| Dernières réponses | |  "Donc on a le gout de la vie ou on ne l'a pas."
>>>>>Soit on estime que la vie fait partie des choses importantes, soit on ne le pense pas.
Chacun, selon ses conceptions, chosit ce qu'il estime être important.
"Je me rappelle plus exactement la problématique posé par le suicide, c'était une question de choix ou de non choix ( ? ). Le suicide permet d'éviter un choix. C'est une décision ambigue puisqu'il s'agit d'un acte qui est censé coupé court à tout autre acte, alors que la situation que l'on cherche a fuir par le suicide, elle, n'en existe pas moins parce qu'on en est plus là."
>>>>>>>Mais il n'est pas question ici de dire que la vie est mauvaise et qu'on doit la fuir. Il est juste question de dire qu'elle n'est pas aussi importante que ca.
"Par contre du point de vue subjectif, là, il n'est plus question d'indifférence :
- l'etre humain, lambda s'accroche à sa vie dans son sens organique (l'instinct de survie), "
>>>>>>>Mais ce n'est la, avanr tout, qu'un instinct.
Pas la conscience de l'importance de la vie.
"- par contre il y a des cas ou pour diverses raisons un être humain consent au sacrifice de soi (ce qui relève plus de l'acceptation consciente de sa propre mort et non plus d'un suicide)."
>>>>>>Dans ce cas, on se consacre bien à une chose que, consciemment, on estime importante. Plus importante même que la vie. Mais tout le monde ne se sacrifierait pas forcément pour la même chose.
[quote]Dire que la vie n'a pas de valeur, signifie-t-il que l'on attache aucune importance à l'anhiliation d'une vie et à ses conséquences, ou bien qu'indépendamment de la valeur intrinséque (de la vie) nous n'y sur-ajouttons pas un attachement personnel ?[/citation]
Ca veut dire que toute valeur est relative. |
| | Donc on a le gout de la vie ou on ne l'a pas.
Je me rappelle plus exactement la problématique posé par le suicide, c'était une question de choix ou de non choix ( ? ). Le suicide permet d'éviter un choix. C'est une décision ambigue puisqu'il s'agit d'un acte qui est censé coupé court à tout autre acte, alors que la situation que l'on cherche a fuir par le suicide, elle, n'en existe pas moins parce qu'on en est plus là.
D'un point de vue objectif, la vie ou la mort d'un individu singulier, lambda, change peu de chose. De ce point de vue là c'est bien une question assez indifférente.
Par contre du point de vue subjectif, là, il n'est plus question d'indifférence :
- l'etre humain, lambda s'accroche à sa vie dans son sens organique (l'instinct de survie),
- par contre il y a des cas ou pour diverses raisons un être humain consent au sacrifice de soi (ce qui relève plus de l'acceptation consciente de sa propre mort et non plus d'un suicide).
Dire que la vie n'a pas de valeur, signifie-t-il que l'on attache aucune importance à l'anhiliation d'une vie et à ses conséquences, ou bien qu'indépendamment de la valeur intrinséque (de la vie) nous n'y sur-ajouttons pas un attachement personnel ? |
| | Vivre ou ne pas vivre est indifférent.
C'est une affaire de gout personnel.
Edité le 13-06-2009 à 19:07:53 par Atil
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| | | il faut se tirer une balle alors ? |
| | | Le fait de prendre conscience que rien n'a vraiment de valeur. |
| | | Qu'est-ce qui a le plus de valeur dans ce monde ? |
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