Dernières réponses | | En effet, Süskind n'a pas écrit cela. En effet, cet ajout a un sens. Ce pourquoi la citation est impertinente. Je ne me peut m'empêcher de vous partager le début de l'histoire (sans impertinence cette fois)... Au XVIIIè siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus abominables de cette époque qui pourtant ne manqua pas de génies abominables. C'est son histoire qu'il s'agit de raconter ici. Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille et si son nom, à la différence de ceux d'autres scélérats de génie comme par exemple Sade, Saint-Just, Fouché, Bonaparte, etc., est aujourd'hui tombé dans l'oubli, ce n'est assurément pas que Grenouille fût moins bouffi d'orgueil, moins ennemi de l'humanité, moins immoral, en un mot moins impie que ces malfaisants plus illustres, mais c'est que son génie et son unique ambition se bornèrent à un domaine qui ne laisse point de traces dans l'histoire : au royaume évanescent des odeurs. |
| | Je doute que Suskind eut écrit «bouffez de la pizza». Il faudrait d'ailleurs analyser cet ajout afin de comprendre ce qu'il se produisit dans l'esprit de notre ami Trottemanie, au moment où il écrivit cela... |
| | Merci Trotmany, Je ne connaissais pas cet auteur. |
| | On ne peut rien attendre d'un être humain sans son consentement. Jouer avec le fait qu'il soit mâle ou femelle, c'est mener cette assertion simple et universelle sur le chemin des préjugés. Curieusement, alors qu'elle était acceptée par tous dans sa forme indifférenciée, elle est source de discussions quand elle s'inscrit dans un contexte particulier. Quel est cet autre, qui ne nous ressemble pas? Quel est cet autre, dont on se méfie toujours depuis des millions d'années? La nécessité de posséder le plaisir physique, comme on possède un Ipod, se retrouve à son comble dans vos échanges. Navrante chose que cette foutaise culturelle. BOUFFEZ DE LA PIZZA ! Dit-il. En un instant, la pizza fut découpée en trente parts et chaque membre de la horde empoigna son morceau et, tout plein de volupté goulue, se recula pour le dévorer. Une demi-heure plus tard, Jean-Baptiste Grenouille avait disparu de la surface de la terre jusqu'à sa dernière fibre. Extrait impertinent de SÜSKIND P., Le parfum
Message édité le 17-05-2007 à 18:09:48 par Trotmany |
| | Les femme doivent d'abord mériter ce respect. On ne leur doit absoluement rien. Personne ne devrait être redevable de qui que ce soit. Cette foutaise est culturelle. |
| | En pensant comme un hindou, "les femmes sont des grosses vaches" sacrée. Et on leurs doit la vie et le respect pour le don. |
| | "Meuh non" >>>>je croyais que c'était les femmes qui étaient des grosses vaches |
| | «C'est vrai que ma pensée est trés belle ! Et toi tu es jaloux de mes belles pensées»... <o> Meuh non voyons. Nous avons à peu près la même pensée. |
| | Atil a écrit :
"si je suis sur ce forum c'est parceque j'aime beaucoup la pensée d'Atl." >>>>>Je suis décu. J'aurais préféré qu'elle aime beaucoups mon corps |
PizzaMan a écrit :
Elle nous fait son numéro de flagorneuse comme toute femme «qui se respecte». Il n'y a pas si longtemps, elle nous accusait d'être complices toi et moi, et maintenant elle aime ta pensée, cette conne |
Et alors, l'un n'empêche pas l'autre dans les deux cas |
| | C'est vrai que ma pensée est trés belle ! Et toi tu es jaloux de mes belles pensées |
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