Dernières réponses | | Verdad a écrit :
... mais tous, seuls dans les moments terrrrrribles, redeviennent enfants abandonnés, certains frappant de leur poing fermé leur coeur pour l'endurcir, d'autre pour l'adoucir. |
Verdad a écrit :
Il y a les faibles, il y a les forts, toutes les couleurs, toutes les croyances se rejoignent et communient solitaires dans le grand tourbillon de la souffrance absolue. |
Et si les forts, justement, c'était ceux qui n'avaient pas besoin de frapper de leur poing fermé ? Les enfants qui pleurent car ils ont perdu leur nounours s'imaginent que tout le monde, y compris les adultes, en ferait de même s'il perdait son nounours. |
| | Il y a les faux prêtres, les faux sages, les faucons, les prétentieux, les sûrs d'eux, les je suis Dieu, les je suis meilleur que, les je suis meilleur qu'eux, les je suis meilleur queue, mais tous, seuls dans les moments terrrrrribles, redeviennent enfants abandonnés, certains frappant de leur poing fermé leur coeur pour l'endurcir, d'autre pour l'adoucir. Ceux qui retiennent leurs larmes et ceux qui ne peuvent s'arrêter. Il y a les faibles, il y a les forts, toutes les couleurs, toutes les croyances se rejoignent et communient solitaires dans le grand tourbillon de la souffrance absolue. Fermez le banc! |
| | " Ca peut aussi être une bonne excuse pour ne pas trop se fatiguer à avancer "... <o> Les pires sont ceux qui estiment avoir suffisemment avancé. Les parvenus, dont je parlais plus haut. Ils n'ont pas à se fatiguer, eux, les donneurs de leçons de sagesse. |
| | Ca peut aussi être une bonne excuse pour ne pas trop se fatiguer à avancer |
| | >>>>je ne m'emmerde pas pendant ma quête, et j'espère ne pas la trouver avant un bon bout de temps, parce qu'il y a définitivement plus de plaisir et de richesse dans la recherche. Enfin bon. Mon Dieu, Ô mon Dieu, donnez-moi la sérénité mais.... Pas tout de suite <<< 100 % d'accord ! |
| | " Accepter les choses qu'on ne peut pas empécher ou changer est l'essence de la sagesse "... <o> La sérénité n'est pas une fin, en soi. C'est une impossibilité afin de s'exercer à l'acceptation. Et il va sans dire que tant qu'il y a de la vie, la sérénité c'est quand même quelque chose de bien relatif. Mais pour ma part, je ne rougis pas d'être en recherche. Je n'ai pas honte de dire que la sérénité est une chose qui m'échappe, et au moins je ne m'emmerde pas pendant ma quête, et j'espère ne pas la trouver avant un bon bout de temps, parce qu'il y a définitivement plus de plaisir et de richesse dans la recherche. Ce n'est pas comme pour certains parvenus auto proclamés. Enfin bon. Mon Dieu, Ô mon Dieu, donnez-moi la sérénité mais.... Pas tout de suite |
| | Ca c'est un problème. Un terrrrible problème ! |
| | Tu as raison Atil. Mais le chemin à parcourir par arriver à cette sérénité est long, pour certain. |
| | Mais comme on ne peut pas savoir, alors ce n'est pas un problème. Un fait qu'on ne peut ni changer ni empécher n'est plus un problème à résoudre mais un simple fait. Accepter les choses qu'on ne peut pas empécher ou changer est l'essence de la sagesse. |
| | Mais qui t'a dit que le dernier moment terrrrible est celui de notre fin? ... il peut être suivi d'une terrrrrriiiiible chose ! ha! bon .. que ceux qui savent de source archisûre, scientifiquement prouvée bien sûr, que les souffrances s'éteignent avec la mort lèvent la main ! |
|
|