Dernières réponses | | En effet Atil. Il existe même un "thermomètre émotionel" destiné à optimiser notre potentiel de développement personnel ! Cet article sur l'ouvrage de Antonio Damasio est éloquant. Le contrôle des émotions (éthique et biologie) Spinoza avait raison, Antonio R. Damasio, Odile Jacob, 2003 Joie et tristesse, le cerveau des émotions Ce livre témoigne de l'état étonnamment embryonnaire de nos connaissances sur le cerveau et les émotions, c'est ce qui fait son intérêt. http://perso.orange.fr/marxiens/sciences/damasio.htm |
| | Certains pensent que les émotions et leurs effets physiologiques ne font qu'un. Donc on ne peut pas avoir l'un sans l'autre. Pour faire disparaitre l'un il faudrait faire disparaitre l'autre. |
| | wai ben les gars, ci quelqu'un ici sur ce forum arrive un jour a contrôler l'effet physiologique de ses sentiments, je mange mes chaussures. (qu'il aie pris des cours chez un fakir, un sadhu ou n'importe quoi d'autre... :)) |
| | Fakir ou «faqir» est un mot arabe qui signifie : pauvre. Je crois qu'ils préfèreraient qu'on les appelle par leur véritable nom, soit «sâdhu». |
| | Les fakirs arrivent bien à controler tous leurs organes, même ceux qui, normalement, ne sont pas sous le controle de la volonté consciente. Donc nous devons avoir la possibilité de prendre en main nos synapses. |
| | Je suis complètement responsable de l'état de mes synapses. Vive les synapses libres! Vive la France! |
| | Bonjour Pyrame et bonjour à tous. Pour aller dans ce sens, sur le site de l'Association de Recherche, de Communication, d'Action pour l'accès aux Traitements, pour un certain nombres de patients, il y a un lien entre les drogues, la dépression et le suicide en plus du facteur psychologique, tant dans l'usage de produits de substitution employés dans le traitement du sevrage comme la méthadone, mais aussi par l'action virale elle-même dans certains cas d'hépatites. http://www.arcat-sante.org/publi/archives_hpa/psycho162.php Il y a de toute évidence une action indésirable sur les neuromédiateurs, en sachant que le cerveau est capable de fabriquer lui-même des substances psychoactives comme le fait remarquer Pyrame. C'est aussi vrai dans le cas d'une maladie d'amour résultant d'une rupture. C'est comparable à un "bad trip" après être monté au 7ème ciel ! La dépression et le suicide, comme le sentiment amoureux, étant directement lié à l'action de nos neurotransmetteurs et neuromédiateurs, il est VITAL que tout un chacun comprenne comment cela fonctionne chez lui ! http://www.lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_01/i_01_m/i_01_m_ana/i_01_m_ana.html La question qui tue est : sommes nous entièrement responsable de l'état de nos synapses ... Au plaisir de vous lire et merci pour m'avoir lu.
Message édité le 06-08-2006 à 17:02:58 par flash |
| | Idem pour moi avec le chocolat. La caféine contenue dans le café, surtout l'expresso, me fait un effet assez marrant aussi. |
| | En tout cas chez moi le chocolat agit bien comme une drogue. quand j'en mange je ressens trés bien cette "sensation d'avoir de la glace à la vanille dans le crane", pour reprendre une expression de je ne sais plus qui. |
| | Je sais aussi que certains êtres vivants n'hésitent pas a se suicider pour le bien être de la communauté également. Par exemple lorsqu'il y a surpopulation. Je pense aux lemmings, comme l'a dit zorglub mais il y a d'autres animaux également. je ne me rappelle plus lesquels. C'est peut etre hors sujet, mais tant pis. Les cellules des êtres vivants quant a elle, s'autodétruisent de manière pré-programmée. Sans ce phénomène, l'être serait atteind très rapidement de problemes tels que le cancer... Ici aussi il s'agit d'une mort individuelle, dans le but de sauver l'ensemble. le dernier science et vie, dont le titre est "ce que la science sait de la mort" parle abondemment du sujet... Je sais également que le scorpion se pique lui même lorsqu'il est entouré de flammes, il préfère s'empoisonner que de mourir brûlé. Le fait qu'on se sente bien ou pas, est lié a l'emmission de neuromédiateurs dans le corps. Les émotions en produisent. Je sais par exemple que lorsqu'on est amoureux, on produit de la phényléthylamine. Ce que fait que l'on se sent bien. Les drogues ont le même effet. Après avoir fait du sport, le corps produit également des neuromédiateurs "bienfaiteurs". L'orsqu'on se sent mal, le meme phénomène se produit, mais ce qui en résulte sont des neuromédiateurs "négatifs" ce qui produit le malaise. Peut être que lorsqu'on a le cafard, qu'on déprime, qu'on est plein de neuromédiateurs négatifs, alors on peut avoir envie de se suicider pour echapper a ce mal être? Ce serait pour moi la réponse physiologique au suicide... (dans le chocolat, il y a de la phénylethylamine, mais en quantité infime. C'est ce qui a fait dire a certains scientifique que le chocolat pourrait avoir un rôle d'aphrodisiaque. C'est malheureusement faux, a cause des trop faibles concentrations. Il est bien plus présent dans le corps d'un amoureux que dans une tablette de choco ).
Message édité le 06-08-2006 à 12:59:23 par Pyrame |
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