| Dernières réponses | |  C'est vrai qu'on est d'emblée pour le plus faible mais il y a des conflits qui virent à la Guerre de Cent Ans!
Pensons-ici à ces effroyables guerres entre la France et l'Allemagne alors que nous sommes culturellement identiques.
J'ai longtemps habité sur la ligne de front qui s'était fixée sur le territoire du bassin minier du Nord entre 15 et 17... Un siècle après, on déterre encore les soldats disparus! Aux labours, on trouve encore au bord des champs des tas d'obus qui remontent à la surface et que les agriculteurs regroupent pour faciliter le travail du service de déminage de Vimy...
Les hommes de maintenant ne savent plus pourquoi nos arrière grands-pères sont morts là, les tripes au soleil.
Faire confiance en nos institutions ... Il n'y a pas d'autres voies. Mais il faut créer des pressions pour que ceux qui ont en main le manche qui tue sachent qu'on ne peut plus faire n'importe quoi et s'en sortir par un "c'est la guerre!"... |
| | | Les Tamouls s'en prennent plein la gueule en ce moment. |
| | Et le combat cessa faute de combatants...
Le dernier réduit est inscrit dans un cercje d'à peine 8km de rayon.
La paix des cimetières existe bien à un certain moment.
Qu'est-ce qu'une "margilisation de groupes minoritaires" si ce n'est parfois, mais pas toujours, le refus d'une intégration...
On parle d'une guerre éthnique... On veut proscrire les guerres raciales et revivifier "l'ethnique" qui ravage l'Afrique jusqu'à l'os...
Si c'était une pensée universaliste qui était en train de se faire écrabouillée...
Mais quand c'est de la connerie pur-jus de tous côtés... Trente ans de guerre, c'est pas assez? Faut mettre des rallonges?
Mettez en place des instances internationales puissantes au point de choper les salopards où qu'ils soient pour les faire comparaître pour crimes de guerre... Cela commencera à refroidir certaines têtes chaudes plutôt que d'intervenir dans un combat fumeux où c'est le dernier qui parle qui a raison... |
| | Au Sri Lanka , la plus longue guerre civile de l’Asie continue et pourrait bien se terminer rapidement, mais, bloqués dans la grande violence des batailles finales, 250 000 civils sont actuellement en danger . Au cours du dernier mois, des centaines de personnes ont été tuées et beaucoup plus ont été blessées. Même la « zone sécuritaire » désignée par le gouvernement s’est transformée en un piège mortel.
Les États-clés apportant une aide au Sri Lanka, incluant l’Union européenne, le Japon et les États-Unis, ont appelé cette semaine à plusieurs mesures qui pourraient s’avérer efficaces : le respect des zones protégées, de la nourriture, de l’aide médicale pour ceux dans le besoin et une période de cessez-le-feu, pour permettre aux travailleurs humanitaires d’entrer et aux civils de sortir. Or, pour que ces mesures aient un impact, ces pays donateurs doivent maintenant accompagner leurs paroles d’actions concrètes, en spécifiant que si le gouvernement et les rebelles ne protègent pas les civils, un prix devra être payé. En l’occurrence, les visas accordés aux personnes haut placées dans le gouvernement et l’aide militaire pourraient être gelés ; les dirigeants rebelles pourraient être jugés pour crimes de guerre et pour crimes contre l’humanité.
La guerre au Sri Lanka a été appelée le « conflit oublié ».
Or, si plusieurs d’entre nous exhortons les dirigeants américains, européens, japonais et autres à exercer de fortes pressions sur les opposants, nous leurs démontrerons que nous n’avons pas oublié que des vies sont en jeu et nous ferons de leur protection une priorité diplomatique.
Cliquez ici pour envoyer un message dès maintenant :
http://www.avaaz.org/fr/sri_lanka_civilians
Plusieurs atrocités et tragédies se sont produites au Sri Lanka dans les deux camps qui s’opposent depuis le début de cette longue guerre. Or, ces événements ne sont pas très rapportés et restent bien souvent inconnus dans le monde à cause d’une campagne brutale contre le journalisme indépendant. La fin des violences ne mettra pas en elle-même fin aux injustices les ayant causées, mais une fois que les armes se seront tues, les doléances légitimes des Tamouls et des autres groupes minoritaires devront être écoutées attentivement lors du dialogue politique et de la reconstruction qui s’ensuivra.
En ce moment, pendant les derniers jours ou semaines des affrontements, le quart de million de civils tamouls ne doivent pas devenir les victimes finales de cette guerre.
Ajoutons nos voix à celles des activistes et défenseurs des droits de la personne qui se battent depuis des années contre la marginalisation des groupes minoritaires et contre la détérioration des droits fondamentaux partout au Sri Lanka.
Cliquez ici pour vous assurer que la communauté internationale appuie les civils menacés au Sri Lanka :
http://www.avaaz.org/fr/sri_lanka_civilians
source: communiqué d'Avaaz |
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