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TaoTheKing
Lady venimae a écrit :

Les terroristes n'ont jamais lu le Coran. "Un combat", c'est le Coran lui-même, les paroles du Christ, ou la physiologie Bouddhique ou le Tao.


Tu devrais lire le coran, la bible nouveau testament, les évangiles et le tao par Lao Tseu.

Je pense que cela t'ouvrirai des perspectives nouvelles.
Lady venimae
Les terroristes n'ont jamais lu le Coran. "Un combat", c'est le Coran lui-même, les paroles du Christ, ou la physiologie Bouddhique ou le Tao. On a toujours associé une croyance à un événement. Cet événement, à l'heure actuelle, est liée à l'action. L'action minime des sectes et l'action forte des physiologistes sont différentes. Croire au sens communautaire c'est toujours croire à un Bien vérifié. Il y a des Mal sous les Bien, pour les sectes, avec le mot "argent", toujours. Une révélation c'est général, on sait que les physiologies fonctionnent bien. Bien sûr que l'on croit à l'argent, c'est aussi une religion. Cela nous amène à ce départissement et à cette question, les limites du Bien et du Mal. Mais ça c'est Socrate avec les vices et les vertus ! Report Platon!!!
Atil
Pour moi "croire" est une certitude absolue... mais infondée.

Les fanatiques (et terroristes) religieux n'ont aucun doute sur l'existance de Dieu : ils croient en Dieu.

Parfois aussi les gens disent qu'ils croient car ils tiennent une chose pour vraie sans se poser la question sur leur degré de certitude. On ne peut donc pas dire qu'ils doutent.
Ansil
Croire implique toujours un doute, sinon il s'agit de certitude absolue.
Certaines personnes ont la certitude de Dieu (ou/et de l'au-delà parce qu'elles ont fortement ressenti une force ou/et un amour extrème en regardant la nature et en étant en communion avec elle, durant une méditation parfois ou suite à une EMI ou autre état modifié de conscience.
Peu importe, même si c'est à tort et que cette sensation ne lui vient que de son propre cerveau, la croyance est dépassée.
Atil
Le verbe "croire" dans ces exemples est mal employé.
Ces personnes ne croient pas : elles supposent.
Ansil
Atil a écrit :

Si on doute alors on ne croit plus vraiment.
Dans ce cas on est indécis, on suppose, on s'interroge.
La croyant qui doute est en danger de perdre sa croyance.

Quand tu dis, par exemple, "Je crois que l'été prochain sera caniculaire", tu le supposes pour raison réchauffement climatique général, mais tu n'en es pas absolument sûr, l'été pourrait être très pluvieux, on ne sait jamais.
"Je crois que mes voisins sont partis en vacances". "Je crois que ma collègue est enceinte". "Je crois avoir déjà vu ce film". "Je crois, Atil, que tu cherches midi à quatorze heures."...
Atil
Si on doute alors on ne croit plus vraiment.
Dans ce cas on est indécis, on suppose, on s'interroge.
La croyant qui doute est en danger de perdre sa croyance.
Ansil
Croire c'est accepter comme vrai quelque chose qui nous a été inculqué par quelqu'un mais que l'on n'a pas expérimenté ou vérifié soi-même. Pas de preuve directe ou formelle, pas de certitude absolue.
La croyance est généralement associée à des faits religieux ou spirituels, mystiques, croire en Dieu, à l'au-delà... Ce qui est, peut-être, plus une espérance qu'une croyance. Croire implique souvent le doute.
Milie



Atil a écrit :

Qu'est-ce qui peut expliquer qu'un homme adopte une croyance ?

Si on me démontre une chose, alors je ne la crois pas, je la comprends.

Mais alors comment se fait-il que je puisse croire une chose qui n'a pas été démontrée ?




L'homme qui suit ou adopte une croyance, le fera le plus souvent par "besoin" de réconfort .

Un confort qu'il choisi en fonction d'un scénario, celui convenant le plus souvent a l'idéologie qu'il estime de et sur l' identification, qu'il fait de lui-même.

L'homme préférant croire se situe centré sur lui-même, il n'entend et ne comprend que ce qui entre dans sa sphère.. celle qui est délimitée aux limites de ses possibilités d'acceptations ..


Atil
A force de faire semblant de croire à une chose, ne finit-on pas par y croire pour de bon ?
 
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