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Dernières réponses
Atil
On finit par s'habituer à sa partenaire.

Mais ne peut-il pas arriver aussi qu'on s'habitue au sexe ?
Pyrame
Pourtant personne ne pourra nier que les premières fois on quelquechose de plus particulier et de plus piquant?

(j'en suis revenu au sexe, j'ai fait abstraction de la joute verbale)

Je crois pas que la "lassitude" sexuelle soit engendrée par un manque de nouveauté, mais simplement parce qu'on finit par s'habituer a l'autre, et que l'amour authentique finit par devenir l'amour habituel, simplement. Et si l'attachement que l'on porte a sa partenaire s'estompe ou en tout cas se normalise, alors le sexe suis et finit par devenir la norme aussi...

Et c'est bien dommage...

(il faut donc changer de partenaire fréquemment, pour se rendre compte de la joie qu'on a d'avoir une copine si agréable et désirable...

Quoi que... )
zorglub
Euhhhhhh.... J'appelle même pas ça baiser
tayaqun
PizzaMan a écrit :

Explique donc zorglub, comment parviens-tu à déduire que je suis en colère. Juste une simple question comme ça, au cas où tu croirais que je suis en colère.

Il n'est jamais en colère, il bande.
Pas le temps de penser.
Il veut juste nous dire qu'il faut savoir baiser et qu'il nous montre comment faire. C'est gentil...
PizzaMan
Il est justement question de ça, dans cette discussion.
Atil
"Pourquoi évoquer la possibilité de s'affranchir du sexe, alors que l'on peut parfaitement retrouver l'équilibre sexuel par un effort de conscience sur la simplicité de cet acte ? "

>>>Mais quand on essaie de retrouver le désir, on ne retourne pas vers la "simplicité de l'acte", bien au contraire : on a besoin de trucs de + en + compliqués et artificiels pour garder son excitation. Le sexe devient alors une machinerie lourde et complexe pas facile du tout à mettre en marche. ca devient une sorte d'achernement thérapeutique.
L'acte en perd sa beauté et sa simplicité naturelle.


"Pourquoi se priver d'un tel plaisir qui au départ nous sert dans la procréation ? Ce n'est pourtant pas un mal."

>>>>Justement : la nature a prévu ce désir pour la procréation. Elle n'a donc rien prévu pour le maintenir une fois que la procréation est terminée. Cela ne lui sert plus à rien. Il est donc normal que le désir décline.
Lutter contre ce déclin c'est comme la chirurgie esthétique pour lutter contre la vieillesse ou l'achernement thérapeuthique pour lutter contre la mort. Ca montre un refus d'affronter son vieillissement en face.
Sauf si c'est du à des soucispassagers ou à une maladie passagère, la perte de désir est une chose naturelle qui vient avec le temps. Hors on n epeut pas arréter le temps qui passe.
Si c'est du partenaire dont on se lase, alors on peut en changer. Si c'est du désir lui-même dont on se lasse, alors c'est foutu : toute solution ne serait qu'un amas de trucs artificiels de + en + monstrueusement compliqués.
A quoi bon se compliquer la vie ainsi ?


"Si on se sent blasé du sexe, c'est que nous avons perdu le lien avec la simplicité de cet acte."

>>>>Mais les gens cherchent la solution dans le sens inverse : en augmentant la complication.
PizzaMan
Je me demande comment on peut bien être nostalgique d'une chose innée en nous. Certes, on peut être blasé du sexe, mais la pulsion s'y trouve encore. C'est le désir qui s'est émoussé. Pourquoi évoquer la possibilité de s'affranchir du sexe, alors que l'on peut parfaitement retrouver l'équilibre sexuel par un effort de conscience sur la simplicité de cet acte ? Pourquoi se priver d'un tel plaisir qui au départ nous sert dans la procréation ? Ce n'est pourtant pas un mal.

Si on se sent blasé du sexe, c'est que nous avons perdu le lien avec la simplicité de cet acte.
Atil
Si on se sent blasé par le sexe alors c'est qu'on n'arrive plus à y trouver du plaisir.
On a donc le choix entre essayer de retrouver ce désir ou alors renoncer à ce truc qui ne procure plus de plaisir.
Au début la drogue procure du plaisir. Ensuite il faut augmenter les doses pour retrouver le même plaisir. Et ensuite il faut augmenter les doses pour ne pas sombrer dans le déplaisir.
C'est un peu la même chose.
Pourquoi voulir à tout prix retrouver un plaisir qui n'existe plus ?
C'est la même chose que moi quand, nostalgique, je repsense bêtement aux bons moments du passé en croyant pouvoir les revivre.
Mais c'est en vain : on ne retrouve jamais le passé.
Et c'est la même chose pour le sexe.
PizzaMan
Mais être blasé par le sexe, sous-entends un ennui, une accoutumance à la routine sexuelle. Ce qui est tout à fait différent de ne plus avoir de sexe du tout.

Quand on est blasé par le sexe, on cherche à ne plus l'être. C'est pour cette raison que l'on parle davantage de divers moyens afin de faire renaître le désir. Mais on ne cherche pas à s'affranchir du sexe, surtout quand celui-ci est issu d'une pulsion naturelle chez l'homme.
Atil
S'ils pratiquent l'échangisme c'est qu'ils n'ont plus de désir mais q'ils ont encore envie d'avoir du désir.
Ils ne savent pas accepter la sitiation telle qu'elle est.
Nd plus avoir de désir c'est se trouver devant deux routes : Soit on recherche le plaisir et alors on essaie de réveiller le désir ... soit on recherche la sérénité et alors on est content de ne plus être taraudé par le désir.
C'est un choix.
 
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