Sujet :

Force ou faiblesse interieur

Milie
   Posté le 21-04-2009 à 12:23:54   




Ce sujet parcequ'entre ici et des dialogues avec des amis(es)... Il est facile de distinguer ceux qui ont de la force intérieure, et ceux qui n'en ont pas, ou trés peu.
Mais ce que jai constatée, c'est qu'à ces faiblesses bien souvent s'associe le matérialisme, le superficiel, les croyances, bref des domaines ou l'on estime, ou exige mériter, mais surtout sans donner.
Alors que ceux ayant de la force, sont ceux passant leurs temps a partager, ou donner d'eux mêmes, sans pour autant estimer devoir en avoir des retours.

Alors c'est vrai que ce sont des opposée, puisque l'un stagne, alors que l'autre progresse.

Le faible sera facilement destabilisé, mal dans sa peau, et dans sa vie, lorsqu'il n'a pas ce qu'il veut ou qu'il a peur de perdre ce qu'il a .
Alors que le fort aura toujours les courrages, et volonté de se confronter aux défies de la vie.
-l'un s'ancre en ses vouloirs, alors que l'autre expérimente ses pouvoirs.


Qu'elles seraient vos pensées à ce sujet ?......





Edité le 21-04-2009 à 12:27:44 par Dalaha


Membre désinscrit
   Posté le 21-04-2009 à 13:08:25   

tant de confusions est remarquable

faiblesse physique, émotionnelle ou mentale ? pourquoi le courage, la force et la volonté seraient-elles des caractéristiques réservées au fort ? le courage, la force et la volonté sont-elles liées ? quel rapport entre tout ceci et le pouvoir ? n'y a-t-il pas le pouvoir du fort et le pouvoir du faible ? pour les uns, l'amour est faiblesse alors que pour les autres l'amour est force. pour les uns, la compassion est faiblesse alors que pour les autres la compassion est force. la pitié n'est-elle pas confondue avec la compassion. l'énergie et l'effort ne sont-ils pas confondus avec la volonté et le courage ? la confrontation nécessite-elle ces attributs ou demande-t-elle simplement de la sincérité et le rejet du mensonge ? le mensonge, force ou faiblesse ? le fort progresse-t-il vraiment par rapport au faible ? qu'est ce fait le fort et qu'est-ce qui fait le faible ? quel est le rôle de l'envie et de désir, ou de la haine et ce genre de choses ?


Edité le 21-04-2009 à 13:32:50 par dimmu


Milie
   Posté le 22-04-2009 à 01:41:43   






Scientosophe<<<faiblesse physique, émotionnelle ou mentale ?

En les bas-fond, les 3 se réunissent.


Scientosophe<<<pourquoi le courage, la force et la volonté seraient-elles des caractéristiques réservées au fort ?

Parceque toujours, ils se remplissent .

Scientosophe<<<le courage, la force et la volonté sont-elles liées ?

Elles s'associent face aux défies.

Scientosophe<<<quel rapport entre tout ceci et le pouvoir ?

La flamme s'entretient en l'expérimentation de ses ressources.

Scientosophe<<< n'y a-t-il pas le pouvoir du fort et le pouvoir du faible ?

Il y a l'auto-régénération et l'auto-suggestion

Scientosophe<<< pour les uns, l'amour est faiblesse alors que pour les autres l'amour est force.

Aimer sans rien attendre en retour, là est de connaitre le vrai Amour .

Scientosophe<<< pour les uns, la compassion est faiblesse alors que pour les autres la compassion est force. la pitié n'est-elle pas confondue avec la compassion

Elle est une appélation

Scientosophe<<< l'énergie et l'effort ne sont-ils pas confondus avec la volonté et le courage ?

Ils sont dissociés entre ce qui se ressent et ce qui peut être nommé.

Scientosophe<<< la confrontation nécessite-elle ces attributs ou demande-t-elle simplement de la sincérité et le rejet du mensonge ?

Les confrontations ce font en des reculs. Des détachements à ce qui ancre.

Scientosophe<<<le mensonge, force ou faiblesse ?

Illusion perpétué.

Scientosophe<<<le fort progresse-t-il vraiment par rapport au faible ?

Le fort Existe

Scientosophe<<<qu'est ce fait le fort et qu'est-ce qui fait le faible ?

L'un ne sait que donner, l'autre ne fait que demander.

Scientosophe<<<quel est le rôle de l'envie et de désir, ou de la haine et ce genre de choses ?

Ce ne sont que des vouloirs prenant multiples formes, pour des faires valloir de pouvoir illusoire.

Membre désinscrit
   Posté le 22-04-2009 à 10:30:07   

remarquable.

quelqu'un aurait-il un traducteur ?


Edité le 22-04-2009 à 10:31:07 par dimmu


Atil
   Posté le 22-04-2009 à 18:55:54   

Le faible a besqoin des autres.
Mais pourquoi le fort aurait-il forcément envie d'aider les autres, même s'ils ont besoin de lui ?
Milie
   Posté le 22-04-2009 à 20:44:03   




Atil a écrit :

Le faible a besqoin des autres.
Mais pourquoi le fort aurait-il forcément envie d'aider les autres, même s'ils ont besoin de lui ?


Ses elans sont des manifestations envers, pour et en un pied d'égalité.


Atil
   Posté le 22-04-2009 à 20:51:42   

Ne peut-on donc pas être fort sans avoir d'élan ?

Le fort n'est-il pas inébranlable ?
Milie
   Posté le 22-04-2009 à 21:09:17   



Atil<<<Ne peut-on donc pas être fort sans avoir d'élan ?

La flamme s'entretient en l'expérimentation de ses ressources.
La valeur de l'elan génère l'orientation des dites "ressources"

Atil<<< Le fort n'est-il pas inébranlable ?

Toujours, il renait encore plus fort.


zorglub
   Posté le 23-04-2009 à 01:52:21   

serait-ce l'inébranlabilité qui fait la force?
Atil
   Posté le 23-04-2009 à 08:21:40   

Peut-être pas.

Regardons l'exemple de la fable du chène et du roseau : le chène semble être plus solide que le roseau. Mais dans la tempête, le chène est déraciné alors que le roseau plie mais se se rompt pas.
Milie
   Posté le 23-04-2009 à 08:24:03   


zorglub a écrit :

serait-ce l'inébranlabilité qui fait la force?


Face aux défies ou à ce qui peut ébranler, le fort relativise en des reculs, parceque non débordé par des émotionnels, il ne se concentre qu'aux essentiels.