Dernières réponses |
| La science apporte la technique permettant d'atteindre nos but. Mais c'est à la religion / sagesse / philosophie de déterminer quels sont les buts dignes d'être suivis. Si on présente les choses ainsi, alors on voit que ce sont deux voies complémentaires. |
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| opposer science, religion et philosophie, c'est comme opposer télévision, chaine et animateur. |
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| Mais pourquoi les deux doit etre opposer, les deux cherche la vériter , un est plus philosophique et mystique tandis que la science est plus materialiste et croie a la réaliter de l atome, mais les deux ont ils le même but de savoir de ou on viens et ou ont va. Je croie que la division viens des vielles rancunes et des croyances totalitaires et cest souvant ces croyances qui tu le bon sens. |
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| Je ne vois donc pas de diférence entre le domaine du religieux et le domaine de la philosophie. Sauf pour la méthode employée pour obtenir des réponses aux interrogations : Le religieux croit alors que le philosophe raisonne. |
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| La science est du domaine de l'objet, de l'observation, de la généralisation et de la quête de la loi qui permet de vérifier les dires. Est scientifique la précision d'un événement situé dans le temps; en clair, le scientifique prévoit et s'il se trompe, il doit revoir sa mouture etc... Le domaine du religieux est celui de la valeur, de la place de l'homme dans l'univers... Si le scientifique joue de la causalité, le religieux joue de la finalité. C'est pourquoi les deux plans s'excluent mais doivent compter avec l'autre. |
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| J'entends souvent dire cela. Mais comment pourrait-on précisément définir quels sont les domaines d'applicabilité respectifs de la science et de la religion ? |
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| Ben voilà un apport qui me paraît objectif... Je me tue (c'est pas vrai mais c'est histoire de dire) que nous sommes dans des plans différents... L'un ne saurait être supérieur à l'autre. L'un n'est pas l'autre. Chacun a son domaine de compétence. L'un peut ignorer l'autre, et réciproquement... mais cela devient un défaut de non curiosité... |
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| Il y eu un temps (carolingien) où la science n'existait plus que dans les monastères en Occident. J'ai lu récemment une biographie de Gerbert , petit paysan doué de la région d'Aurillac receuilli par l'abbaye d'Aurillac , qui fut un des savants les plus doués de son tems (du moins en occident chrétien), qui fut le pape de l'an 1000. Plus loin, j'avais lu une biographie de Suger, abbé de StDenis et 'premier ministre" de Louis VI et Louis VII, un des promoteurs de l'architecture gothique,qui fut un enfant consacré par ses parents par un voeu et offert à L'abbaye de D-Denis . On peut trouver bien d'autres cas Donc, les esprits les meilleurs et disposant de temps libre furent dans les monastères ou dans les écoles des cathédrales. Jusqu'au 18e sièces, les savants les plus notables furent formés dans les collèges religieuxe Longtemps régna une certaine liberté, tant que la science ne semblait pas remettre en question les dogmes. Pour de la poésie, je suis récalcitrant à la poésie récalcitrant à la poésie contemporaine, comme à beaucoup de ce qui porte le qualicatif de conteporain. Pour le reste, je suis mons fanatique qu'à l'adolescence, mais parjois je retrouve un état de réceptivité. l |
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| Je me demande si ca peut vraiment avoir un sens d'avoir un "point de vue religieux sur un fait scientifique". |
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| Voilà une vidéo honnête et téléchargeable présentant l'interview de Jean-François Sarrazin : il met quelques idées au clair dans la problématique évoqué dans ce topic. Atil appréciera, je pense. |
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