| Dernières réponses | |  Bof.......tout le monde sait que Dieu et l'argent.......c'est du pareil au même dans le monde d'aujourd'hui .
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| | Verdad a écrit :
Il vous emmerde hein mon dollar, qi d'amibe?
Vous voulez pas admettre que votre philo c'est de la m.... en barre ? |
Philo.: De l'or en barre oui, pas de l'or...dure.
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| | Pizza Man a écrit :
Encore faudrait-il qu'alpha sache définir "vérité absolue", avant de se lançer en affirmant qu'elle est "invariable"... |
j'ai pas dit qu'il y a une ou des vérites invariables.
Une vérité doit être invariable, mais j'en connais pas une seul.
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| | Il vous emmerde hein mon dollar, qi d'amibe?
Vous voulez pas admettre que votre philo c'est de la m.... en barre ?
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| | Encore faudrait-il qu'alpha sache définir "vérité absolue", avant de se lançer en affirmant qu'elle est "invariable"...
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| | La vérité absolue est invariable.
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| | Bienvenue irichc !
"Toute vérité nous envoie à une autre. Sinon, la limite de la vérité serait une non-vérité où celle-ci trouverai son début et sa fin. Le faux engendrerait le vrai, et le vrai, le faux."
>>>>>>La vérité peut aussi se définir pas la destruction de la non-vérité.
Détruire une fausse croyance est autant un progrés vers le vrai que l'acquisition d'une vérité nouvelle.
"Les vérités, n’importe lesquelles, nous conduisent alors, à travers un enchaînement infini, à la vérité suprême et intouchable, qui est Dieu."
->>>>>>A condition qu'il n'y ait pas des vérités qui soient indépendantes des autres.
Aparemment, jusqu'à maintenant, tout semble s'enchainer, tout se tient, notre monde semble fait d'un seul tout.
Mais rien ne prouve que ce modèle ne sera pas contredit un jour.
"Affirmer une seule vérité, n'importe l'aquelle, et non seulement de nom, suppose une négation de la limite qui l'annulerait, affirmer infini de la progression et par conséquence, affirmer à Dieu. "
>>>>>>>Mais ca c'est une hypothèse. On ne pourra connaitre le bout du chemin que lorsqu'on y sera arrivé.
Encore que, la, on ne peut pas parler de "bout" puisque le chemin se dirige vers l'infini.
Ou alors c'est le chemin lui-même qui compte et non pas vers ce quoi il pointe.
"Donc, même si cette supposée vérité serait "Dieu n'éxiste pas", en la prêchant comme vrai, d'elle ont peut suivre que Dieu, c'est à dire la vérité, existe."
>>>>>>>>Si on considère que Dieu correspond à tout ce qui est, alors la réalité, la vérité est Dieu.
Mais c'est une définition de Dieu parmi d'autres.
Et si Dieu est Tout, peut-on dire alors qu'il est AUSSi la non-vérité ? Car si Dieu ne correspond qu'à la vérité, alors il n'est pas TOUT... car il laisse la non-vérité dehors.
"Mais, si Dieu existe, la prémisse précédente est fause et s'il n'existe pas, aussi, puisqu'il n'existe pas la Vérité ni non plus les vérités. Donc, d'une façon ou d'une autre, Dieu existe."
>>>>>>>On peut aussi dire que la vérité n'existe peut-être pas ? que tout n'est qu'illusions ? Donc si Dieu est la vérité alors il n'existe pas.
Mais alors dire cela serait énoncer une vérité... donc il y aurait au moins cette vérité qui existerait ... donc la aussi il y a paradoxe.
Certains s'en tirent ainsi :
Dieu est ce qui unifie et transcende les opposés : le vrai et la faux, le réel et l'irréel.
Il est au-dela de ces concepts. Il est le paradoxe ultime.
C'est un peu ce que dit le bouddhisme, bien que sans utiliser le mot "Dieu".
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| | Prosternez-vous, qi d'amibes! Je vous présente Dieu! Dieu existe:
Ainsi que son fils Jésus Christ Notre Seigneur Miséricordieux.
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| | 1) Toute vérité nous envoie à une autre. Sinon, la limite de la vérité serait une non-vérité où celle-ci trouverai son début et sa fin. Le faux engendrerait le vrai, et le vrai, le faux.
2) Les vérités, n’importe lesquelles, nous conduisent alors, à travers un enchaînement infini, à la vérité suprême et intouchable, qui est Dieu.
3) Affirmer une seule vérité, n'importe l'aquelle, et non seulement de nom, suppose une négation de la limite qui l'annulerait, affirmer infini de la progression et par conséquence, affirmer à Dieu.
4) Donc, même si cette supposée vérité serait "Dieu n'éxiste pas", en la prêchant comme vrai, d'elle ont peut suivre que Dieu, c'est à dire la vérité, existe.
5) Mais, si Dieu existe, la prémisse précédente est fause et s'il n'existe pas, aussi, puisqu'il n'existe pas la Vérité ni non plus les vérités. Donc, d'une façon ou d'une autre, Dieu existe.
Daniel.
Mélange Theologique (en espagnol):
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