Dernières réponses | | Une émotion n'implique pas la présence d'autrui; cela me paraît assez évident sur le fond mais il me semble aussi que l'émotion monte plus vite quand il y a "autrui"... Je suis assez d'accord avec Atil, il m'est arrivé d'avoir honte alors que je n'étais pas incriminé directement mais je constate aussi que j'avais des relations étroites avec la personne qui faisait monter cette honte. Au fond, il doit y avoir de l'orgueil qui se fait tripoter sans qu'on sache bien pourquoi sur le fait. J'avais ressenti cela, par exemple, quand j'accompagnais ma mère qui aimait bien marchander... Mais elle avait un tel tempérament qu'elle aurait indisposé une compagnie de hussards... Faudrait gratter la situation. |
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PizzaMan a écrit :
«mais plutôt d'essayer, discretement si possible, de lui montrer son erreur»... <o> |
Pourrais-je savoir les raisons de ton hillarité.. ?... |
| | «mais plutôt d'essayer, discretement si possible, de lui montrer son erreur»... <o> |
| | mais peut-on vraiment être fier pour quelqu'un ? peut être qu'il faut soi-même être quelqu'un de fier, pour pouvoir "penser" en éprouver pour d'autres.. .° De même peut-on avoir honte pour quelqu'un ? Non.. chacun choisi .. Le comment il a envie d'être Aparemment oui : Quand j'entends une personne dire une grosse bétise, je me sens géné. C'est comme si j'étais géné à sa place. Ca doit être de l'empathie dalahienne ! .... Encore une fois, c'est perçut comme ça arrange... Parcque si une personnes dit devant moi, une "grosse" bétise.. Je ne me ressentirais pas de moi-même génée, a moins "bien sure", que la personne ressente cette gène, et là l'empathie pourrait être ;)... Parcque mon spontannée, ne sera pâs d'être génée, mais plutôt d'essayer, discretement si possible, de lui montrer son erreur... |
| | Moi je suis gêné pour elle en tout cas. |
| | On peut être content pour quelqu'un ... mais peut-on vraiment être fier pour quelqu'un ? De même peut-on avoir honte pour quelqu'un ? Aparemment oui : Quand j'entends une personne dire une grosse bétise, je me sens géné. C'est comme si j'étais géné à sa place. Ca doit être de l'empathie dalahienne ! |
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Atil a écrit :
Si je prends l'émotion d'orgueil ... Je peux être fier de moi. C'est donc une émotion envers moi-même. Mais puis-je vraiment éprouver de la fierté envers un autre ? Si je dis "je suis fier de mon fils" ne suis pas, en fait, fier de l'honneur qu'il fait rejaillir sur moi ? |
ça... Encore une fois... Dépend de nos orgueils, et de leurs "taux" Car trés récement.. Une prof à mon fils, m'a fait des elloges sur ces façons d'être.. Et en conclusion de son discours a rajoutée, que je devais "surement" en être fier.... N'ai pas répondu... Mais en moi-même, cette phrase a résonné, et en pensée me suis dit : En fait... Je suis contente pour lui, mais ne m'en ressens pas fier pour autant. Je suis contente que "pour l'instant" ce que j'ai essayé d'inculquer soit présent en lui.. Mais ne le ressens pas comme de la fierté, parcque c'est une "normalité" et normal parcque mon "travail" de maman est de retransmettre une ligne de conduite.. Pour l'instant, il y adhère... Mais est-ce que pour lui... Cette façon d'être est naturel, ou le résultat d'une dictée...?... Seul l'avenir pourra le montrer... |
| | Si je prends l'émotion d'orgueil ... Je peux être fier de moi. C'est donc une émotion envers moi-même. Mais puis-je vraiment éprouver de la fierté envers un autre ? Si je dis "je suis fier de mon fils" ne suis pas, en fait, fier de l'honneur qu'il fait rejaillir sur moi ? |
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Atil a écrit :
Quel rapport entre émotion et contemplation ??? |
Simple ... Si je contemple, admettons un couché de soleil..Ce sont des émotions d'émerveillement que je ressens en contemplant... Donc des émotions "positive" en quelque sorte ... |
| | Quel rapport entre émotion et contemplation ??? |
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