Dernières réponses |
| Contrairement au chat. |
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| L'homme n'aime pas être seul, surtout dans l'épreuve. |
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| Pourtant il me semble que ce qui lui faisait plaisir c'est que plein de gens pensent à lui. Probablement était-ce car c'est réconfortant d'avoir l'impression d'être entouré de plein d'amis. L'homme est programmé pour aimer la compagnie et pour ne pas aimer la solitude. |
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| En fait, ça dépend... Si ce môme, par sa célébrité, son "combat", a permis de faire progresser la science, a permis de sauver d'autres enfants, alors il ne s'agit pas d'orgueil primaire. |
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| Ce que je demande c'est pourquoi on trouve agréable et réconfortant de savoir que plein de gens pensent à soi ? Aimer être célèbre c'est une forme d'orgueil, non ? Ou alors c'est parcequ'on a l'impression d'exister, de ne pas être un raté, d'avoir servi à quelque chose dans la vie ? Mais n'est-ce pas encore une forme d'orgueil ? On peut trés bien avoir fait plein de choses dans sa vie tout en restant méconnu des gens (d'ailleurs les taoistes préféraient l'anonymat à la célébrité). |
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| Donc, en gros, vous dites qu'il était orgueuilleux, et qu'il devrait s'estimer heureux d'être mort à 14 ans. Et moi je dis qu'on s'en fout. Plutôt que d'avoir votre cynisme, ne vaut-il pas mieux avouer qu'on en a rien à battre? |
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| D'un autre coté on peut se poser une question : Pourquoi une personne qui est mourrante se sent-elle mieux si elle sait que des milliers de personnes pensent à elle ? Ca ne peut qu'être qu'un soutien psychologique mais pas physique. Mais sur quoi repose-t-il ? En quoi la pensée d'autrui nous réconforte-t-elle ? est-ce une forme d'orgueil ? |
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| On s'en fout ? Ha bon. Je ne comprend pas pourquoi autant de «solidarité» pour un enfant qui est désormais heureux dans l'éternité. La mort est venue pour le libérer de cet enfer, par conséquent nous devrions être heureux pour lui, puisqu'il ne souffre plus. |
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| Pis en plus, on s'en fout, non? Ya des millions de mômes qui meurrent de faim, de maladie, d'accident... |
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| Donc maintenant il ne souffre plus. Il en a de la chance. Pourquoi ne pourrait-on pas l'envier ? |
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