Dernières réponses | | Dans le sureau qui ombrage sa chambre Un merle plaintif module son chant. Son reflet s'argente dans le miroir Reflet étranger dans le clair-obscur. |
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Edité le 19-10-2017 à 17:02:47 par Milie |
| | Perfectionniste ! |
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Edité le 19-10-2017 à 17:02:29 par Milie |
| | L’œuvre est-elle plus belle lorsqu'on emprunte un autre point de vue ? |
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Edité le 19-10-2017 à 17:01:24 par Milie |
| | Il existe une ligne verticale sur ce visage qui découpe la frontière de deux réalités. La forme des yeux, les commissures de la bouche, la tenue des cheveux, leur teinte, la courbure des sourcils, la finesse du nez, l'arrondi de la mâchoire, tout est différent. Que l'on regarde une moitié sans l'autre et on aura deux lectures différentes de ce même visage. La part de droite est bienveillante, rayonnante, douce, consensuelle, idéaliste. La part de gauche dévoile une forme d'aridité, une sophistication, de l'autorité, de la réprobation, de l'insolence, de la détermination. Amicalement votre. |
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Edité le 19-10-2017 à 16:06:08 par Milie |
| | Tu sembles vouloir transformer la tristesse en joie, la peur en amour. Tu sembles vouloir ce qui semble beau et heureux en apparence. Cet évitement du laid n'est-il pas symptomatique ? N'est-ce pas dans ces différences, que l'on nomme imperfections, que l'on est une individualité ? As-tu désiré l'ambivalence qui se lit sur ce visage ? |
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Edité le 19-10-2017 à 17:01:46 par Milie |
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