Sujet :

Bonheur forcé, suicide...

PizzaMan
   Posté le 30-05-2004 à 02:45:41   

L'ami de mon ami était son ennemi, à une époque ou un certain taoiste de merde tentait de jouer avec les mots pour se donner un semblant de prestige, à défaut d'avoir de l'humour. Il n'a pas changé d'ailleurs. Il tirait la barbe des autres en matant des westerns, ce con.

Mais son sourire forcé était aussi le fruit de son imagination et c'est son éducation, qui lui a fait défaut. Il faut le dire.
Peu d'éducation en fait. Il a appris à lire très tard, et sa meilleure amie est sans doute uniquement sa petite encyclopédie Hachette.

Ben oui merde ! Putain ! Il faut avoir de l'indulgence !

PS.
Désormais, ce post est en parfaite adéquation avec les deux autres suivants.
Membre désinscrit
   Posté le 30-05-2004 à 09:58:05   

Le jour ou l'ami de ton ami qui fut ton ennemi dans les temps jadis argumente ce qui n'existe que dans son imagination, attrappe ta barbe d'une main, et dis-toi que même le microbe serait contraint de laisser le chien des Baskerville dans les plaines du Far West quand vient le soir.
mamy42
   Posté le 02-06-2004 à 12:04:57   

L'éducation de jadis, sur la quelle pèsent-hélas !
Tant de trémolos nostalgiques, définissait l'enfant " bien élevé " comme celui qui ne prend jamais la parole, sauf pour repondre quand on l'interroge.

C'etait à coup sûr une éducation dangereuse. Un enfant qui n'a pas le droit de s'exprimer librement va s'enfermer dans ses rêves, ses fantasmes, ses représentations de lui-même, des autres et du monde.

Actuellement la jeunesse est livrée à elle même ,sans repère, sans foi ni loi, ils ne sont pas compris "pensent-ils "en fait, on peut dire qu'on ne dialogue pas assez, avec eux.

Il s'installe un mal-être, mal de vivre, mal dans sa peau, le monde leurs semble dur.

Message édité le 02-06-2004 à 12:07:41 par mamy42