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| Salut Verdad. C'est comme l'odeur de la mort caractéristique de la barbak en décomposition. Ca ne donne pas du tout un aperçu objectif de ce qui se vit après le passage vers l'éternité ! C'est comme comparer la vie après la mort à des personnes qui sont tombées dans un coma tellement profond que lorsqu'elles reviennent à elles parfois des années après, elles ne se rappellent plus de rien ni de ce qu'elles avaient été avant leur coma.
Message édité le 05-08-2006 à 17:41:17 par flash |
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| Atil a écrit :
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis. ... c'est ce que j'ai toujours dit |
Ce que tu ne t'appliques visiblement pas. mais sans doute es-tu un sage? |
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| Rhôôôôôô ! Gros vilain ! |
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| Il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis. ... c'est ce que j'ai toujours dit |
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| Faire «sempiternellement la même observation», ça c'est l'esprit de l'évolution ! Finalement ça explique tout. Peut-être que le petit homme pourrait faire un examen de conscience à partir de cette révélation. Afin de pouvoir changer d'avis, un jour peut-être. Qui sait... |
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| Mais au moins ca permet de savoir que les chiottent puent. C'est déja mieux que rien. |
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| Atil a écrit :
N'oublions pas que certaines personnes ont vécu des expériences aux portes de la mort. Grace aux progrés de la science on est capable, parfois, de ranimer des personnes qui venaient juste de mourir. Et elels peuvent décrir ce qu'elles ont ressenti. |
Tu reviens souvent sur ce sujet, et je fais sempiternellement la même observation: Les portes de la mort ne sont pas la mort. Parfois, tu arrives aux portes des chiottes, et ça pue tellement que tu fais demi-tour, "ravalant" tes scories. |
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| N'oublions pas que certaines personnes ont vécu des expériences aux portes de la mort. Grace aux progrés de la science on est capable, parfois, de ranimer des personnes qui venaient juste de mourir. Et elles peuvent décrire ce qu'elles ont ressenti. |
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| Peut-être donc qu'il faudrait, une fois pour toutes, ne pas tenter d'expliquer ou de savoir ce qu'il ne nous est pas permis de savoir, dans l'état ou nous nous trouvons? |
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| Les cellules cérébrales meurent tous les jours, et pas exclusivement au moment précis de la mort d'un individu. Quand au volontaire qui accepterait de se faire trucider, peut-on supposer qu'il ne sera pas aussi serein que certains le prétendent, au moment de sa mort ? |
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