Dernières réponses |
| Pourquoi la force morale empécherait-elle de tomber ? |
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| DeMars a écrit :
La force émotionelle, est-ce le fait de ne pas tomber ou plutôt être capable de se relever? |
De ne pas tomber, puis de se relever si on tombe |
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| La force morale n'est rien si on n'a pas l'intelligence nécessaire pour savoir s'en servir. Et puis l'émotion peut également saper le moral et couper les forces. |
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| La force émotionelle, est-ce le fait de ne pas tomber ou plutôt être capable de se relever? |
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| Si j'ai eu une expérience qui m'a fait peur ou m'a attristé, ou énervé, alors j'aurai tendance à ne plus vouloir la recommencer. Donc ca ml'apprend des choses. L'ennui c'est que ca peut aussi se transformer en blocage émotionnel inconscient. La douleur permet ainsi d'apprendre des choses mais plutôt à la manière des réflexes conditionnés. Il faut y ajouter de l'analyse si on veut vraiment comprendre. |
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| Atil a écrit :
La douleur est aussi une information : elle nous indique quand nous faisons une chose dangereuse. |
Penses tu que cette douleur physique qui apprends puisse être transposable à la douleur emotionnelle? |
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| Entre le blanc et le noir y'a d'autres couleurs? |
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| La douleur est aussi une information : elle nous indique quand nous faisons une chose dangereuse. par exemple : Si je touche un objet brûlant, la douleur que je ressens m'apprend que toucher un objet brûlant est dangereux. |
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| "Qui peut se targuer de ne jamais avoir besoin des autres?" >>>>>Ca dépend si c'est physiquement ou moralement. "Et comment avoir la sensibilité nécessaire qui fera que l'autre veuille se laisser aider sans tomber dans la sensiblerie. La marge est mince et dans un état de détresse émotionelle, il est facile de provoquer l'effet contraire." >>>>>>C'est la détresse émotionnelle qui est due à la sensiblerie. Et il ne faut pas confondre sensibilité (finesse et précision) avec sensiblerie (émotivité). Pour comprendre les choses il faut les analyser calmement ... hors cela n'est possible que lorsqu'on a calmé son agitation émotionnelle. Mais la souffrance est quand même utile pour nous instruire, car elle attire notre attention sur les problèmes à résoudre. Si nous ne souffrions jamais, alors nous serions amorphes, bêtement heureux, et nous n'aurions aucune raison de chercher à nous instruire dans quelque domaine que ce soit. Si on cherche et étudie c'est qu'on veut soit trouver du plaisir, soit échapper à du déplaisir. |
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| Qui peut se targuer de ne jamais avoir besoin des autres? Et comment avoir la sensibilité nécessaire qui fera que l'autre veuille se laisser aider sans tomber dans la sensiblerie. La marge est mince et dans un état de détresse émotionelle, il est facile de provoquer l'effet contraire. Parfois, seulement être présent quand l'autre le demande est suffisant et d'autres fois, il faut intervenir, c'est une question de vie ou de mort. |
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