LE FORUM DES CERCLOSOPHES
LE FORUM DES CERCLOSOPHES
 
Retour au forum
 

Ajouter une réponse

Pseudo :    S'inscrire ?
Mot de passe :    Mot de passe perdu ?
Icône :
                                
                                
Message :
 
 
 
Smilies personnalisés
 
Options :
Notification par email en cas de réponse
Désactiver les smilies
Activer votre signature
 
 
Dernières réponses
uber
martiko a écrit :

Citation :

Devant l'absence manifeste de sens ou de direction que pourrait prendre l'existence, je me vois dans l'obligation de poser une affirmation : la vie n'a aucune utilité.

Les religions et autres mouvements dogmatisés jusque dans le bout des ongles ont cru bon de nous faire croire à des sornettes pour nous maintenir au service encore et encore plus longtemps. Ne sommes-nous que des bêtes de somme à qui l'on agite un paradis pour qu'elles fassent tout ce que le propriétaire demande?

Parlons-en de la société qui nous mets à l'esclavage forcé et qui ne nous reconnaît l'humanité que si on a un travail. Ce que l'on fait des autres? On les brules dans les four crématoires de la misère. On les réduits en cendres dans l'ombre de nos ruelles, sous une maison de carton froissé.

Toute notre vie, nous attendons la mort. En la mort, nous attendons la vie. Quel paradoxe ridicule implanté dans la cervelle de milliards d'êtres humains asservi et fiers de l'être. Il n'existe que la vie. La mort n'a rien d'une longue fête. Alors pourquoi faudrait-il l'attendre? Alors pourquoi faudrait-il encore subir toutes ces humiliations quotidiennes, à ramper et lécher la merde pour gagner son pain. A quoi bon de survivre?

La vie, c'est une seconde de rien ; un instant absurde et gênant qu'il vaut mieux passer le plus rapidement possible.


c'est lucide !
Les cons ou les religieux pensent que tu es pessimiste.

Notre récompense ou le côté positif, au bout de cette existence plus ou moins de merde, c'est de quitter ce monde pour retourner au néant , et là ça a un sens.




martiko
Citation :

Devant l'absence manifeste de sens ou de direction que pourrait prendre l'existence, je me vois dans l'obligation de poser une affirmation : la vie n'a aucune utilité.

Les religions et autres mouvements dogmatisés jusque dans le bout des ongles ont cru bon de nous faire croire à des sornettes pour nous maintenir au service encore et encore plus longtemps. Ne sommes-nous que des bêtes de somme à qui l'on agite un paradis pour qu'elles fassent tout ce que le propriétaire demande?

Parlons-en de la société qui nous mets à l'esclavage forcé et qui ne nous reconnaît l'humanité que si on a un travail. Ce que l'on fait des autres? On les brules dans les four crématoires de la misère. On les réduits en cendres dans l'ombre de nos ruelles, sous une maison de carton froissé.

Toute notre vie, nous attendons la mort. En la mort, nous attendons la vie. Quel paradoxe ridicule implanté dans la cervelle de milliards d'êtres humains asservi et fiers de l'être. Il n'existe que la vie. La mort n'a rien d'une longue fête. Alors pourquoi faudrait-il l'attendre? Alors pourquoi faudrait-il encore subir toutes ces humiliations quotidiennes, à ramper et lécher la merde pour gagner son pain. A quoi bon de survivre?

La vie, c'est une seconde de rien ; un instant absurde et gênant qu'il vaut mieux passer le plus rapidement possible.


c'est lucide !
Les cons ou les religieux pensent que tu es pessimiste.

Notre récompense ou le côté positif, au bout de cette existence plus ou moins de merde, c'est de quitter ce monde pour retourner au néant , et là ça a un sens.


Edité le 18-10-2013 à 00:46:25 par martiko


Mathilde
Trotmany a écrit :

Devant l'absence manifeste de sens ou de direction que pourrait prendre l'existence, je me vois dans l'obligation de poser une affirmation : la vie n'a aucune utilité.

Les religions et autres mouvements dogmatisés jusque dans le bout des ongles ont cru bon de nous faire croire à des sornettes pour nous maintenir au service encore et encore plus longtemps. Ne sommes-nous que des bêtes de somme à qui l'on agite un paradis pour qu'elles fassent tout ce que le propriétaire demande?

Parlons-en de la société qui nous mets à l'esclavage forcé et qui ne nous reconnaît l'humanité que si on a un travail. Ce que l'on fait des autres? On les brules dans les four crématoires de la misère. On les réduits en cendres dans l'ombre de nos ruelles, sous une maison de carton froissé.

Toute notre vie, nous attendons la mort. En la mort, nous attendons la vie. Quel paradoxe ridicule implanté dans la cervelle de milliards d'êtres humains asservi et fiers de l'être. Il n'existe que la vie. La mort n'a rien d'une longue fête. Alors pourquoi faudrait-il l'attendre? Alors pourquoi faudrait-il encore subir toutes ces humiliations quotidiennes, à ramper et lécher la merde pour gagner son pain. A quoi bon de survivre?

La vie, c'est une seconde de rien ; un instant absurde et gênant qu'il vaut mieux passer le plus rapidement possible.


Sujet magnifique.

Le fait de se poser la question de l'utilité de la vie est une marque de dépression, pathologie propre à l'Homme, le roseau pensant. Une plante, un animal, (une pierre), ne se posent pas cette question. Ils font au mieux de leur possibilités. Le but ultime étant de perpétuer la race.
Du moment que l'on se pose la question du "pourquoi moi ici", c'est quitter cette notion de pérennité instinctive pour devenir une idée égocentriste, du "pourquoi moi dans cet univers".

Etre dépressif, c'est comme celui qui a le mal de mer, c'est une expérience traumatisante. Mais une fois la terre ferme retrouvée, vous ferez tout pour ne plus vivre cette horreur.

Concernant la multiplication (des pains), je pense plutôt à la division, au propre et au figuré. Diviser, c'est aussi partager ...

Implantée à 1000km de mon pays natal, il me fallut au moins une année pour m'adapter et trouver petit à petit du travail. Je passais mes nuits et journées sur Pole-emploi, et à pleurer en me disant que j'étais inutile et ne servait à rien. Aujourd'hui, après 3 ans, j'en suis à refuser des missions.

Donc, une dépression ne sert qu'à se remettre en question pour mieux remonter la pente.
onomatopee
Effort physique (l'intellectuel a déconnecté depuis longtemps), pour comprendre l'intérêt des complaintes du jeune trot. Et la pseudo réponse de mm.
Je relis parce que c'est lourd et indigeste.
Camus, Durkheim à lire.
Ca part dans tous les sens : esprit brouillon.
Mets toi une balle dans la tête petit trot qu'on (que tu) en finisse(s).
Modèle (et pas model : absurde) sociétal : ridicule. Kant peut être ?
C'est quoi un esprit vivant ? Non juste pour savoir.
J'aime beaucoup les points de suspension, ça fait plus classe, surtout quand c'est creux.
J'ai versé 15mn de ma vie pour essayer de disséquer les propos des deux larrons. Peine perdue.
Milie




onomatopee a écrit :

J'ai lu 2 lignes de milie (mètre) ca m'a gonflé.
Euh juste pour être sûr : vous y croyez aux débilités que vous sortez ? J'ai peur oui j'ai peur.



Mon pôvre .... petit... Faut pas n'avoir peur...Faut ce lancer... Faire copier-coller et critiquer, ne nous permet pas de mesurer en centimètre, l'étendue de votre intelligence... Aller un peu de courage...

Pour vous .. Que vous inspires ce sujet ..?...


onomatopee
J'ai lu 2 lignes de milie (mètre) ca m'a gonflé.
Euh juste pour être sûr : vous y croyez aux débilités que vous sortez ? J'ai peur oui j'ai peur.
Milie



Trot<<Devant l'absence manifeste de sens ou de direction que pourrait prendre l'existence, je me vois dans l'obligation de poser une affirmation : la vie n'a aucune utilité.

Les religions et autres mouvements dogmatisés jusque dans le bout des ongles ont cru bon de nous faire croire à des sornettes pour nous maintenir au service encore et encore plus longtemps. Ne sommes-nous que des bêtes de somme à qui l'on agite un paradis pour qu'elles fassent tout ce que le propriétaire demande?

Parlons-en de la société qui nous mets à l'esclavage forcé et qui ne nous reconnaît l'humanité que si on a un travail. Ce que l'on fait des autres? On les brules dans les four crématoires de la misère. On les réduits en cendres dans l'ombre de nos ruelles, sous une maison de carton froissé.

Toute notre vie, nous attendons la mort. En la mort, nous attendons la vie. Quel paradoxe ridicule implanté dans la cervelle de milliards d'êtres humains asservi et fiers de l'être. Il n'existe que la vie. La mort n'a rien d'une longue fête. Alors pourquoi faudrait-il l'attendre? Alors pourquoi faudrait-il encore subir toutes ces humiliations quotidiennes, à ramper et lécher la merde pour gagner son pain. A quoi bon de survivre?

La vie, c'est une seconde de rien ; un instant absurde et gênant qu'il vaut mieux passer le plus rapidement possible.



Ce que tu décris ci-dessus, n'est que ce que l'homme a construit comme model sociétal... Mais ces homme sont dans la domination, le contrôle et la possession, et ne connaissent pas la satiété... C'est en cela que ça dessert la progression de la vie dans son ensemble...


Je pense qu'en dehors des croyances et de ce que l'on voudrait y voir... La vie prend le sens qu'on lui donne , et ceci en fonction de notre état d'Esprit au sein du vivant.
Un Esprit qui demeure "vivant" dans nos multiples implications. Une liberté de communion avec le vivant, a son sens du moment.. De l'instant..

En bref... La vie intérieure sera beaucoup plus intense dans ses sens, et ses interactions vis à vis de l'extérieur seront plus "saine" lorsqu'en soi l'harmonie règne...


reficul
justement ne pas être dépressif permet de vivre des choses que les dépressif ne vivent pas
.
J'avoue qu'avec des gays Lelurons comme vous,
Difficile de rester dépressif longtemps !
TaoTheKing
depressif
 
Retour au forum
 
 
créer forum