| Dernières réponses | |  J'avais dit ": Et si elle est vraie, alors nous n'avons rien à apprendre du monde extérieur étant donné qu'il n'est qu'une invention de notre monde intérieur. "
Je ne comprends pas quel rapport ca a avec la mort.
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| | état final... Finalité... Ta réponse à mon hypothèse... réfléchir... remettre en marche... chercher les liens... Ca te dit quelquechose ou je m'exprime mal?
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| | De quel état final parles-tu ?
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| | Mais le souci, si tu es dans cet état final, c'est que tu es mort. Enfin..., oui,... mort. Alors tu (re)créé, les autres pour être en situation de vie.
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| | Atil a écrit :
>>>>>>Ca c'est une hypothèse.
Et si elle est vraie, alors nous n'avons rien à apprendre du monde extérieur étant donné qu'il n'est qu'une invention de notre monde intérieur. |
Personnellement, je prend celle-là pour vrai, y compris dans sa finalité que tu exposes très clairement.
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| | "Oui, au bout d'un temps. Bien sur.
éAu bout d'un moment, je pense que oui si tu ne rentre pas en interaction avec l'exterieur. Mais elle reste necessaire au départ. Y'a comme des étape. "
>>>>>>Cela indique donc qu'il y a un temps pour l'intéraction avec le monde estérieur et un temps pour l'introspection ?
Ne peut-on pas dire qu'il faut d'abord apprendre des choses par des intéractions avec autrui, puis ensuite s'isoler dans le calme pour "digérer" ce qu'on a appris et ranger tout ca de manière ordonnée dans sa tête ?
"Je dirais plus avec ton monde interieur puisque c'est lui qui créé ton monde extérieur. "
>>>>>>Ca c'est une hypothèse.
Et si elle est vraie, alors nous n'avons rien à apprendre du monde extérieur étant donné qu'il n'est qu'une invention de notre monde intérieur.
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| | Nietzche a écrit:
Pour le solitaire, l'autre est toujours troisième...
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>>>>>>Mais peut-on faire cela seul ? Cela ne nécessite-t-il pas d'entrer en intéraction avec le monde extérieur ?
Oui et alors. Etre seul, ne veut pas dire être isoler, enfermé. Cela veut dire vivre seul, être bien seul, ne pas avoir besoin d'un autre ou des autres pour vivre. S'autocompléter. Et rester en interaction avec le monde exterieur, de manière limité.
>>>>>>Donc tu dis bien qu'il faut intéragir avec autrui pour vérifier si notre savoir est valable ou non.
Oui, au bout d'un temps. Bien sur.
>>>>>Mais pas dans l'autre sens ??? 
Non, pas dans l'autre pour l'influence
>>>>>>>Comment la solitude pourrait-elle permettre d'échapper au délire personnel ?
Elle risque plutôt de le produire, non ?
Au bout d'un moment, je pense que oui si tu ne rentre pas en interaction avec l'exterieur. Mais elle reste necessaire au départ. Y'a comme des étape. Tu vois, c'est ni tout blanc, ni tout noir.
>>>>Et c'est quoi la vie ? Si ce n'est l'intéraction avec le monde extérieur ?
Je dirais plus avec ton monde interieur puisque c'est lui qui créé ton monde extérieur.
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| | "En imaginant, en créant ces règles et ces limites. "
">>>>>>>C'est bien ce que je disais : On n'apprend rien. Ce n'est qu'un délire personnel
"
"Puis on vit, et on vérifie ces règles et ces limites. "
>>>>>>Mais peut-on faire cela seul ? Cela ne nécessite-t-il pas d'entrer en intéraction avec le monde extérieur ?
"Si cela marche, chaque interaction avec d'autre ou chaque action personnelle, sera positive. Si cela ne marche pas, l'interaction avec les autres ou l'action sera négative, aura un résultat négatif. "
>>>>>>Donc tu dis bien qu'il faut intéragir avec autrui pour vérifier si notre savoir est valable ou non.
"Ton intérieur est ce qui est à l'extérieur et inversement réciproque (dans un sens)."
>>>>>Mais pas dans l'autre sens ???
"J'ai mis 4 ans à avoir confiance en cela (et encore, j'ai toujours un fond de doute qui commence a disparaitre ces temps ci). Depuis 4 ans, je me dis que cela est un délire personnel. Que je suis folle, schyzo, névrosée,... Tout y est passé. Je crois que c'est l'expérience la plus déstabilisante de la vie. Et que chaque passage mène à la folie. Comme sur le fil du rasoir. Et la solitude permet d'eviter cette folie. De se recentrer et de savoir éliminer."
>>>>>>>Comment la solitude pourrait-elle permettre d'échapper au délire personnel ?
Elle risque plutôt de le produire, non ?
"La seule chose qui me permet de savoir que cela n'est pas un délire, c'est la vie. La manière dont elle réponds à mes délires. En fait, mes délires deviennent la vie."
>>>>Et c'est quoi la vie ? Si ce n'est l'intéraction avec le monde extérieur ?
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| | Atil a écrit :
Mais comment peut-on "apprendre les règles et limites de ce nouveau monde" quand on est seul ? |
En imaginant, en créant ces règles et ces limites. Puis on vit, et on vérifie ces règles et ces limites. Si cela marche, chaque interaction avec d'autre ou chaque action personnelle, sera positive. Si cela ne marche pas, l'interaction avec les autres ou l'action sera négative, aura un résultat négatif. Ainsi, à petits pas, on fait le schéma de son espace dans ce monde.
Atil a écrit :
Comment fait-on pour savoir qu'on ne se trompe pas puisque personne n'est la pour nous le faire remarquer ?
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En regardant comment se déroule sa vie. Si tout colle, tout se passe facilement, alors tu ne te trompes pas. Ton intérieur est ce qui est à l'extérieur et inversement réciproque (dans un sens).
Puis le peu (ou beaucoup, ca depend des périodes et besoins)d'interaction avec les autres aussi, car vivre seul ne veut pas dire ermite.
Atil a écrit :
Comment savoir si les règles qu'on croit déceler ne sont pas qu'un délire personnel ? |
J'ai mis 4 ans à avoir confiance en cela (et encore, j'ai toujours un fond de doute qui commence a disparaitre ces temps ci). Depuis 4 ans, je me dis que cela est un délire personnel. Que je suis folle, schyzo, névrosée,... Tout y est passé. Je crois que c'est l'expérience la plus déstabilisante de la vie. Et que chaque passage mène à la folie. Comme sur le fil du rasoir. Et la solitude permet d'eviter cette folie. De se recentrer et de savoir éliminer.
La seule chose qui me permet de savoir que cela n'est pas un délire, c'est la vie. La manière dont elle réponds à mes délires. En fait, mes délires deviennent la vie.
C'est dur d'effacer le doute. Et justement, c'est ce doute qui t'entraine dans la folie. Y'a un côté rationnel qui refuse d'accepter cela, y'a un coté réel qui te prouve que cela est vrai et y'a la peur devant de telles capacités. Plus j'ai confiance, plus cela colle.
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