Dernières réponses |
| "Nyctémère" est une exception : c'est le seul mot savant qui est passé dans le langage des jeunes des banlieues |
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| nycmémère |
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| nyctamère! |
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| Prostituée ! J'ai forniqué tout le nyctémère. je suis épuisé ! |
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| Espèrons-le. Putain, j'ai niqué toute la nuit. Je suis crevé... |
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| "Meuf" et "keuf" sont encore pas mal utilisés en dehors de ceux qui ne parlent paqs le verlan. Mais il est probable que ces mots ne s'imposeront pas dans la francais. |
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| Zig a écrit :
Il est clair que le verlan, par exemple, ne laissera pas de trace dans la langue française et c'est tant mieux. C'est un frein à la compréhension, une déformation absurde. Ce n'est pas une évolution artificielle : c'est une régression. |
Il s'agit d'une langue de "société secrète" donc faite pour n'être comprise que des initiés... Toute langue prétend à l'universalité, pas le verlan... |
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| Quand on y pense bien, les jargons de banlieue ne servent qu'à raconter des conneries. Ce ne sont que des langages dont le vocabulaire spécial sert surtout à exprimer des émotions, des histoires de culs, des magouilles diverses, et guère plus. Essayez un peu de traduire un texte de physique ou de philosophie dans le jargon de la partie sud de la cité à Momo (pas la partie nord : le dialecte y est complètement différent).
Edité le 10-01-2008 à 18:01:57 par Atil |
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| Je suis d'avis que le verlan pour les mots vulgaires, c'est l'idéal. Comme «teub», par-exemple. Sinon il y a l'argot qui apporte une certaine couleur, comme : putain d'enfoiré de sale métèque à la con. Ce ne serait pas marrant de laisser tomber tout ça, quand même. |
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| Il est clair que le verlan, par exemple, ne laissera pas de trace dans la langue française et c'est tant mieux. C'est un frein à la compréhension, une déformation absurde. Ce n'est pas une évolution artificielle : c'est une régression.
Edité le 09-01-2008 à 23:52:05 par Zig |
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