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Dernières réponses
zorglub
tout le monde peut changer. Regardes, même les polices dès fois s'y mettent
Atil
Ca parle de travail.

Comment un glandu comme moi pourrait-il parler de travail ?
PizzaMan
Cela dit je m'étonne que ce sujet n'intéresse pas le petit père
tayaqun
Alors, je rends à César...
PizzaMan
Tu as raison, à une exception près : ce n'est pas Atil qui a dit cela, c'est moi
tayaqun
"S'il y a bien une chose aussi nécessaire que de respirer, c'est bien l'emploi." nous dit Atil ci-dessus. Et il a raison mais il y a mieux: c'est le droit de pouvoir vivre corformément à la norme du pays: avec un toit pour y vivre...
Comment est-il pensable qu'une famille ne trouve rien pour s'abriter même quand ils ont les moyens de payer...

Normal?
PizzaMan
Parlons également des vieux salariés licenciés, mais pas encore assez vieux pour la retraite. Ces gens-là doivent être recyclés, donc formés pour se maintenir eux aussi dans le marché de l'emploi.

Pour ma part, je trouve anormal dans ce pays, que chacun ou presque, doit batailler pour trouver ou conserver son emploi. S'il y a bien une chose aussi nécessaire que de respirer, c'est bien l'emploi. Et ils en sont encore dans une situation précaire qui perdure depuis plusieurs décennies.
tayaqun
Les pays du Nord (Scandinavie) possèdent des systèmes qui permettent de licencier plus rapidement tout en protégeant le salarié par une nouvelle formation professionnelle et une meilleure indemnisation...
Madame Dumas a la souplesse du verre de lampe...
Certains sont près a défendre mordicus des positions qui sont mortifères, ceci d'un côté et de l'autre, un patronat français ringard, ringard à la symétrie des derniers ringards soviétisants de la CGT qui a le chic pour marginaliser ses meilleurs éléments.
Enfin, c'est comme cela que je perçois la situation actuelle...
Les vieux polus de la Gauche sont près à mourir dans les tranchées pour sauver les 35 h dont la valeur absolue en elle même ne se conçoit que divisé par 7 ou 5... En soi, cela devrait faire réfléchir...
PizzaMan
Les négociations marathon sur la réforme du marché du travail, en cours depuis trois jours au siège du Medef à Paris, devaient s'achever vendredi 11 janvier au soir. Après de nouvelles concessions des organisations patronales, les partenaires sociaux sont parvenus à finaliser le projet d'accord destiné à concilier flexibilité pour les entreprises et sécurité pour les salariés.


Parmi les concessions apportées par le patronat (Medef, CGPME, UPA), figure un allongement de la période d'essai des CDI : deux mois au lieu d'un pour les ouvriers-employés, trois mois au lieu de deux pour la maîtrise et quatre mois au lieu de trois pour les cadres, soit un allongement inférieur aux propositions initiales (trois mois pour les non cadres et six mois pour les cadres). Selon Maryse Dumas, secrétaire confédérale de la CGT, le projet prévoit également la création à titre expérimental d'un CDD (et non plus d'un CDI comme initialement proposé par le patronat) à objet précis pour une durée de 18 à 36 mois.

Dans les "points positifs" énoncés par la CGT se trouvent le versement d'une prime aux demandeurs d'emploi de moins de 25 ans, "mais ce n'est pas une allocation, et elle ne concerne pas les primo-demandeurs d'emploi". Il sera également possible pour les salariés devenus chômeurs de conserver le bénéfice de la couverture complémentaire santé/prévoyance, mais pendant seulement un tiers du temps de leurs droits à l'indemnisation chômage.

"PLUS DE DANGERS QUE DE POINTS POSITIFS"

En revanche, selon la CGT, le document n'évoluera pas sur les points les plus conflictuels comme la période d'essai, la rupture conventionnelle des contrats et le contrat de projet. Le patronat n'a pas accepté de modifier le mode de validation des ruptures de CDI "à l'amiable" qui seront donc homologuées par la direction départementale du travail. L'absence de réponse au bout de quinze jours vaudra acceptation. Les syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) souhaitaient, eux, une validation par le conseil des prud'hommes.

"La partie patronale a enfin bougé car les organisations syndicales ont su peser ensemble jusqu'au bout", a dit Maryse Dumas à la presse. Elle a cependant jugé que le texte est "déséquilibré", favorisant la flexibilité au détriment de la sécurisation des parcours. "Il y a dans cet accord plus de dangers que de points positifs et je crois pouvoir dire que la délégation CGT proposera aux organisations CGT de ne pas signer cet accord", a-t-elle ajouté.

Cette négociation, débutée en septembre et concernant 18 millions de salariés du secteur privé, doit déboucher sur un projet de loi qui, en cas d'accord, reprendra son contenu et en cas d'échec, relèvera de la responsabilité du gouvernement. Les autres syndicats et les organisations patronales ne s'étaient pas exprimés dans l'immédiat.
 
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