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|  Il manque un crochet.
Avec mes respectueuses, mes amicales salutations.
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| [citation=Atil]Il me semble que ce qu'il faut se demander d'abord en regardant un film violent c'est "Cette violence à l'écran me donne-telle envie d'être violent, ou me dégoute-t-elle de la violence ?"
Montrer la violence peut aussi bien servir à faire l'apologie de celle-ci que de la dénoncer.[/citation
Il faut condamner la violence.....Il faut la connaître.....
Il faut la contrôler.....Il faut l'oublier.....Il ne faut plus se laisser
surprendre par elle.....
Avec mes salutations,Priamos
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| Ils s'indignent pour être "in", dans le coup, car sinon, ils n'iraient pas dépenser leur argent dans les salles de cinéma, et changeraient de chaine lorsque arrive l'heure du JT
Il suffit d'une bonne radio pour se tenir au courant des nouvelles.
Mais le (vieux) slogan de paris match est juste: Le choc des photos.
Certains sont comme des vautours, tournoyant dans le ciel en attendant qu'il n'y ait plus de danger pour venir se repaitre.
Mais les vautours le font pour vivre (manger) alors que ces "humains" le font pour jouir.
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| Pourquoi les gens s'indignent-ils quand on leurs montre de la violence dans un film ?
...alors que quand les informations montrent des blessés ou des cadavres, dans une catastrophe, ils se précipitent pour regarder ?
....alors que lorsqu'il y a un accident les badeaux s'approchent pour regarder le spectacle ?
Les gens s'indignent-ils ou font-ils semblant ?
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| Vision trop simpliste de la violence cinématographique, à mon avis.
En montrant dans tous les détails (dont une scène de plus de 20 minutes de flagellation), la souffrance du Christ, ce qu'il a enduré, est-ce que cela fait l'apologie de la torture ? Cela donne-t-il l'envie d'être soi-même violent en voyant la crucifixion ?
Est-ce que cela invite à haïr le Christ ?
Il y a la violence, mais il y a d'abord les causes de la violence
Ce que l'on constate souvent, ce sont les réactions contre le fait de la montrer, et non sur ses motifs. On ne rencontre que la réaction envers la violence et la violence en elle-même, mais peu se penchent sur ses causes.
Et que dire du fait d'ignorer la violence comme si elle n'existait pas ?
N'est-ce pas plus dangereux ?
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| Il me semble que ce qu'il faut se demander d'abord en regardant un film violent c'est "Cette violence à l'écran me donne-telle envie d'être violent, ou me dégoute-t-elle de la violence ?"
Montrer la violence peut aussi bien servir à faire l'apologie de celle-ci que de la dénoncer.
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| Depuis hier la sortie internationale du dernier film du réalisateur Mel Gibson provoque des remous comparables à "La dernière tentation du Christ" de Martin Scorcese, sorti en 1989.
Les avis sont partagés. Certains parlent d'incitatif à l'antisémitisme, d'autres parlent d'une violence extrêmement crue et inutile qui leur font dire qu'il ne faut pas aller voir ce film.
D'autres plus modérés parlent d'une violence extrême et pertinente afin de présenter à quel point Jésus Christ était un homme pacifiste qui ne répondait pas à un tel degré d'agressions.
Faut-il fermer les yeux sur la violence ? Faut-il l'ignorer ?
La violence peut-elle parfois véhiculer un message ou sinon nous permettre d'évaluer l'ampleur de nos choix individuels et collectifs ?
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