Dernières réponses |
| Bof, être plus leger oui, mais perdre son bon sens pas vraiment la bonne version. Sinon, j'espère ne pas aimer mes filles. |
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| Aimer ... il me semble que ca consiste souvent à perdre son bon sens. |
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| Ben oui, c'est un bel exemple de bon sens. |
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| On avait demandé à Confucius si un "honnète homme" devait secourir un homme qui serait tombé dans un puit. Et il a répondu que oui, mais pas au point de risquer d'y tomber lui aussi dedans. |
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| «Si un sage "zen" voit un homme qui se noit, va-t-il essayer de le sauver ? Ou alors s'en foutra-t-il tellement il est détaché de tout ?» <o> Il le sauvera, mais sans le moindre intérêt. Ni par amour, ni par compassion. Il le sauvera parce que c'est le bon sens qui lui dictera de le sauver. Le gros bon sens. |
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| Tous les haricots verts sont nos frêres ! |
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| Cela peut être utile pour les haricots verts mais pour différencier l'amour des enfants à celui d'un homme ou de son prochain, on va pas aller loin :-) |
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| Dans les langues germaniques il y a deux mots différents pour "aimer" et "aimer bien". |
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| Pourquoi utilise-t-on alors le même mot si ce n'est pas pareil. On dit aimer ses enfants, aimer son prochain, aimer un homme/une femme, aimer les haricots verts, ... En fait, y'a des mots comme ça qui en voulant trop dire ne dise plus rien. Ca me rappelle les mots conscience et Dieu. Comme quoi, le langage, c'est pas forcément un plus |
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| Si le sage craint les emmerdements alors il n'est pas si détaché que ca. |
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