| Dernières réponses | |  "un jour, il y a quelques années, j'ai reçu un message du ase : dès la première ligne, il apparaissait que le ase faisait partit d'un monde délirant avec lequel je n'avais rien à voir"
---> du vent.
Edité le 16-11-2008 à 15:57:50 par Ase
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""Sous prétexte de sécurité, on oublie leur statut de malade", déplore le Pr Lazarus, auquel l'idée d'un fichage rappelle "le marquage du fou dans l'Ancien Régime"."
Voilà enfin le vrai sujet...
Bon, soyons sérieux rien qu'un poil... Un délinquant qui intègre l'hôpital psy au lieu d'aller en prison, est-il lésé? En quoi? Le fait d'avoir assassiné quelqu'un dans "un instant de folie" empêcherait-il le citoyen lambda d'être fiché quand nous le sommes tous pour des bricoles.
On atterrit...
On respire...
On poses ses bagages...
Et on se pose la question essentielle ici:
"Quand va-t-on cesser de légiférer sous le poids de l'immédiateté de l'actualité?"
Le reste n'est qu'occasion de vouloir ferrailler à tous prix... |
| | Scientosophe a écrit :
[citation=tayaqun]Scientosophe semble bien mal connaître l'organisation administrative de son pays... |
:lol:[/citation]
Pris dans le texte proposé par Scientosophe:
Le président de la République a chargé les ministres de l'Intérieur, de la Justice et de la Santé de "préparer sans délai" cette réforme au lendemain du décès d'un jeune homme de 26 ans poignardé par un patient d'un hôpital psychiatrique dans une rue de Grenoble, mercredi.
"C'est un fait divers tragique, et à partir de là on voudrait faire des généralisations qui nous semblent hâtives", a déploré le Dr Jean-Pierre Capitain, président du Syndicat des psychiatres français, joint vendredi par l'Associated Press. "Le fichier peut être intéressant pour la police, mais ce n'est pas le terrain sur lequel se situe la psychiatrie", a-t-il ajouté.
Ce qui revient bien à dire qu'on ne fait pas un cas général à partir d'un cas particulier...
Si l'on peut mettre les gens en tôle, je voudreais bien savoir au nom de quel principe de vie collective il faudrait croiser les bras quand des personnes sont en crise.
Quand j'étais gamin, on disait "la critique est aisée, l'art est difficile". |
| | | | un jour, il y a quelques années, j'ai reçu un message du ase : dès la première ligne, il apparaissait que le ase faisait partit d'un monde délirant avec lequel je n'avais rien à voir.
Edité le 16-11-2008 à 09:50:04 par Scientosophe
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| | | De toute façon scientosophe est le cas typique de ces gens qui ont eu de sérieux problèmes avec ces personnes qu'il dénonce. Echanger et débattre avec lui sur ces thèmes, c'est échanger et débattre avec un sourd. Soit il répond par : "c'est des conneries", soit par un "lol" en smiley qui ne réflète qu'un sentiment de malaise et de tristesse intérieure, soit par aucune explication. |
| | tayaqun a écrit :
Scientosophe semble bien mal connaître l'organisation administrative de son pays... |
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| | Scientosophe semble bien mal connaître l'organisation administrative de son pays...
Quand on interne quelqu'un, je suppose que ceux qui réceptionnent le problème se posent le cas de conscience ou font preuve de professionnalisme.
Il ne faudrait pas ici entamer une discussion du genre "la ceinture " tue...
Oui, cela arrive...
Mais quel est le cas général?
La bonne organisation de notre société suppose et je l'ai dit, un équilibre des pouvoirs. Si l'on suppose que tout est mauvais, qui me dira qu'il est, lui-même, sain?
Dans le genre des déviations, il y a des juges qui tuent, des instits pédophiles, des médecins assassins, des profs qui abrutissent, des élus corrompus, de saintes putains, des aliments destructeurs, des médicaments qui tuent, des capotes trouées, des feux qui vous glacent...
OUi, tout se voit...
Mais n'est-ce pas bien mal réfléchir que de généraliser sur un cas particulier?
agir à bon escient, est-ce une simple formule? Un souhait? |
| | mais qui juge ? un médecin en moins de 5 minutes sur les oui-dires d'un rapport de 2 à 4 pages rédigés par des incompétents ? l'abolition de la peine de mort et la justice est une masquarade.
Edité le 15-11-2008 à 15:08:33 par Scientosophe
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| | Le problème ne me semble pas tellement être de nature judiciaire.
Le problème est plutôt de savoir si la médecine actuelle est capable de reconnaitre un fou dangereux d'un fou complètement guéri.
La justice doit s'adapter aux possibilités de la médecine actuelle (et non pas le contraire) si elle veut parvenir à maintenir la sécurité des citoyens. |
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