Dernières réponses |
| On peut aussi jouer ca à pile ou face. Ainsi c'est "Dieu" (ou le destin) qui est mis en face de ses responsabiliités : c'est à lui de décider à notre place. |
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| Bien que je ne veuille tuer personne, peut-être le ferais-je. Je ne sais pas. A mon goût, trop personnel pour pouvoir imaginer une telle situation et savoir comment l'on réagira. |
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| La décision est terrible à prendre lorsqu'il s'agit d'une personne en coma. De bons médecins nous évitent de prendre cette décision, et nous devons les en remercier. |
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| "Te sens tu capable de franchir le pas pour soulager une personne que tu aimes, sur sa demande?" >>>>>Non, je ne pense pas que j'en aurais le courage. mais si c'était moi qui souffrais j'espère que je pourrai rencontrer quelqu'un qui aurait ce courage. -------------------- "Les cas que nous avons vécu en France n'ont rien eu du crime, mais bien une mise de fin a des souffrances réelles." >>>>Parfois aussi ce n'était qu'une excuse pour se débarasser d'un parent encombrant dont on voulait hériter. -------------------- "Je crois que lorsque le diagnostic est sans appel, quand la personne est maintenue en vie de manière artificielle, ce serait un grand pas que d'accepter d'éviter, le plus rapidement possible, l'acharnement thérapeutique. Débrancher les machines c'est libérer la personne, lui donner le droit de mourir dignement et libérer la famille qui n'en peut plus." >>>>Mais c'est déja arrivé que des personnes sortent du coma aprés un diagnostic sans appel. |
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| Je crois que lorsque le diagnostic est sans appel, quand la personne est maintenue en vie de manière artificielle, ce serait un grand pas que d'accepter d'éviter, le plus rapidement possible, l'acharnement thérapeutique. Débrancher les machines c'est libérer la personne, lui donner le droit de mourir dignement et libérer la famille qui n'en peut plus. |
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| Proposons un cadre en ce cas, en tout cas pour ceux qui sont prêts à être pour. 1- le diagnostic doit être sans appel. 2- Il doit y avoir un contre diagnostic par un médecin de l'état, afin de garantir au mieux des malversations. Financé par la famille, ou l'état en fonction des revenus du défunt et de ses héritiers. 3- L'acte doit s'accomplir en présence du médecin de famille, et d'un membre de la famille ou un ami ou un tuteur consentant, majeur et psychologiquement préparé. 4- il doit y avoir autopsie financée par la famille, ou l'état en fonction des revenus du défunt et de ses héritiers. |
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| Mais que ferais-tu, toi? Te sens tu capable de franchir le pas pour soulager une personne que tu aimes, sur sa demande? |
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| Ce n'est jamais qu'une question idéologique : Quelle valeur décide-t-on de mettre sur un piédestal ? Le lutte contre la mort ou la lutte contre la souffrance ? Mais jusqu'à preuve du contraire il n'existe pas de valeurs absolues. |
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| Je parle bien sur de la première que tu nommes active. Je remplacerai aussi la phrase "On tue la personne" Par "On aide la personne, sur sa demande". |
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| Il y a l'euthanasie active : On tue la personne. Il y a l'euthanasie passive : On ne fait rien et on regarde si la personne arrive à guérir ou pas. On peut peut-être être pour l'une mais contre l'autre ? |
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