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|  Pourtant on parle du "bon gout" comme si tous les gouts n'avaient pas la même valeur.
Il parrait qu'il y a de bonnes choses qui ne peuvent être appréciées que par des habitués, des initiés. Comme les grands vins ou les grands thés par exemple.
Est-ce à dire que le gout doit s'éduquer pour s'affiner ? Certains plaisirs ne sont-ils accessibles qu'aprés un entrainement et un apprentissage ?
Ou alors l'éducation du goût n'est-elle qu'une sorte de lavage de cerveau : certaines personnes s'estimant plus rafinées que les autres leurs imposeraient alors leurs gouts personnels en prétendant faire leur éducation ?
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| Le gout est par essence meme une capacité subjective d'apprécier la réalité ou l'évènement. Il n'est donc pas conditionné à une universalité de l'appréciation.
Il reste intrinséquement lié à ce que l'on ressent.
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Le bon gout existe-t-il puisque tous les gouts sont dans la nature ?
Peut-on dire qu'il existe un bon gout absolu ou tous les gouts sont-ils relatifs ?
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