembourserait "personnellement tous les frais" liés à son appartement de fonction du 8ème arrondissement.

Les travaux qui ont été effectués dans le duplex avant son emménagement ont coûté "31.833,30 euros TTC", a indiqué la direction du Groupe foncier français (GFF), administrateurs de biens et filiale de la Caisse des dépôts, démentant ainsi les dernières informations du Canard enchaîné selon lesquelles le GFF avait "dépensé au total près de 150.000 euros" pour le remettre en état.

Selon le Parisien, jeudi, le coût total des dépenses occasionnées par son duplex de 600 m2 entre les loyers, les charges, les travaux, les frais d'agence et le parking, s'élèverait à au moins 85.000 euros.

D'autre part, alors que le ministre avait déclaré qu'il ignorait tout à propos de cet appartement de fonction, il semblerait qu'il avait pourtant visité les lieux.





Publié le 25/02 à 11:08



Le locataire de Bercy multi-propriétaire


La polémique du logement d'Hervé Gaymard se nourrit vendredi des affirmations du quotidien Libération, qui écrit que le ministre de l'Economie
possède cinq logements et qu'il est soumis à l'ISF. "Un appartement à Paris, une maison en Bretagne, deux appartements, des bureaux et une maison en Savoie: Gaymard , le tour du proprio", résume le quotidien sur sa Une.

En plus de l'appartement de 200 m² à Paris, écrit Libération, "le ministre possède aussi deux maisons: l'une en Savoie, l'autre en Bretagne (...) dans le Finistère". "L'entourage du ministre ajoute qu'il est aussi propriétaire de deux F2 et d'un garage dans une maison de ville à Bourg-Saint-Maurice, donnée par ses parents en 1990, ainsi que de sa permanence parlementaire à Albertville", poursuit le journal. "A la tête d'un tel patrimoine, les Gaymard sont logiquement redevables de l'impôt de solidarité sur la fortune."






La tempête médiatique fragilise Gaymard


L'affaire de l'appartement fragilise Hervé Gaymard dans son rôle de responsable de la politique économique au sein du gouvernement.

Difficile, dorénavant, d'imaginer l'actuel ministre des Finances s'exprimer sur l'argent de Français. Les dossiers quotidiens du Grand Argentier concernent en effet le pouvoir d'achat, la hausse du prix des loyers, la maîtrise des dépenses publiques, la baisse des effectifs de fonctionnaires, la hausse de la prime pour l'emploi ou la révision de la loi Galland sur la grande distribution.

Il lui est désormais délicat de les évoquer publiquement ou de déplorer, comme la semaine dernière, "le dérapage" des Français en matière de télécommunications, les soupçonnant de "bouffer du téléphone mobile de façon exagérée".

M. Gaymard devait évoquer les économies publiques ces jours-ci, mais à huis clos, lors de rencontres avec ses collègues du gouvernement pour préparer le budget 2006.






La majorité déstabilisée


"Les Français, confrontés à des difficultés quotidiennes, peuvent s'interroger et juger avec une certaine sévérité ce qui se passe", a déclaré devant la presse Nicolas Sarkozy, le président de l'UMP. Il a toutefois mis en garde contre toute "chasse à l'homme".

Le ministre de l'Economie a reçu le soutien de son collège du Commerce, Christian Jacob: "L'opération de lynchage, ça suffit. (...) Il a pris les décisions qui s'imposaient, en transparence. Il a payé la note, donc arrêtons."

Deux députés UMP lui ont aussi apporté publiquement leur soutien. Philippe Briand, élu d'Indre-et-Loire, a dénoncé une "chasse à l'homme", tandis que Jérôme Chartier, député du Val-d'Oise, a jugé que M. Gaymard avait été à "la hauteur de ses responsabilités".

Les problèmes de logement d'Hervé Gaymard embarrassent toutefois au plus haut point le gouvernement. Mercredi, sous couvert de l'anonymat, des hommes politiques de droite commentaient avec plus ou moins de gêne, dépit ou agacement.

"Comment Hervé Gaymard a-t-il pu compromettre à ce point sa carrière ? Il en a pour vingt ans à se remettre", s'interrogeait un ministre, précisant que "l'ambiance au gouvernement est exécrable" depuis le début de cette affaire, il y a une semaine.

Comme c'est l'usage en pareil cas, le sujet n'a pas été mis sur le tapis au Conseil des ministres, selon un membre du gouvernement. "J'ai discuté avec Hervé Gaymard avant le conseil. Il ne parlait pas de démissionner mais plutôt d'être actif sur le terrain pour ramener l'attention sur ses dossiers."

Mais "je ne vois pas comment il peut paraître crédible quand il parle de maîtrise des dépenses publiques", ironise un responsable chiraquien. "Il plombe tout le gouvernement", selon cet élu qui pointait "le divorce entre l'image de modestie que veut donner M. Gaymard et la réalité des faits".

"C'est très difficile pour lui de rester dans sa fonction", selon un cadre de l'UMP. Au yeux d'une député UMP, Hervé Gaymard est pourtant un homme "honnête et droit". Cette histoire montre surtout qu'il "n'a aucun sens politique."

"Dans n'importe quelle autre démocratie, il aurait dû démissionner", selon un autre élu de la majorité.

Enfin, pour le président de l'UDF François Bayrou, Hervé Gaymard n'est "sûrement pas" un "martyr". "Il y a des erreurs et des maladresses telles que tout ça, malheureusement, en fait un de ces scandales de plus. Mais martyr sûrement pas", a-t-il lancé vendredi sur France Inter.

Il s'attendait à une démission d'Hervé Gaymard, en évoquant "un scénario inéluctable", qui "arrive en bout de course", avec des "erreurs graves" commises.






La gauche réclame la démission de Gaymard


Se défendant de tout "acharnement" contre Hervé Gaymard, le premier secrétaire du PS François Hollande s'est adressé directement au chef de l'Etat, jeudi, estimant que Jacques Chirac "ne peut pas rester silencieux" face à une polémique à l'"effet ravageur".

La députée PS Ségolène Royal a commenté l'affaire, mercredi sur RTL. "Il est clair qu'il y a eu une faute et comme pour toute faute, il y a toujours des moyens de réparer. Mais ce qui est peut-être plus grave, c'est la question de savoir s'il y a eu mensonge, défaut de vérité." Assurant ne pas vouloir "accabler un homme qui est en grande difficulté", Mme Royal a jugé qu'"il faut une enquête pour déterminer" s'il y a eu mensonge.

Au delà de l'éventuel mensonge du ministre sur sa connaissance du loyer de l'appartement (14.000 euros), la députée a relevé le "mensonge de la part de Matignon qui à un moment a prétendu n'avoir pas été au courant de cette location. Or pour bien connaître le fonctionnement gouvernemental, il est évident qu'une telle location ne peut se faire qu'avec l'accord de Matignon."

Le député PS Arnaud Montebourg a demandé à Hervé Gaymard de s'expliquer" ou de "démissionner". Pour l'animateur de la minorité Nouveau Parti socialiste, "M. Gaymard a violé trois fois la circulaire du 10 mai 2002 édictée par Jean-Pierre Raffarin et relative aux conditions de logement des membres du gouvernement." Sur la base du texte de la circulaire, M. Montebourg a décliné trois arguments :

"1 - les départements ministériels disposant de logements de fonction, comme c'est le cas à Bercy, n'ont pas le droit de louer sur leurs crédits budgétaires de logements pris sur le marché
2 - les ministres propriétaires de logement à Paris ne peuvent pas obtenir la location d'un logement de fonction
3 - le logement de fonction ne peut, par sa localisation, sa taille et son aménagement, qu'être conforme "à la simplicité liée aux représentants de l'Etat."

"A ces trois violations, s'est ajouté un mensonge public", a ajouté Arnaud Montebourg, car "le ministre a prétendu n'avoir jamais vu le logement en question, ce qui est inexact puisqu'il l'a visité en présence de son chef de cabinet."

"De surcroît", a insisté Arnaud Montebourg, "M. Gaymard prétend prêter gracieusement à l'un de ses amis un pied-à-terre à Paris de 235 m2, je souhaiterais qu'il y ait une enquête fiscale sur cette libéralité". "Une libéralité que M. Gaymard s'apprêtait à faire financer par l'Etat", a-t-il accusé.

Robert Hue, sénateur PCF, a estimé jeudi que les révélations sur le logement d'Hervé Gaymard visaient en réalité Jacques Chirac, car le ministre de l'Economie est "son poulain".

"C'est une affaire sérieuse, une faute sérieuse car elle jette le discrédit sur l'ensemble des politiques", a-t-il commenté sur Europe 1.

Le député Vert Noël Mamère a réclamé la démission du ministre, estimant qu'il n'était plus "politiquement crédible".







Jean-François Copé doit lui aussi se justifier


Le ministre délégué au Budget Jean-François Copé, logé par l'Etat, possède un appartement à Paris qu'il a acheté fin 2004 et "prête" à un ami, selon des informations du quotidien Libération, confirmées jeudi par l'entourage du ministre.

"Il y a des travaux de gros oeuvre à faire. Les devis ont été faits, les travaux commandés. Ils n'ont pas commencé car Valérie (l'épouse du ministre, ndlr), qui doit les superviser, est enceinte de huit mois", a-t-on précisé dans l'entourage de M. Copé, qui est également porte-parole du gouvernement.

Dans l'intervalle, le ministre l'a "prêté pour une courte durée" à son directeur adjoint de cabinet, Bastien Millot, confronté à des "problèmes personnels", en attendant que celui-ci "retrouve un autre appartement", a-t-on ajouté.

L'appartement, d'une superficie de 160 m2, est situé dans le XVIe arrondissement. Une fois son aménagement terminé, M. Copé, qui dispose actuellement d'un logement de 230 m2 près des Invalides dans le VIIe arrondissement loué par l'Etat pour 5.500 euros par mois, y déménagera "courant 2005", a-t-on ajouté.

La surface de ce logement dépassant celle prévue par les critères de Matignon, M. Copé avait récemment indiqué qu'il paierait la différence.
Verdad
Ca m'étonne pas! Encore une pure invention de ces judéo-bo(l)chéviques pour ridiculiser le semblant de démocratie que représente le parti socialiste, ces boeufs!
Atil
Dans HoaxBuster, on semble dire que c'est une pure invention :

-VOIR ICI-
 
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