Dernières réponses |
| Et "ce qui ne nous détruit pas nous rend plus fort." |
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| OK avec ta pensée Atil La pensée du jour Les difficultés ne sont pas faites pour abattre mais pour être abattues " MONTLEMBERT " |
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| Quand on est malade on se souvient avec nostalgie de l'époque ou l'on était bien-portant. Et on espère retrouver cet état dans le futur. Mais quand on est bien-portant, on ne pense pas à la chance qu'on a par rapport aux mal-portants. On devrait toujours garder en tête que c'est merveilleux si on est en bonne santé. Cela relativiserait nos autres problèmes. Aprés tout, tant qu'on est en vie, c'est le principal. |
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| C'est dans la maladie que l'on prend conscience de ce qui nous semble essentiel,c'est une forme d'être tempérant aussi. |
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| On pourrait dire que l'homme non-sage ne se montre tempérant que s'il est menacé par la maladie, la souffrance et les menaces de sanctions judiciaires. Par contre le sage se montre tempérant de par sa propre volonté. |
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| L'homme sage est donc tempérant, sinon il n'est pas sage .... ... être tempérant doit au moins avoir autant de définitions que la sagesse. Et autant de niveau, selon la personne qui en parle. L'homme a besoin de la souffrance pour être homme ? .... et l'accepter le mettrait au rang de sage ? |
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| L'Ancien avait bien raison. Et s'il le faut, considérons la vieillesse comme une maladie, ou encore la faiblesse musculaire ou intellectuelle. Lorsque l'on ne peut se défendre, alors on accepte. |
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| Pline rappelait que nous ne sommes totalement tempérants que dans la maladie, et qu'en conséquence l'homme sage devrait vivre, fût-il bien portant, exactement comme s'il était malade. Que peut-on penser de cette remarque ? |
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