Dernières réponses | | Oui en fait il semble qu'il y en ai pas, y a quelques réferences mais toutes soumises a interprétations. http://arras.cef.fr/page-10747-3eme-jour.html |
| | Pas que je sache. |
| | Y a pas des passages de l'AT qui parlaient d'une resurection en 3 jours ? |
| | Il y a quoi écrire remplir le contenu d'un bibliothèque à partir de ce message partiel, incomplet et mité et surtout à partir des polémiques, commentaires, et suppositions relatives à une découverte non datée et non localisée si l'on comprend bien. Du flou vu dans le brouillard tombé sur un paysage de neige. |
| | c'est les lignes 79-80-81 qui sont la source de la polémique: 79. from before You, the three si[gn]s(?), three …[….] 80. In three days li[ve], I, Gabri’el …[?], 81. the Prince of Princes, …, narrow holes(?) …[…]… |
| | Dommage que ce soit dans la langue de la perfide Albion. |
| | Une revue sérieuse sur les découvertes dans le milieu archéologique, je ne me souviens plus du nom, ca parlait aussi d'une mosquée découvert dans un temple datant de la période pharaonique. Tiens tu as la traduction de la stèle dans mon précedant message. |
| | Une étude plus poussée sur cette affaire (a lire) : http://www.evidenceandanswers.org/articles/Gabriel's%20Vision%20Article.pdf D'après ce lien, rien ne montre que la stèle renvoit a l'ange Gabriel. L'origine de la tablette est inconnue. Rien n'indique que cette tablette évoque la résurection de Jésus Christ. Les élements de la ligne 80 de la stèle (qui a servi au professeur Knohl pour faire son interprétation) sont trop peu nombreux et assez indéchiffrables selon Ada Yardeni. etc. Traduction de la stèle : http://www.bib-arch.org/news/dssinstone_english.pdf |
| | A Auchan, dans quel livre as-tu lu quelque chose sur ce sujet ? Dans la revue Archéologia ? |
| | La paléographe Ada Yardeni est plus prudente, concernant le mot clé: "vis". "La lecture du professeur est plausible bien que l'orthographe employée soit rarissime", déclare cette spécialiste des écritures anciennes qui a publié la première description de la stèle en 2007 dans la revue d'histoire et d'archéologie israélienne Cathedra. Elle s'était alors contenté de dessiner le terme sans décider de son sens. De son côté, le chercheur israélien Yuval Goren, spécialisé dans la découverte des faux, affirme n'avoir pas "décelé de signe d'un faux dans la texture même de la stèle", qu'il a inspectée. "Toutefois mon analyse n'a pas porté sur l'encre elle-même", souligne le directeur du département d'archéologie et de cultures anciennes de l'université de Tel-Aviv. Une archéologue, qui a demandé à ne pas être identifiée, exprime quant à elle des doutes sur l'authenticité de ce vestige archéologique. "C'est très étrange qu'un texte ait été écrit à l'encre sur une stèle et qu'il se soit conservé jusqu'à nos jours. Pour être certain qu'il ne s'agit pas d'un faux, il faudrait savoir dans quelles conditions la stèle a été découverte et où exactement, ce qui n'est pas le cas", relève-t-elle. Elle rappelle que les faussaires d'antiquités ont recours à des moyens de plus en plus sophistiqués pour placer leur production sur le marché. source: 8/7/2008 AFP Jerusalem par Marius SCHATTNER |
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