| Dernières réponses | |  Je ne comprend pas ce qu'il faut entendre par "phase subjective".
Pour moi, être subjectif c'est tout ramener à soi, donc ca ne peut qu'exacerber l'individualisme, pas le soigner. |
| | Il existe une théorie des ages qu'un indien appelé Sri Aurobindo a adapté d'un auteur allemand au début du XXeme siècle.
Elle disait que nous étions dans une phase psychologique individualiste et que sa résolution s'opérerait dans une phase subjective. La phase individuelle venait en réponse à la phase précédente. Pour résumer, les modèles sociaux et religieux étaient devenues caducs à force de formalisme et d'immobilisme maladifs?
Après la première guerre mondiale, l'expression artistique, les états d'esprits, tout pouvait en effet permettre d'espérer que la phase subjective viendrait rapidement et en douceur. En terme de liberté et pragmatisme, beaucoup d'espoirs furent misés sur l'Amérique. Puis il y eu la seconde guerre mondiale et les épisodes de la décolonisation qui amènent jusqu'à aujourd'hui.
Et aujourd'hui, bien malin celui qui est capable de dire quelle direction prendra l'histoire. Mais quoi qu'il arrive il est prévu que la phase suivante soit subjective. La transition se fera dans le calme et l'acceptation sereine, ou dans la panique et la résistance face à ce qui s'impose de force. A nous de choisir ce que nous préférons incarner dans cette farce dont nous sommes tous complices à notre niveau, reconnaissons le. |
| | Toute vie en société (en groupe quand on veut voir petit...) implique le respect de règles communes qui organisent cette société laquelle ne peut vivre sans...
Seuls les barbares nient cet impératif mais, ce faisant, c'est pour imposer les leurs...
Tout Grand Etat impose des lois générales à son profit tout en "vampirisant" ses marges.
Il s'enrichit par transfert et devient"l'eldorado" des barbares... |
| | Attention : déjà il existe plusieurs sortes d'attitude protectionistes.
De plus, une attitude protectioniste peut se permettre d'établir des lois et des règles internationales dans divers secteurs tels le commerce, etc. Et au vu des échanges mondiaux on est jamais réellement indépendant. |
| | "se battent contre la dépendance énergétique" et "pronent une politique protectioniste" ce n'est guère en accord avec "lèvent des fonds mondiaux".
Soit on est indépendant, soit on profite de l'aide mondiale. |
| | | c'est surement pour cela que les non-naïfs proposent des solutions de retour à l'économie réelle, exposent les fragilités du nationalisme pétrolier, se battent contre la dépendance énergétique, pronent une politique protectioniste, pronent l'intégration croissante des technologies et energies renouvelables intermittentes, lèvent des fonds mondiaux pour l'adaptation au changement climatique (prelèvement de 2% des crédits), soulèvent le problème de distribution inégalitaire de l'eau en énoncant le manque de réglementation et la faiblesse des capacités techniques et de gestion des administrations locales de l'eau, stoppent la natalité par famille a deux gosses, essayent de résoudre le problème du transport et de l'accès aux médicaments à bas coûts pour les pays défavorisés, remettent en cause les accords agricoles de l'OMC afin que les agriculteurs intensifient leur rendement de production et assurent la sécurité alimentaire face a la demande alimentaire des villes, proposent des solutions contre la baisse du pouvoir d'achat, etc. |
| | | La «perte de confiance dans ce système» ne concerne que les naïfs. |
| | | ainsi que la perte de confiance dans le système d'un point de vue psychologique. On parle même de fatigue psychologique. |
| | | Il n'y a que les crises qui ne sont pas en crise ! |
| | | Parmis les crises actuelles, on trouve celle du logement, de l'emploi, des communes en apparition, du gaz, du pétrole, de l'eau, de la bulle spéculative, une crise d'identité fortement marqué aux Etats-Unis, crise en augmentation de la famine, de la surpopulation, crises militaires ou l'exemple actuel avec Israël montre a quel point il y a manque de perception stratégique, crises de sécurité notamment avec le terrorisme et des bruits de retour de la guerre froide, crises de l'environnement, etc. en bref, les effets d’un désordre général qui ne cesse de s’accroître. Vers quelle type de société va-t-on ? |
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