Dernières réponses | | rime très très riche! Mais c'est Totor, on l'ignore maintenant... |
| | Ô, fragiles Hébreux ! Allez, Rebecca, tombe ! Offre à Gilles zèbre, œufs. À l'Érèbe hécatombe ! (Victor Hugo) Ca ne veut rien dire, mais la rime est trés riche |
| | lol pas mal, voilà un poème que je peut comprendre ^^ |
| | La nuit était noire La lune était blanche Nous étions seuls Elle et moi Sa peau si douce Ses yeux si bleus Je savais ce qu'elle Attendait de moi Je lui dis de se calmer, De ne pas se rebeller, Je fis courir ma main Sur ses reins. Je n'y connaissais rien Mais je fis de mon mieux Pour placer mes doigts Sur ses seins. Je me souviens de ma peur, De l'excitation de mon coeur, Jusqu'à ce moment béni, Ou ma honte s'enfuit. Après quelques " Hisse " et " Han " , Il ne fallut pas longtemps, Pour qu'en un jet puissant, Jaillisse le liquide blanc. Enfin, j'avais réussi, J'étais un homme à présent. C'était la toute première fois cet automne, QUE JE TRAYAIS UNE VACHE BRETONNE Ouah ! ah ! ah ! Délire !!! |
| | Oui tout comme un tableau. J'ai beau avoir lu des poèmes, je n'arrive pas a y être sensible, alors qu'une oeuvre d'art me "fascine", me "parle" plus. |
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Ase a écrit :
Mais tout le monde sait qu'il y a pas de rapport a chercher ^^. Un poème est un poème quel qu'il soit. C'est une façon comme une autre de s'exprimer (et non de s'élever). |
Un poême dans une inspiration est juste une façon de s'exprimer dans un moment present... Chacun y trouve, ce qu'il a envie d'y retrouver... |
| | Mais tout le monde sait qu'il y a pas de rapport a chercher ^^. Un poème est un poème quel qu'il soit. C'est une façon comme une autre de s'exprimer (et non de s'élever). |
| | un petit autre pour la route; Honte Tant que la lame n'aura Pas coupé cette cervelle, Ce paquet blanc vert et gras A vapeur jamais nouvelle, (Ah! Lui, devrait couper son Nez, sa lèvre, ses oreilles, Son ventre! et faire abandon De ses jambes! ô merveille!) Mais, non, vrai, je crois que tant Que pour sa tête la lame Que les cailloux pour son flanc Que pour ses boyaux la flamme N'auront pas agi, l'enfant Gêneur, la si sotte bête, Ne doit cesser un instant De ruser et d'être traître Comme un chat des Monts-Rocheux D'empuantir toutes sphères! Qu'à sa mort pourtant, ô mon Dieu! S'élève quelque prière! A. Rimbaud Ps: Cherchez pas de rapport, il n'y en a pas. Bye |
| | Pour en voir de toutes les couleurs: A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silence traversés des Mondes et des Anges : - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! - A. Rimbaud |
| | Ase a écrit :
Le coeur illuminé de Dalaha est revenu ! C'était bien la drague avec SirQris ? |
C'est peut être au contraire les pop corn ! |
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