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| S'inventer des problèmes artificiels est, si on y pense bien, un divertissement de nantis. Si nous devions travailler ou chasser toute la journée pour gagner de quoi manger, nous n'aurions pas besoin (et pas le temps) de nous trouver des passe-temps. |
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| Hélas. |
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| faut bien passer le temps |
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| "Ne sommes nous pas bien là ? " >>>>>>Le fait même de se poser la question est, en effet, le meilleur moyen pour qu'on cesse de se sentir bien la. Les questions existancielles sont faites pour nous pourrir la vie. Par contre je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas intéressant de se poser la question "comment ca fonctionne ce truc la ?" Chercher à comprendre des choses et résoudre des problèmes est aussi une source de plaisir en soi; Sinon pourquoi les gens feraient-ils des mots croisés, par exemple ? |
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| Tu es en train de rêver en ce moment, et bientôt tu vas te réveiller et contempler la dure réalité... |
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| comme quoi, jeu ou foutage de gueule ou autisme, qu est ce qu on en a à foutre du pourquoi ? Ne sommes nous pas bien là ? je retourne me coucher, j dis des trucs intelligents et simples, ca ne va plus |
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| Tu compliques tout, à chaque fois, juste pour emmerder les gens. Ça se voit. |
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| "Où donc est-il prescrit qu'il faut longuement s'interroger pour ne plus s'interroger ?" >>>>>>>Si on ne s'interroge jamais alors on n'est pas un sage mais un crane vide. Le sage c'est celui qui s'est longtemps interrogé et puis qui est arrivé à la conclusion que ca ne servait à rien de s'interroger. "Contemple mon grand, contemple et émerveille-toi d'un rien, comme un enfant. Là, tu n'auras pas l'impression d'être un légume." >>>>>>>Celui qui s'émerveille, justement, c'est celui qui s'interroge. Et celui qui ne s'interroge pas, il est trop indiférent à tout pour s'émerveiller. Mais c'est la que ce trouve le coeur du problème : Il y a plusieurs facon de s'interroger. Le fou est celui qui est tourmenté et angoissé par ses interrogations. Alors que le sage est celui qui trouve les interrogations enrichissantes et distrayantes. |
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| Où donc est-il prescrit qu'il faut longuement s'interroger pour ne plus s'interroger ? Dans ton dernier bouquin publié chez Lafond ? Contemple mon grand, contemple et émerveille-toi d'un rien, comme un enfant. Là, tu n'auras pas l'impression d'être un légume. Ou un vieux con. Héhé ! |
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| Il faut ne plus s'interroger aprés s'être longtemps interrogé, et non pas avant de s'être interrogé. Cela dit, ne m'a-t-on pas déja dit que l'homme spirituel n'était pas un légume ? Seul un légume ne s'interroge pas. |
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