Dernières réponses |
| Savoir qu'on va mourir un jour devrait plutôt nous rassurer. Quelques soient la douleur des maladies ou les montagnes de dettes que l'on doit rembourser, on sait que tout cela aura forcément une fin. |
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| Tu perds la raison atil... Ce que je veux dire, c'est que je ne suis pas attaché à la vie car je sais que je vais mourir. Si je pouvais ne pas mourir, sans doute aurais-je peur de mourir. Quant à donner aux autres, quéquette. |
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| TaoTheKing a écrit :
Je me moque de vivre ou de mourir. |
Je disais ça également il y a quelques années. Mais maintenant je préfère continuer à vivre car j'ai des responsabilités : j'ai 7 chats à nourrir. PS : Si tu te moques de mourir, serais-tu capable de donner tous tes biens aux pauvres et de te foutre de mourir ensuite de faim ? |
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| Atil a écrit :
[citation=TaoTheKing]On s'en fout des autres. Après moi la fin du monde. lorsque je serai mort, le monde aura cessé d'exister. Et il en va de même pour vous, mortels. |
Mais tant que tu es vivants, les autres peuvent t'aider à vivre mieux et plus longtemps. Donc il vaut mieux se soucier d'eux tant que tu es vivant.[/citation] Je me moque de vivre ou de mourir. |
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| .RAMSESXII. a écrit :
Apprends leur à endurer la souffrance, cela leur sera plus utile que de diminuer provisoirement certaines d'entre elles, car si la racine de la mauvaise herbe n'est pas retirée, les surgeons de la souffrance réapparaitront sous une forme déguisée, ailleurs, sous d'autres corps. |
"Quand un homme a faim, mieux vaut lui appendre à pêcher que de lui donner un poisson" (proverbe chinois) "Si tu donnes un poisson à un homme il mangera un jour; si tu lui apprends à pêcher, il mangera toujours" (proverbe africain) |
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| TaoTheKing a écrit :
On s'en fout des autres. Après moi la fin du monde. lorsque je serai mort, le monde aura cessé d'exister. Et il en va de même pour vous, mortels. |
Mais tant que tu es vivants, les autres peuvent t'aider à vivre mieux et plus longtemps. Donc il vaut mieux se soucier d'eux tant que tu es vivant. |
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| On s'en fout des autres. Après moi la fin du monde. lorsque je serai mort, le monde aura cessé d'exister. Et il en va de même pour vous, mortels. |
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| Si je suis capable d'accepter la souffrance, il n'en est pas forcément de même pour les autres. Sous prétexte que je suis capable de l'accepter, dois-je laisser tomber ceux qui n'en sont pas capables ? Les autres ne sont-ils pas d'autres moi-mêmes ? N'ont-ils pas droit à ce que je me soucie de leur problèmes ? |
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| Quand un homme est maltraité, n'est-il pas normal qu'il désire avec impatience qu'on cesse de le maltraiter ? Même si cela implique la mort de ses bourreaux. Devons-nous laisser les hommes continuer à faire souffrir d'autres hommes, à martyriser les animaux, à saccager la nature ? Devons-nous regarder tout ça avec distance... ou en nous en foutant sous prétexte que l'univers est grand et que ces méfaits sont donc de peu d'importance par rapport à celui-ci ? Pour les êtres qui souffrent à cause de l'homme, il n'y a pas de relatif, il n'y a pas de grandeur de l'univers, il n'y a que leur souffrance et leur envie d'y échapper. Si l'homme évoluait un peu alors ça irait mieux sur terre... mais il faudrait que ça se passe le plus vite possible. Ou alors il faudrait que l'homme disparaisse... également le plus vite possible. |
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| Pas mal Ramses |
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