| Dernières réponses | |  Quand on pense que Nikola Tesla était un grand admirateur de Faraday, on se dit que les expériences de faraday devait avoir une porté bien plus grande que ce qu'on en apprend dans nos écoles. La fameuse expérience du disc de faraday n'est que partiellement abordée dans les cursus universitaires, ça passe inapperçu, ça ne choque personne. Les fillières électrotechniques appellent "frein de Foucault" un cas particulier de l'induction unipolaire ou homopolaire, comme ça nos électrotechnicien passe à côté et se dise "super avec çà on réalise un freinage par courant de foucault pour nos train et camions", seulement ce qui ne savent pas, c'est que dans une configuration différente ce même "frein de foucault" peuvent devenir ce qu'on appel à notre époque moderne une "N-machine" de depalma.
Tesla avait rédigé une note sur la dynamo unipolair :
http://peswiki.com/index.php/Notes_on_a_Unipolar_Dynamo
http://www.geocities.com/capecanaveral/lab/5185/weird1.html
Faraday avait pourtant ne cachait rien des ces expériences, il disait même que ça roue unipolaire devait polariser le flux de l'Ether pour expliquer la tension produite.
C'est quand on parle de Maxwell que ça me chiffone, bien que maxwell se soit basé sur les travaux de Faraday, il n'a bizarrement pas tenu compte du cas générale qu'on appel N-machine aujourd'hui, je lui dit bravo quand même pour avoir pondu un système d'équation assez compliquée pour expliquer le onde Ondes Hertzienne (équation de maxwell-heavyside).
"
CITATION DE NIKOLA TESLA
Une des choses que nous découvrirons est que les ondes hertziennes ou ondes électromagnétiques transversales sont
strictement des ondes de masse ( =onde de matière en terme quantique = onde scalaire longitudinale = onde gravitationelle = onde de pression et de détente ) dans un milieu de particules de masses chargées.
Par exemple, les ondes transversales électromagnétiques n'existent pas et ne peuvent pas exister dans le vide. Les ondes
électromagnétiques dans le vide sont des ondes longitudinales de compression et de dilatation. Ce qui est comprimé et dilaté est le
flux de particules virtuelles qui sont le vide lui-même. Les ondes électromagnétiques du vide dans ce flux virtuel sont exactement
semblables aux ondes sonores dans l'air - dans le flux de molécules et d'atomes qui constitue le gaz atmosphérique.
Bearden -Nikola Tesla, bien sûr, savait celà et il montra fréquemment la fausseté de la théorie des ondes transversales généralement
acceptée. Voici par exemple une citation de Tesla, prise dans"The Electrical Experimenter".
Presque tous les scientifiques - même les fanatiques de Tesla- ont pensé que Tesla avait tort dans son opposition inflexible à
l'idée d'ondes,hertziennes dans le vide.
Comme nous le verrons, Tesla avait raison , et tous les scientifiques actuels et leurs manuels sont dans l'erreur.
" (http://quanthomme.free.fr/energielibre/chercheurs/beardennouvelEM.pdf)
On s'est très vite écarté de la vérité, après faraday, on est tombé dans des complications inutiles (qui ont permet d'apporter leur lots de progrés sur des technique à énergie antropique, rien concernant les machines à énergie de l'espace).
Pourtant presque à la même époque bien qu'un peu plus tard, vivait le fameux john Keely, Domage que Faraday n'ai pas échangé avec celui là, même Tesla n'en parle jamais. Souvent ces individus, quand on lit un peu leur façon de travailler, présentent des aptitudes d'inspiration très proche de la médiumnité (surtout tesla, mais les autres ne doivent pas en être très loin), ce n'est certainement pas par hazard. Notre système égotique nous insite à penser que toutes leurs inventions proviennent de leur seul personne uniquement, et pourtant quand on parle d'inspiration ou de suggestion, la source est tout autre.
Pour ce qui est du personnage faraday, on voit bien qu'il avait (a encore) une certaine qualité d'Etre, son entourage le resentait et recherchait ça présence, ça ne trompe pas.
Edité le 04-08-2009 à 10:55:27 par Blazingstar
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| | Londres n'avait rien, en 1796, de ce que nous considérons comme une ville. Et le quartier de Bermondsey ne possédait guère que son nom. Jacob Street était à peine tracée. Quant aux écuries qui se trouvaient dans cette rue, on peut à peine en parler. Au-dessus de celles-ci, quelques chambres étaient à louer et un forgeron de Yorkshire s'y installa avec ses quatres jeunes enfants. L'un de ces enfants était un garçon du nom de Michael. Le père s'appelait Faraday.
Comme début de dans l'existence ce n'est pas grand chose, n'est-ce pas ? Pourtant, le petit Michael s'éleva jusqu'à être le fondateur des sciences électriques. Il devint l'un des plus profonds penseurs du monde et, à beaucoup d'égards, le savant le plus remarquable de son époque.
Comme instruction scolaire, il reçut très peu sinon rien. Il dut se mettre à gagner des sous dès qu'il put marcher. A treize ans, le petit Michael eut une grande chance. Il fut engagé comme saute-ruisseau par un libraire de Baker Street. Pour la première fois, il avait à sa disposition des livres et des revues.
Un jour glorieux, quand il avait quatorze ans, il mit la main sur un petit livre de chimie. Sa carrière débuta ce jour-là. Il commenca à faire des expériences le soir même. Il vivait dans une petite chambre chez le libraire et une cuisinière, bonne fille, lui procura les ustensiles rudimentaires nécessaires à ses expériences.
A l'âge de vingt et un ans, on lui fît un cadeau qui avait plus de valeur pour lui que tout l'or de la Banque d'Angleterre. Un de ses clients lui paya la fréquentation d'une série de conférences données par Sir Humphry Davy, le plus grand chimiste de l'époque.
On le remarqua à ses conférences : c'était un garçon mince et pâle, aux grands yeux éveillés et très aimable. Il était le plus jeune des auditeurs. Il prit des notes et les rassembla en un livre illustré.
A ce moment, il ne compta plus sur la chance et décida d'agir par lui-même. Il écrivit à Sir Humphry Davy, lui envoya son livre de notes et demanda du travail comme apprenti scientifique. Sir Humphry le fit chercher et lui procura un poste d'assistant au laboratoire de la Royal Institution.
Sa première tâche fut d'accompagnr Sir Humphry au cours d'un voyage de deux ans à travers l'Europe. Il eut l'occasion de rencontrer les savants de Paris, Gênes, Florence, Rome, Naples et Genève.
A vingt cinq ans, il publia son premier article scientifique. A vingt neuf ans, il fit cette grande découverte suivant laquelle un aimant est animé d'un mouvement continu dans un champ magnétique. C'était l'acte de naissance du moteur électrique.
A trente deux ans, il était l'un des maîtres scientifiques du monde. Il était membre de la Royal Society et administrateur de la Royal Institution. Il avait une chance de devenir riche. On lui offrait de grandes sommes pour l'aider dans ses recherches de chimie. Mais il examina la question avec sa femme et ils décidèrent qu'il n'avait pas le temps de faire fortune.
Faraday était un philosophe autant qu'un savant. La grande passion de sa vie était de prouver que l'univers procède d'une seule énergie. Son esprit s'efforca d'atteindre le cycle complet de la vérité. Des faits, il allait vers les principes et des principes, vers la sympathie. Il avait la sensation que le monde entier ne formait qu'une seule famille: plantes, élèments, animaux, hommes, etc. Il était un homme si bon que les enfants l'entouraient partout où il allait et si fort qu'il contraignit un premier ministre à lui faire des excuses.
Faraday et sa femme passèrent leurs dernières années dans un cottage près de Hampton Court. La jouissance leur en fût accordée par la reine Victoria. De son fauteuil de repos, il contait aux enfants qui envahissaient ses genoux les contes de fées de la Science, il les contait aussi aux savants qui venaient de tous les points du monde voir le Maître.
Il vécut jusqu'à l'âge de soixante-seize ans. Il eut une vie heureuse. Il fît ce qu'il désirait faire. Il réussit au-delà de ses rêves. Il vécut longtemps et noblement. Il n'eut ni tristesse ni regrets. Il créa l'Age de l'Electricité. Il nous donna une nouvelle Force. Telle est l'épopée de Faraday. |
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