| Dernières réponses |
|  Les animaux de la basse-cout mettent leurs têtes dans le cul des autruches pour regardez la mire !
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| | les animaux de la bassecour mettent leurs tetes dans le cul des autruches. |
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| Pizza Man a écrit :
Il y a des assureurs pour ça. |
Salut Pizza Man.
Houlàla ! Il va me falloir cogiter longuement sur les incidences de la responsabilité.
Allons-nous découvrire que le simple fait de vivre est déjà un début de culpabilité ? 
CAUSALITÉ, RESPONSABILITÉ, CULPABILITÉ
Je ne suis pas responsable de tout ce dont je puis être la cause, ni coupable de tout ce dont je suis responsable.
http://www.crdp-montpellier.fr/ressources/agora/ag04_006.htm
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| Pour compenser «la perte de revenu que représente l'humain disparu», il faudrait encore pouvoir justifier le tout. Si chaque fois que la foudre tombe sur la tête de quelqu'un, si le sol s'effondre sous nos pieds, etc, en partant du même principe il faudrait qu'on dédommage tout le monde, à l'oeil.
Il y a des assureurs pour ça. |
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| Atil a écrit :
Mais comment compenser une douleur avec du simple argent ? |
Ben, En permettant de prendre en charge le coût (avec les frais annexes d'hébergement) de séances intensives de psychothérapie . Je mets pas de liens pour pas faire de pub gratoche !
Une fois que la victime a compris comment se débarasser de son corps de souffrance, elle est bonne pour devenir un « sérial killer ».
Pizza Man a écrit :
Maintenant, on réclame du fric soit-disant pour compenser la perte humaine. |
Je préciserais que c'est surtout pour compenser la perte de revenu que représentait l'humain disparu. 
Pour pouvoir indemniser la douleur, encore faudrait-il parvenir à la quantifier !
C'est ce que qu'il se fait à L'Hôpital Universitair de Lausanne (entre autre):
http://www.hug-ge.ch/actualite/ABC_sante/douleur/comment_evaluer.html
Message édité le 06-09-2006 à 17:55:03 par flash |
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| Il y a longtemps, nos pères fondateurs réclamaient justice, pour la perte d'un des leurs par la faute d'autrui. Maintenant, on réclame du fric soit-disant pour compenser la perte humaine.
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| Mais comment compenser une douleur avec du simple argent ?
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| Bonjour Atil. 
La souffrance des familles ayant perdues un des leurs en service commandé lors d'une opération d'assistance à une personne "victime" de sa propre imprudence est une réalité méconnue.
C'est de l'ordre du péjudice moral et/ou du "pretium doloris" (prix de la douleur).
PRÉJUDICE MORAL - D'une cour à l'autre on observe des variations. Ici Chambéry.
Perte d'un époux :12 195 E à 18 294 E
http://juriste.free.fr/prejmoral.htm
LE PREJUDICE MORAL D'UNE VICTIME UNE INDEMNISATION TROP RARE
LE PREJUDICE MORAL D'UNE VICTIME EST UN PREJUDICE FONDAMENTAL MAIS RAREMENT INDEMNISE.
http://www.meimon-nisenbaum.avocat.fr/publications_cmn.htm?id=20#a20
Il est important que ce ne soit pas les compagnies d'assurances qui en soient redevables mais bien la ou les personnes impliquées.
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| Les sauvés devraient peut_etre aussi payer une pension aux veuves des sauveteurs tués en venant les sauver.
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| Atil a écrit :
Si on prévient un alpiniste que la météo est mauvaise mais qu'il décide quand même, en toute connaissance de cause, d'aller en montagne ...
S'il se retrouve en difficulté, doit-on laisser des sauveteurs risquer leur vie pour aller le sauver ? |
Ohhh que OUI ! Parce que les sauveteurs sont ravis de prendre des risques calculés afin de sortir l'alpiniste imprudent, qui a lui-même pris son pied en prenant des risques, surtout que s'il est reconnu qu'il a enfrein délibérément les consignes de sécurité, les frais lui seront réclamés !
Le sacro-saint principe de la gratuité des secours qui datait d'une ordonnance royale du 11 mars 1733 avait déjà été écorné par la loi montagne de 1985. Le vote en février 2002 par l’Assemblée Nationale d’une loi permettant aux communes de facturer les frais générés par un secours a fait du bruit dans le petit monde montagnard.
http://www.ffme.fr/secours/loi2002.htm
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