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|  "C'est surtout en physique qu'on voit cela. "
C'est vrai que les maths restent assez protégés, comme les erreurs se voit très rapidement. Et on ne peut pas se cacher derrière des résultats expérimentaux. Mais ils existe des charlatans partout malheureusement.
"La description caricaturale de certains 'matheux' et non des mathématiques, rend compte de certains chercheurs ou groupes de chercheurs en mathématiques qui veulent publier des articles originaux sans en avoir la capacité et la rigueur."
Rien à dire de ce coté là. Et c'est bien dommage. Beaucoups de pseudo-mathématiciens oublient (s'il l'ont jamais su) que les maths demandent avant tout de l'imagination créative.
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| ".... rend compte de certains chercheurs ou groupes de chercheurs en mathématiques qui veulent publier des articles originaux sans en avoir la capacité et la rigueur. "
>>>>>>C'est surtout en physique qu'on voit cela.
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| Ma chere ou mon cher bips, je pense que tu n'as absolument rien compris au sujet!!
La description caricaturale de certains 'matheux' et non des mathématiques, rend compte de certains chercheurs ou groupes de chercheurs en mathématiques qui veulent publier des articles originaux sans en avoir la capacité et la rigueur.
Cela étant dit, les grands mathématiciens et physiciens sont d'une clarté et d'une simplicité absolues, et c'est en cela que les mathématiques deviennent passionnantes...
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| C'est le gros problème, les maths sont complexes et pour les enseigner aux collégiens ou aux lycéens, ont est obligé d'utiliser des abus de langages compréhensible par des élèves de niveau moyen. Il faut absolument que ceux qui visent plus haut dans cette discipline prennent leurs infos ailleurs, parce que la différence entre les maths du lycée et celles des chercheurs est énorme.
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| Si mes profs avaient parlé comme toi, je ne me serais pas bloqué en math 
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| "Pourquoi utiliser en math des mots qui ont d'autre sens dans le langage de tous les jours."
Le problème, c'est que l'expression "F de x" s'emploie très peu en maths. C'est dans l'enseignement des maths qu'on l'utilise, alors que ça ne simplifie rien, comme tu le dis. Formelement, on devrait dire "la fonstion F s'applique à la variable x" ce qui a du sens, mais les abus de langage ont la vie dure.
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| Ces complexités de langage sont volontairement introduites pour fonder une caste.
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| Par exemple il y a des expressions comme "F de x" qui m'ont toujours dérouté et qui, à l'école, faisaient naitre en moi un blocage psychologique m'empéchant de bien comprendre.
Pour moi, "DE", en francais, désigne une possession. exemple : Le chapeau DE Mireille = Le chapeau qui appartient à Mireille.
Alors pourquoi dire "F de x" alors que x ne possède pas F ? Pourquoi utiliser en math des mots qui ont d'autre sens dans le langage de tous les jours. Moi ca m'embrouille.
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| ok, là je suis parfaitement d'accord. D'ailleurs, pour reprendre ton exemple, la majorité des "vrais" mathématiciens parlent de nombres "complexes" au lieu d'utiliser le terme "imaginaire", pour les raisons que tu donnes. Toute traduction possède ses faiblesses, et il est clair que certains vulgarisateurs (quelque soit leur sujet) recherche le "sensationnel" et ne résistent pas au plaisir de faire un bon mot. C'est dommage, car ça donne une mauvaise image de leur discipline.
Je présente encore mes excuses pour le premier post, mais c'est vrai que j'entends souvent de tels propos sur les maths dès que j'aborde le sujet, et ça finit par m'énerver.
Mais il ne faut pas oublier que le langage formel des maths a été développé justement pour pallier aux faiblesses des langages naturels dans les démonstrations rigoureuses, donc il est normal que ces démonstrations ne puissent pas se "dire" dans de tels langages. Et il faut garder à l'esprit que les sciences naturelles (physique ou biologie par exemple) se vulgarisent bien mieux que les maths, qui n'ont pas de prise dans la réalité.
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| Justement : le langage mathématique est bien en partie plongé dans le "langage de tous les jours", ce langage si flou. et c'est pour ca qu'il est obscur.
Car on ne peut pas enseigner les maths à des gens en utilisant uniquement le langage mathématique : il faut bien insérer les notions dans un langage avec une syntaxe et une sémantique. Hors je trouve justement que les mots itilisés sont souvent mal choisis et n'aident pas les gens à bien comprendre les maths.
Par exemple : Pourquoi utiliser l'expression "nombres imaginaires" ? ca fait peut-être joli et poétique mais ca peut entrainer bien des confusions chez les gens qui rencontre ce terme pour la 1ère fois.
Personellement je suis nul en math car j'ai toujours été rebuté par l'aspect obscur du vocabulaire des maths.
Ce n'est donc pas le langage mathématique qui est obscur mais sa traduction dans la langue de tous les jours. On aurait pu faire mieux.
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