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Ase
Ce qu'il appelle des "anomalies de masse" sont des variations inertielles qui n'ont rien a voir avec la lévitation accoustique. Par "accousitique" il doit faire réference à des expériences réalisés par Keely sur des clochettes de vélos, ou d'autres expériences de ce style faite à l'université de Vancouver.


"C'est aux grandes échelles qu'on a des chances d'arriver à les détecter"

---> oui dans le modèle de la relativité générale, mais BlazingStar ne semble pas parler des ondes gravitationelles prévus par les équations d'Einstein, comme étant une déformation de la métrique de l'espace-temps.
Atil
A l'échelle des particules, je ne vois guère comment on pourrait s'amuser à mesurer les ondes gravitationnelles. C'est aux grandes échelles qu'on a des chances d'arriver à les détecter. Aux petites échelles leur action est trop minime.


"Même avec des ondes acoustique (piezo, diapazon, instrument de musique) on peut produire des anomalies de masse dans des objets à fréquence sympathique,"

>>>>>>De masse ou de poids ?
On arrive bien à faire "léviter" des petits objets avec des champs électromagnétiques, ne pourrait-on pas en faire autant par l'accoustique ?
Sans que cela ne modifie la masse elle-même.
Blazingstar
Atil la raison pour laquel on a jamais observer d'onde gravitationel dans un accélérateur de particule est toute simple. Au niveau du canon injecteur sur 5 ou 10 mètre on accélère les particules (électron par exemple) d'une vitesse assez inférieur à C jusqu'à approcher C, c'est seulement dans cette partie là de l'accélérateur que l'on pourrait observer quelques "anomalies" gravitationel, seulement l'ampérage des électron dans le tube à vide est de l'ordre du microampère, ce n'est pas assez pour produire un effet mesurable. Après cette phase d'injection et d'accélérattion (de particule non relativiste on a des particules relativiste, c'est à dire qu'elles subisse un effet Doppler important), on fait monter en énergie ces paquets d'électrons toujours avec des champ électrique "accélérateur" (cavité radio fréquence ou Van deGraaf), les particule sont depuis l'injecteur déjà proche de C donc elle ne peuvent plus accélérer, donc il n'y a plus de production d'onde gravitationel sur le reste de la machine.
Cette idée qu'il faut l'énergie d'un quazar ou d'un trou noir pour faire de l'antigravité n'est fondé que sur la théorie du model standard et pas du tout sur les cas pratiques. En fait si, il faut beauvoup d'énergie, mais pas besoin de la fournire puisqu'elle est déjà présente dans le flux temporel du vide.
Même avec des ondes acoustique (piezo, diapazon, instrument de musique) on peut produire des anomalies de masse dans des objets à fréquence sympathique, seulement ces anomalie sont assez faible pour ne pas être observée directement, faut s'amuser à peuser avec précision n'importe quel objet en vibration acoustique. Un oscillateur RLC doit bien montrer à son échelle de légère variation de masse des ces élémente L et C, ça n'est jamais venu à l'idée de faire ce genre de mesure et c'est pourtant sous notre nez, rien est caché, ça a toujours était comme ça.
Atil
4 grammes ? Ca me parrait énorme.

Normalement il faudrait manipuler des masses énormes pour obtenir des effets gravitationnels , tellement les ondes gravitationnelles sont de faible fréquence.
Blazingstar
Atil a écrit :

Comment obtient-on une onde gravitationnelle pour faire des expériences ?


http://www.rexresearch.com/1hodorhy2/85-4-29/85-4-29.htm

Soit avec des masses tournante, soit avec un autre condensateur dont l'isolant a des fuites d'électrons (cf POher voir brevet), ce sont ces électrons qui jouront le rôle de masse accéléré entre les plaques.

Pour exemple, à mon travail il y a une machine outil (mortéseuse rapide) dont le porte outil vibre à 30 kHz, ce porte outil présente systématiquement une anomalie de perte de masse de 4 grammes sur 10 kg d'acier après la mise en vibration, ces 4 grammes sont repris après quelques minutes au repot.
Donc pour qu'il y ai cette légère dégravitation (à peine perceptible sauf avec une balance de précision) c'est qu'il y a émition d'onde gravitationel. Un mouvement tournant de n'importe quel objet devient un éméteur d'onde gravitationel de faible amplitude. Pour amplifier l'émition, il faut faire tourner un seul type de charge électrique, faire tourner les deux revient a émettre deux type d'onde gravitionel en phase destructrice. Dans le cas d'un morceau de metal ce sont la faible quantité de charge libre (électron libre) qui produise l'effet.
Atil
"Production d'un champ électrique dans un isolant de condensateur quand il est sousmi à une onde gravitationel. "

>>>>>>>Comment obtient-on une onde gravitationnelle pour faire des expériences ?
Blazingstar
L'effet Casimir, c'est l'indice qu'il y a quelque chose à aller chercher du côté des condensateur plan, Poher et fran Deaquino et d'autres petits chercheurs l'ont bien compris :

http://www.rexresearch.com/1hodoindx.htm

http://www.rexresearch.com/1hodorhys/remag86/remag86.htm

Production d'un champ électrique dans un isolant de condensateur quand il est sousmi à une onde gravitationel.
Production d'un champ électrique dans l'isolant des spire d'un solénoide, d'où production de courant.

Effectivement le rendement est faible, mais Mrs Poher a compris comment il fallait procéder pour accélérer à vitesse relativiste des charge électrique (ça marche aussi avec des ions) sur des courtes distance (fort gradiant d'accélération).

Les montage présenté par Gregory Hodowanec (cf liens), montre bien qu'un condensateur capte un flux même lorsqu'il est confiné dans une cage de faraday. En électronique, on a souvent désirer supprimer tous ces bruits de fond, qui sait, perdu dans ce bruits il y avait certainement une partie qui provient de la capatation d'onde gravitationel à travers les capa de nos amplificateur ou récepteur.
Ase
D'un point de vue théorique et pratique, on peut obtenir des effets mesurables :

http://xxx.lanl.gov/PS_cache/hep-th/pdf/9901/9901011v1.pdf

http://xxx.lanl.gov/PS_cache/arxiv/pdf/0809/0809.3706v1.pdf
Atil
Et l'effet Casimir ?
On ne peut pas en tirer de l'énergie ?
Même si le rendement est infime ?
Ase
en technologie on connait pour certaines applications (éoliennes, etc.) les rendements optimaux théoriques possibles, mais on ne les connait pas pour tout types de technologies surtout lorsqu'elles sont nouvelles. Il en va de même pour les expériences faisant appel a un haut degré de précision et a une forte base de temps (temps de réactions atoscopiques)


"Je ne pense pas qu'il existe des principes s'opposant à l'extraction de l'énergie du vide"

---> pendant longtemps, les physiciens se sont opposés à cela en brandissant la violation de la conservation de l'énergie volumique lors de l'échange. La moyenne de la densité d'énergie du vide étant nulle selon les approches considérés et comme ce que l'on désire sont les mesures des variations de l'énergie, du coup le bilan d'énergie est nulle (exception de la gravitation).
Puis vers les années 60, les physiciens Lifshitz et Landau ont montré qu'il était théoriquement possible de générer des ondes gravitationnelles à haute fréquence. Par la suite d'autres institutions (British National Space Center, etc.) s'y sont intéressés pour des applications spatiales : l'idée était de faire fluctuer la métrique de l'espace-temps comme définit dans le quadripole d'Einstein en 1917. Et ce n'est que depuis une dizaine d'années que des laboratoires essayent d'extraire cette énergie par ce que l'on appelle les générateurs de "jerking" afin d'exciter les ondes gravitationnelles du vide.
 
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