| Dernières réponses | |  C'est pourquoi il faut toujours se poser la question : "Est-ce que je veux remplacer la croyance d'autrui par ce que je SAIS ou par ce que je CROIS ?"
Si c'est pour remplacer une croyance par une autre, alors ca ne sert à rien : ce ne sont que des luttes entre croyances qui cherchent à s'imposer.
Seul remplacer une croyance par un savoir est intéressant.
Et ce savoir peut trés bien consister en "Je ne sais pas" ou "Ma croyance était fausse".
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| | Atil a écrit :
Respecter les croyances est pour moi une notion floue.
La connaissance me parrait bien plus fondée que la croyance.
Si un homme croit qu'en se jetant d'un toît il s'envolera, la force gravitationnelle se moquera bien de ses croyances et le précipitera au sol.
Si un enfant croit que la terre est plate, je doute fort que son prof respectera sa croyance : il cherchera plutôt à le détromper.
Si une secte croit qu'il faut donner du cyanure à ses enfants pour les faire grandir, je doute que les autorités les laisse faire.
On peut respecter les hommes qui professent une croyance (en ne les agressant pas) mais je ne vois pas pourquoi on devrait respecter leur croyance elle-même si on voit qu'elle est fausse.
Détromper un homme dans l'erreur c'est le respecter bien plus que de le laisser dans ses illusions.
D'un autre coté, quand on voit un homme qui croit des choses fausses, il faut bien se demander aussi si ce ne sont pas plutôt nos croyances à nous-même qui nous donnent cette impression. |
------->"On peut respecter les hommes qui professent une croyance"
c'est dans ce sense que ma réponse a été formulée.
" si on voit qu'elle est fausse" Pourquoi ta croyance à toi est la
seule, l'unique, la meilleur, ...que celle des autres?
"Détromper une erreur de croyance" : Pour imposé la tienne?
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| | Respecter les croyances est pour moi une notion floue.
La connaissance me parrait bien plus fondée que la croyance.
Si un homme croit qu'en se jetant d'un toît il s'envolera, la force gravitationnelle se moquera bien de ses croyances et le précipitera au sol.
Si un enfant croit que la terre est plate, je doute fort que son prof respectera sa croyance : il cherchera plutôt à le détromper.
Si une secte croit qu'il faut donner du cyanure à ses enfants pour les faire grandir, je doute que les autorités les laissent faire.
On peut respecter les hommes qui professent une croyance (en ne les agressant pas) mais je ne vois pas pourquoi on devrait respecter leur croyance elle-même si on voit qu'elle est fausse.
Détromper un homme dans l'erreur c'est le respecter bien plus que de le laisser dans ses illusions.
D'un autre coté, quand on voit un homme qui croit des choses fausses, il faut bien se demander aussi si ce ne sont pas plutôt nos croyances à nous-même qui nous donnent cette impression.
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| | Respecter, c'est pas le mot. Il faut se servir des croyances des autres. Par définition, une croyance est fondée sur rien. On peut donc manipuler aisément les gens qui en ont une.
A partir de là, on leur dit qu'on respecte leur croyance, pour s'attirer leur sympathie, les conforter dans leur croyance, et ainsi les tondre tranquillement.
La seule foi qui n'est pas une croyance car elle est prouvée est celle de Notre Seigneur Jésus Christ, par Sa grande Miséricorde.
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| | Atil a écrit :
Jusqu'à quel point doit-on respecter les croyances d'autrui ?
Et d'ailleurs ca consiste en quoi de respecter une croyance ? |
Si je respecte les croyances des autres, je demande la reciprocité.
A partir du moment ou l'on se permet de juger, de critiquer autrui de vive voix sur sa croyance il y a manque de respect.
IL a autant droit au respect, qu'un non croyant par exemple.
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Jusqu'à quel point doit-on respecter les croyances d'autrui ?
Et d'ailleurs ca consiste en quoi de respecter une croyance ?
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