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|  Délire ce sujet!!!!
Le mien:
Rien n'existe, sauf la poussière. Mais comme elle ne peut se déposer sur rien, ben elle existe pas non plus.
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| De quel vide parle-t-on exactement ?
Il existe tellement de vides différents selon les définitions qu'on leurs donne.
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| Mais le deuxième n'existe sans doute que par la nécéssité de le comprendre ! Et que sans ce deuxième, le vide ne serait jamais que la transparence de la non existence.
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| Le mien: le vide est la matière et la clef est de "percevoir" que le premier engloble le deuxième et non l'inverse.
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| je met egalement un commentaire:
il n'y a pas de vide, il y a un vide lumineux
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| Bien 
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| Oui, je trouve. 
La façon que tu as eu d'ouvrir ce sujet n'incite pas aux commentaires, mais je vais me risquer à en faire:
Le doyen a parfaitement compris le début de l'enseignement du maitre.
Le cuisinier à compris l'esprit et la méthode. Il a donc terminé son apprentissage.
Le doyen a encore des pas à faire sur la Voie.
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| N'est-ce pas ?
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| Bien.
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Le doyen du monastère a écrit ce poème :
"Le corps est l'arbre de l'éveil
Et l'esprit tel un miroir brillant.
Polis-le avec soin, heure aprés heure,
Qu'aucune poussière ne s'y dépose."
Le cuisinier Houei-neng dicta alors cette version :
"II n'y a pas d'arbre de l'éveil
Ni de miroir brillant.
Puisque tout est vide,
Ou pourrait se poser la poussière ?"
Leur maître Hong-jen sut aussitôt qui comprenait son enseignement.
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; "Citer ce message")