| Dernières réponses | |  C'est hors de ma norme en tout cas. PizzaMan est quelqu'un d'extra-ordinaire. Ce qui fait de son expérience un sujet d'étude particulièrement intéressant.
Question : as-tu déjà craint pour ta santé? Combien de temps durent en moyenne tes coups?
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Sophie, évidemment.
Nathalie, rien dans la cervelle mais une jolie bouille quand même. Elle ressemblait un peu à Lio...
Béatrice, la grosse cochonne qui m'a dépucelé à 15 ans. En fait elle a dépucelé presque tous les ados du 13ème arrondissement entre 1995 et 2000, selon une légende urbaine... 
Valérie, la gothique dépressive avec laquelle j'ai pu tirer ma crampe parce qu'elle était bourrée. Le lendement on s'était réveillés dans le lit de bébé de sa petite soeur qui était évidemment absente, partie avec sa mère à la campagne.
Claire, une femme qui avait 10 ans de plus que moi, rencontrée en boîte avec un pote Camerounais. Mon premier trip à trois. Pendant que je lui bourrais la chatte par derrière, elle faisait une pipe à mon pote. C'était super.
Ellen, mon ex-patronne plus agée que moi, dont je n'ai jamais su l'âge. C'était un coup formidable. Elle savait faire plein de trucs avec ma zigounette. J'ignorais à cette époque qu'il y avait autant de techniques pour se faire masturbationner de la sorte !
Georgia, une jolie grecque qui venait de se marier et qui sans doute voulu enterrer sa vie en tirant un coup avec moi. Cheveux courts et bouclés, jolie bouche de suçeuse, gros nibards comme nous les mecs on les aime. Des putains de gros nibards !!!
Natacha, une psychotique schizophrène qui s'est offerte à moi. Un physique singulier, de petite taille, un visage très jeune. Avec ses cheveux très blonds, presque blancs, aussi blancs que sa peau, ses petits seins, sa petite chatte bien étroite... Elle s'est empalée sur ma bite en se tordant dans tous les sens. C'était dingue. Quand on ne baisait pas, elle s'enfonçait une brosse à cheveux dans la chatte. C'était quelque chose !
Julie, la sportive du tennis. Elle avait de jolis petits pieds avec lesquels elle pouvait me branler langoureusement la bite bien huilée.
Anaïs, la première Chinoise que je me suis faite, à Paris. C'était ma première baise «poétique». Elles n'en ont pas l'air comme ça, les asiatiques, mais c'est des folles du cul ! C'était vachement «poétique»
Et d'aussi loin que je peux remonter, ma première masturbation c'était un été, derrière chez-moi à Toulouse, il y avait le jardin de la voisine. Elle s'y trouvait allongée pour bronzer les seins nus, avec un monokini si microscopique ! Rhaaaaa ! Je me branlais la queue en la matant en cachette. Une fois, elle m'a vu et ça m'a trop intimidé. Je n'ai plus jamais osé cette expérience avec elle.
Il y a eu tous les autres coups avec ces anonymes qu'on rencontre en boîte, aussi. Je ne me souviens pas de toutes, mais il y en avait une qui m'a accompagné à l'hôtel et j'étais vachement fier, car je savais que cette fille habituée de la boîte que je fréquentais ne couchais pas avec n'importe qui. Cela vous donne une petite idée, chers lecteurs, que votre humble narrateur est plutôt beau mec. Toulouse est réputée pour se beaux mecs, d'ailleurs 
Une suite, peut-être...
Message édité le 27-05-2007 à 05:11:56 par PizzaMan |
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