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Atil
"Si l'univers du futur est plus large du côté futur et plus étroit côté passé il a implicitement des "bornes" "

>>>>>>>Si on regarde notre univers à partir d'un univers doté d'un nombre de dimensions supérieur, il est probable qu'il paraisse borné. Tout comme la terre semble n'avoir pas de bornes si on la croit plate, alors qu'on la voit bornée si on la voit flottant dans l'espace à 3 dimensions.




"l'univers par augmentation de l'entropie s'évanouit en chaleur et la matière elle même se désintègre. Tout se désintègre et reviens au néant. Le temps est donc bornée et un accident de la création. "

>>>>>>>Le tout est de savoir s'il y a un rapport entre le temps en tant que dimension et le temps entropique. Ou alors si c'est juste une coïncidence si les deux semblent correspondre.




"Quant est il de du processus inverse? Le néant ne donnerait-il pas naissance à la matière par émergence d'ondes stationnaires de manière infinie?"

>>>>>>>On dit parfois que le monde serait apparu grace à une fluctuation quantique du vide ... et que celle-ci se serait "emballée" sans pouvoir revenir en arrière (pour l'instant).
Je me demande ce que deviennent les lois de l'entropie au niveau quantique.
Sont-elles encore valables ?
On dit bien que le temps n'a plus de sens défini à cette échelle.



"L'univers ne se régénérerait-il pas indéfiniment dans une entropie infinie et une expansion somme toute "immobile" et sans fin? Une expansion stationnaires elle aussi?

Et son univers opposé et inverse n'en ferait-il pas de même et avec le même coefficient d'inflation d'espace. "

>>>>>>>Normalement le temps apparait à l'instant du bib-bang. Il n'y a donc pas d'"avant" le big-bang puisque le temps n'existait pas "avant" le big-bang.
A moins que ... et si "avant le big-bang" il y avait un temps inversé ? Un peu comme on a les nombres positifs d'un coté du zéro et les nombres négatifs de l'autre, on aurait un temps positif d'un coté du temps zéro et un temps inversé de l'autre.
Et certains pensent que l'antimatière n'est autre que de la matière dans un temps inversé. L'antimatière manquante serait donc la : dans un anti-monde au temps inversé se trouvant "avant" le big-bang.



"Ce coefficient ne serait il pas aussi la conséquence d'une résonance stable de niveaux d'énergies permettant ainsi à une multitude d'univers à expansion plus ou moins rapide de coexister de manière parallèles et toujours jumelée? Ces coefficients d'inflation de l'espace parallèle et stabilisé ne seraient ils pas eux même des résonances stabilisés de niveaux d'énergies?"

>>>>>>Mais qu'est-ce qui causerait cette stabilisation ?
Est-elle réelle ... ou temporaire ?




"Deux univers à coefficients d'inflations d'espaces existant en parallèle n'ont il pas en réalité que des vitesses d'inflations relatives l'un à l'autre déterminé par la densité de temps elle même? "

>>>>>>Mais que serait cette "densité" du temps ?
chachito
Si l'univers du futur est plus large du côté futur et plus étroit côté passé il a implicitement des "bornes"

Pour reprendre la définition de ASE

"Un coefficient d'inflation d'espace. "

l'univers par augmentation de l'entropie s'évanouit en chaleur et la matière elle même se désintègre. Tout se désintègre et reviens au néant. Le temps est donc bornée et un accident de la création.

Quant est il de du processus inverse? Le néant ne donnerait-il pas naissance à la matière par émergence d'ondes stationnaires de manière infinie?

L'univers ne se régénérerait-il pas indéfiniment dans une entropie infinie et une expansion somme toute "immobile" et sans fin? Une expansion stationnaires elle aussi?

Et son univers opposé et inverse n'en ferait-il pas de même et avec le même coefficient d'inflation d'espace.

Ce coefficient ne serait il pas aussi la conséquence d'une résonance stable de niveaux d'énergies permettant ainsi à une multitude d'univers à expansion plus ou moins rapide de coexister de manière parallèles et toujours jumelée? Ces coefficients d'inflation de l'espace parallèle et stabilisé ne seraient ils pas eux même des résonances stabilisés de niveaux d'énergies?

Deux univers à coefficients d'inflations d'espaces existant en parallèle n'ont il pas en réalité que des vitesses d'inflations relatives l'un à l'autre déterminé par la densité de temps elle même?

Si vous comprenez quelques chose à ce charabia qui me viens du ressenti votre écho me remplira de joie.
Atil
L'idée même d'expansion n'a de sens que si le temps s'écoule.
Si on regarde le temps globalement, pour ne plus le voir s'écouler, ce qu'on voit c'est que l'univers est plus large d'un coté (celui du futur) que de l'autre (celui du passé).
Ase
évidemment puisqu'elle est liée a l'expansion de l'univers., mais la encore cela dépend de la topologie de l'univers.
Atil
Même si son écoulement n'est qu'une interprétation par le cerveau, le temps a quand même un sens, une orientation : celui de l'augmentation de l'entropie.
Ase
Le temps vécu consciemment comme un flux unidirectionnel semble bien être une construction de notre dispositif psycho-cérébral. Cela correspond à un certain niveau d'organisation de l'univers aussi car au niveau micro-physique le "temps" tel qu'il est vécu consciemment par des êtres comme nous n'existe pas à proprement parler.

Dans son ouvrage "Mind Time", Libet montre dans ses expériences sur l'antédatage perceptif, que la conscience semble faire des sauts dans le temps. Il semblerait que c'est bien notre esprit qui, par souci de cohérence dans la vie quotidienne, "situe" la sensation avant (quelques millisecondes) la survenue de l'activité déterminante au niveau cortical.

Le temps est peut-être un flux bidirectionnel en perpétuelle reconfiguration à partir d'une "interface" de rencontre des deux vagues dans le moment présent.
Et l'impression de fluence orientée peut se décrire dans le cadre relativiste comme une ligne d'univers dans lequel c'est le point d'observation le long de la ligne qui est en translation et non la ligne elle-même.

Le temps qu’on définit en relativité est plus qu’une simple dimension, c’est une variété d’espace. Donc il lui correspond une topologie propre.
Il pourrait exister deux types de temps: celui de la durée et celui qui fait le pas d'incréments de transformations dans l'univers.
Le deuxième serait plus une sorte de hachage des transformations, un "bip" de synchronisation. En effet, même dans les mondes spirituels où le "temps n'existe pas" selon les dires de l'au-delà, il y a bien des mouvements, des transformations, qui se déroulent selon un ordre.
Le fait que le temps "n'existe pas" est selon ce que j'ai pu lire le fait que l'opération peut durer 1 millisecondes ou bien 10 ans indifféremment... finalement cela signifie juste que la durée est modifiable. Mais il faut des "bips" qui disent de passer au "pas de calcul suivant" pour prendre l'image d'un logiciel qui travaille par différences finies. Donc le temps de la durée, peut se voir comme un flux d'énergie qui passe à travers la matière; et celui du déroulement linéaire, de la chaîne des opérations par "bips" est de toute autre nature et peut se voir non pas comme du "temps" mais comme de la "transformation".
En tant qu'humains on mélange les deux, car à la fois nous avons un chaînage des transformations et une durée de chaque maillon infinitésimal égale.
syntax error
en fait il faut placer le mental dans le temps présent depuis un point de vue dans le temps futur.
Atil
"c'est les flux des vagues qui vous arrive de partout,"

>>>>>>>Rien n'arrive si le temps n'existe pas.
Le temps n'est donc pas une chose qui arrive.
Il est ce qui permet aux choses d'arriver.



"c'est ce qui fait que tout chose vibre au niveau quantique"

>>>>>>>Rien ne vibre si le temps n'existe pas.
Le temps n'est donc pas une chose qui vibre.
Il est ce qui permet aux choses de vibrer.



"Quand les "spirituels" disent qu'il n'y a que l'instant présent, ça devrait mettre la puce à l'oreille. "

>>>>>>>Donc il n'y a pas de flux, pas de chose qui arrive, pas de chose qui vibre. Tout cela n'est qu'une illusion (ou une interprétation) due à la structure de notre cerveau.
Le temps existe, mais il n'est pas une chose qui "bouge".
Le mouvement est l'interprétation du temps par notre cerveau.



"le temps c'est la célérité à laquel ce produit cet échange convergeant/divergeant."

>>>>>>>Il n'existe aucune célérité si le temps n'existe pas.
Le temps n'est donc pas de la célérité.
Il est ce qui permet à la célérité d'exister



"N'est ce pas plutôt l'image que l'on se fait du temps qui serait périmée ? "

>>>>>>>La science actuelle concoit le temps comme une dimension.
La vision du temps comme étant une chose qui "passe" est périmée depuis longtemps.
La vision du temps par la science se rapproche bien plus de la vision du temps par les mystiques.



" je ne vois qu'une seule et même chose, le flux permanent de l'impermanance, c'est ça le Temps."

>>>>>>>Ca c'est comment le temps apparait lorsqu'il est interprété par notre cerveau (le temps psychologique).




"mais ce temps "psy" n'a aucune réalité physique puisque tout ce déroule dans l'instant présent,"

>>>>>>>Et ca c'est comment le temps est vu par la science et les mystiques.
Blazingstar
Il ne s'agit pas de nier le temps psychologique puisqu'il est l'outil de l'ego (l'ego est lui même un outil), ce temps t1-t2...tn n'est qu'une projection permettant de "faire", mais ce temps "psy" n'a aucune réalité physique puisque tout ce déroule dans l'instant présent, à l'instant actuel pendant lequel ton point d'observation est traversé par le flux de l'impermanance (pour pas dire les mots ondes ou vibrations sans employer les appelations physique de la dynamique des champs de force du "vide").
syntax error
j'espère que le Blazingstar n'est ni un programmeur, ni un dirigeant, ni un médecin.
 
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