| Dernières réponses | |  Lol, je suis cassée de rire. Et pis je l'aime ce chien mais pas comme un maître de chien aime son chien. Et il se lèche vraiment pour se nettoyer. 
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| | Tout ce qu'on fait sans l'avoir décidé consciemment est une sorte de servitude, d'esclavage.
Et l'attachement des humains semble en faire partie.
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| | Parfois, je me demande si je ne suis pas branché sur le forum de Sainte Anne...
L'une à un chien mais ne l'aime pas, l'autre considère que l'instinct est une servitude.
Et enfin, la première qui n'aime pas son chien le considère tellement comme un chat qu'elle pense que lui aussi pense que c'est un chat...
SOS...SOS...SOS...SOS...SOS...
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| | Et ne peut-on déprogrammer les choses, même chez un animal?
Par exemple, mon chien fait sa toilette comme un chat chaque jour. Il commence par se lécher les pattes, puis la tête et des fois le corps mais rarement.
Et dans cet exemple précis, si il reste servile et donc attaché, il ne sort pas autant qu'il veut. Si il est comme un chat, il passe sa vie au grand air et apprécie cela. Avec le temps il semble s'y être habitué et préfére sortir seul que rester à la maison. Le seul problème c'est que je ne suis pas son maître. Chaque personne rencontrée le deviens. D'où, je pense, sa souffrance. Bien que je me demande.
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| | Le chien est programmé pour s'attacher car c'est un animal de meute.
C'est donc une servitude pour lui.
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| | Sans voir le mal partout, je ne consent pas et n'accepte pas l'attachement de mon chien. Pas envie, pas d'accord, pas pratique et ne me demandez pas pourquoi j'ai un chien, c'est compliqué.
Pourtant, il y consent et le donne mais n'a pas de retour. Il vit avec nous, parcequ'il y est obligé, comme un chat. Il revient à la maison pour dormir et manger. Pourtant, il souffre (pas tant que ça mais quand même) de son attachement car hélas, ce n'est pas un chat mais un chien, donc un naturel différent.
Peut-être un jour s'y habitueras-t-il ou continueras-t-il de souffrir de cet attachement?
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| | Le chien est attaché à son maître. C'est un bon attachement. Parce que le chien y consent et le donne, parce que le maître y consent et l'accepte.
Nous ne sommes pas obligés de voir le mal partout...
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| | Je dirais que tout attachement est mauvais puisqu'il attache.
Et puis je suis peut-être une fille et une mère indigne mais je ne me sens pas attachée ni à mes enfants, ni à mes parents. Pour les enfants, peut-être que le divorce et le fait de ne pas les avoir tout le temps permet ce détachement, mais c'est ainsi et souvent je me le reproche, notemment quand on discute avec d'autres parents. L'amour que je leur porte n'est pas une attente, ni une obligation. C'est juste quelquechose que je leur donne et si elles me le rendent tant mieux (pareil pour mes parents). Sinon, je leur demande juste de me rendre la même attention que je leur donne, si je les écoute et réalise leurs désirs, elles doivent aussi m'écouter et réaliser mes désirs.
Donc no attachement rules 
Message édité le 16-04-2006 à 15:03:02 par zorglub |
| | On considère souvent l'amour comme une chose en rapport avec la spiritualité.
Mais qui dit amour dit aussi attachement (envers les enfants, les parents, le conjoint, les amis, etc...)
Si être indiférent aux autres ne semble pas favorable à la spiritualité, trop s'y attacher semble être plutôt une pathologie, un boulet qui nous retarde.
L'atachement est-il une bonne chose ? Y a-t-il une diférence entre un bon et un mauvais atachement ? |
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