Dernières réponses |
| Je repose la problématique : Comment penser le progrès dans la perspective de l'épanouissement ? |
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| En fait, tu as raison, et je me suis trompé, je m'en aperçois en me relisant... Je parlais de conscience universelle. |
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| On dirait presque une définition de dieu. |
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| tout dépend de ce que l'on appelle conscience collective. Par exemple, à l'intérieur d'un même syndicat, il y a une conscience collective, même si seulement 1% des salariés de l'entreprise lambda y sont adhérents. Ce n'est pas pour moi de la conscience collective telle que je l'entend. Je vois plus cela comme étant un lien, un objectif commun, quels que soient les races, les religions, les couleurs de peaux, les origines, les niveaux sociaux, les orientations politiques... |
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| N'est-ce pas en s'intérressant ( / se préocupant / en commençant par les ) des problèmes "moins importants" que l'on acquiert une conscience collective ? |
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| Je ne voit pas les choses ainsi. Notre conscience est individuelle. Nos valeurs, nos priorités sont différentes. Seuls les problèmes importants parviennent à fédérer des masses et à leur donner, pour le meilleur et pour le pire, une conscience collective. |
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| La conscience collective n'est-elle pas la somme des consciences individuelles ? Autrement dit, un devoir de chacun. |
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| S'il s'agit d'une conscience collective, alors oui. |
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| Finalement, ne s'agit-il pas de répondre à la problématique du progrès au travers de la conscience : science avec conscience. |
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| En faisant comme les architectes du tao. En se posant les bonnes questions, et en sachant renoncer. |
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