| Dernières réponses |
|  Si l'univers est une hypersphère à 4 dimensions, sa rotation doit se faire selon un ctrcuit plus complexe qu'une boucle. |
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| Tout est mouvement autour de nous.
Si l'univers est bien né d'un big-bang, il est difficile de croire à une immoblité qui résultérait d'un sacré pétard!
Le cas général nous invite donc plutôt à penser en termes de mouvements et là, le circulaire est roi... |
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| Pom a écrit :
Bien qu’il se déplace maintenant à la verticale, pour lui son plan est toujours horizontal et il va de long en large. Pourrait-il en être de même pour nous ? |
Tout puceron ou hexapode a une masse, il est donc soumis à la gravité. Il a donc un sens de la verticalité. Cette dimension ne lui est donc pas inconnue.
Le sens de la gravité est définie pour un objet par le fil à plomb et pour l'être humain par son oreille interne.
Maintenant, je ne suis strictement pas spécialiste des hexapodes.
Maintenant pour une critique de l'expérience, j'ai l'impression qu'elle est construite en présupposant ce que l'on veut démontrer.
Ce n'est parce que l'on retire le plan horizontal que le plan vertical devient le sol de l'hexapode ou du puceron.
Atil a écrit :
L'homme est capable d'analyser.
Mais aussi de faire des synthèses. |
En effet, on peut comprendre notre perception comme étant synthétique.
On s'est rendu compte que certains schizophrènes ne percevaient pas les émotions des gens parce qu'ils concentraient leur attention à suivre une multitude de détails sur le visage des gens (par exemple les lignes, les points, les irrégularités du visage, etc.) et ils en oubliaient de regarder l'ensemble que tout ceci formait.
Et du coup, ils étaient incapable de lire quelle émotion le visage pouvait exprimer et donc d'interagir correctement avec une personne.
Cependant, il existe maintenant des thérapies qui permettent aux schizophrènes d'apprendre à porter leur attention sur le visage dans son entier et non plus dans ses détails, cela leur permet de décrypter les émotions et d'agir en conséquence de manière adéquate. |
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| L'homme est capable d'analyser.
Mais aussi de faire des synthèses. |
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| ...Comme le prisme décompose la lumière en couleurs
du spectre, l’analyse diffracte une réalité unique
en une multitude d’aspects qui permet de
mieux percevoir tout son potentiel ! |
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| | Disons que ça permet d'affiner les modèles dans des cadres interprétatifs. |
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| ''... cette idée-là à déjà été reprise dans les travaux topologiques (monde des cordes, pliages au niveau de l'échelle de Planck, structures de Kaluza-Klein, etc.). Donc mathématiquement on y a accès.'' Ase
Finalement, ce n'est que symbolique.
Comme lorsque nous disons qu'un billet de banque( qui n'est qu'un carré de papier) à une valeur de 100 euros!
Ça nous est utile de croire en ce postulat. |
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| La contraction de Fitzgerald-Lorentz (diminution de la longueur des objets aux vitesses proches de la lumière) pourrait être modélisé comme un basculement dans une dimension suplémentaire. Et idem pour le ralentissement du temps aux vitesses proches de la lumière.
Si un objet se déplace perpendiculairement au temps, le temps semble figé pour lui.
S'il se place perpendiculairement à notre espace, il semble avoir une taille réduite à zéro. |
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| Pom a écrit :
Pourrions-nous être des petits Hexapodes qui ont accès à d’autres
dimensions sans trop le savoir ? |
Non je ne penses pas si il s'agit de dimensions de même nature que celle de l'espace-temps. Par contre, l'idée de dimensions supplémentaires d (d défini par D = 4 + d avec d << 1 et de l'ordre de la longueur de Planck) qui sont suffisamment petites en un certain sens, de manière à ce qu'elles ne puissent pas être perceptible directement, cette idée-là à déjà été reprise dans les travaux topologiques (monde des cordes, pliages au niveau de l'échelle de Planck, structures de Kaluza-Klein, etc.). Donc mathématiquement on y a accès.
Mais concrètement, la question est différente si on essaye de l'appliquer à la sphère physique. |
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| | C'est inévitable pour tout espace de moins de 4 dimensions. |
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