| Dernières réponses |
|  Mais si on est capable de s'en souvenir pendant quelques temps au réveil, ca veut bien dire qu'on en a conscience. Une fois qu'il a été exposé en pleine lumière à la conscience éveillée, comment peut-il retomber dans l'oubli ?
Qu'on ne s'en souvienne pas du tout car il reste dans le monde des rêves, ca se comprendrait. Mais qu'on s'en souvienne pour l'oublier ensuite c'est ca qui est étrange. |
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| Peut-être oublie-t-on plus vite le cauchemar car il implique un niveau de conscience moindre pendant son déroulement.
Cependant, ne s'inscritirait-il pas davantage dans le corps et n'aurait-il pas une influence cachée qui perdurerait plus qu'un souvenir "conscient" ? |
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| | Si tu en revis les émotions c'est donc que tu es dans la situation "On revit l'évènement dans tous ses détails, du dedans ". |
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| Tu es certain qu'il n'existe que deux maniere de se souvenir ?
Quand je me souviens d'un evenement, il m'arrive parfois de me trouver dans le meme etat d'esprit que j'etais dans cette situation pourtant deja lointaine et resolue. Je peux par-exemple avoir les boules graves en me rappellant de la fois quand j'ai perdu du pognon au casino de Las Vegas en 2002 !
Je me souviens d'une maniere assez lointaine mais pas si detachee comme tu le dis. |
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| On peut se souvenir de deux manières :
- On revit l'évènement dans tous ses détails, du dedans.
- Ou on s'en souvient d'une manière lointaine et détachée, du "dehors". |
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| Petite référence au grand Érasme : jeter un œil à son Éloge de la Folie!
L'Oubli y figure une fidèle suivante de la Folie : en effet, sans oubli, comment une femme consentirait-elle jamais à mettre au monde plus d'un enfant?
Je crois que tu parles ici de l'oubli de la douleur, ce qui permet aux femmes de récidiver à donner la vie.
La douleur peut facilement rendre fou quiconque la ressent.
Mais dans ce cas, pour les accouchements par voies naturelles et sans péridurales, la douleur s'oublie sitôt que l'expulsion se fait ainsi que lors de la délivrance. Nous sécrétons des endorphines naturellement pour permettre cet oubli et anesthésier la douleur. Mais il y une différence entre l'oublier et ne plus la ressentir dans toute son intensité.
Ca rejoint le post de quelquetousun sur Jesus Sauveur Fils de Dieu qui Est Esprit et porte en Lui Son Esprit.
Je constate un grand, très grand changement de position et de discours.
Mais heureux dans le témoignage perso.
Comme un adieu QUI PERMET LES RETROUVAILLES.
Le monde s'assombrit, tandis que la lumière s'affaiblit. Mais La Lumière aussi est dans l'Esprit. Il y deux formes de lumière, une palpable-visible et faite pour le sens de la vue. Et l'autre, invisible aux sens physiques et matériels dont on dispose. Et ne peut se comprendre et s'expliquer qu'à travers la foi.
La reconnaissance est importante qui permet l'accès à la vérité.
mais encore combien étuvous? |
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| | Il existe aussi des hommes qui sont incapables d'oublier quoi que ce soit. Chaque détail de leur vie, même le plus insignifiant, est gardé en mémoire. Et cela fait de leur vie un enfer : leur conscience est encombrée de millions de souvenirs sans intéret. |
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| Petite référence au grand Érasme : jeter un œil à son Éloge de la Folie!
L'Oubli y figure une fidèle suivante de la Folie : en effet, sans oubli, comment une femme consentirait-elle jamais à mettre au monde plus d'un enfant? |
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| L'oubli...
On écrivait sur du parchemin...
Et puis, pour écrire encore, on relavait et reponçait le parchemin pour travailler sur une nouvelle page toute propre, sachant que ce qui était sur le vieux document avait moins d'importance que ce qu'on voulait y remettre (ceci dit, ce n'était pas toujours vrai...)
Il est possible et probable que notre santé mentale et sociétale (comme on dit maintenant) exige des remises à zéro du compteur général... Regardez ce qui se passe en Guadeloupe, l'affect ressort un vieux trauma qui, si les plus lucides ne reprennet pas la main, risque de se transformer en guerre civile...
Ils en sont à "blanc mauvais et bon nègre" pour expliquer leur incapacité à moderniser leur société.
J'ai écouté hier soir dans le reportage de Benoit Duquesne (Un vrai pro, comme Calvi) un intellectuel guadeloupéen Dahomey (un "colored" dont j'ai avalé le prénom) et d'un lucidité réjouissante : il met en garde ceux qui devraient agir ... Il parle d'objet politique non identifié pour désigner l'ambiguïté de l'actin de Do Motta...
Il faut savoir oublier, ou alors il faut savoir pardonnez ...
On ne vit jamais en ne faisant que regarder dans le rétroviseur... Ce qui est immédiatement devant n'est jamais immédiatement derrière!
Gare à l'erreur qui en politique peut se transformer en gigantesque faute...
Puissent les Gaudeloupéens écouter Dahomey. |
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| | c'est des conneries ! |
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