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Erick Le Rouge
Les Berbères sont descendants des Garamantes, constituante des "Peuples de la mer" d'origine danubienne, ancêtres des Touaregs, Kabyles et Berbères qui, vers le XIIème siècle avant notre ère (consécutivement aux déluges, qui suivirent le basculement de l'axe terrestre de 90°, lors de l'explosion de Phæton, l'équateur passant alors, par nos pôles actuels, ou notamment le Grœnland montrait 3 îles couvertes de forêts vierges), comme les Tųskrénii: "Teucriens" qui envahirent l'Egypte (du norrois Tųskr: "Deutsch/Allemand", qui donna le français Tudesques, par le fransisk Diutisc: "Deutsch/Teuton", à l'origine de l'italien Tudesci, et ancien nom des Etrusques, la graphie Teucrien est d'origine Kemt: "égyptien ancien"), et y apportèrent le cheval, auparavant les égyptiens n'employaient que des ânes.

Refoulés, ils passeront par la Cyrénaïque (Libye, ne trouvant plus l'ancienne Mer de Koush-Merœ due aux Nils [Bahr el-Djebel/blanc et bleu], asséchée par les premiers Pharaons au XIème siècle avant notre ère [Ezéchiel XXIX: 3], lors du percement de la Sabaloka: "rigole", la 6ème cataracte, dont un reste sont les marécages de Bahr el-Ghazal), pour arriver en Afrique du Nord, appelée par eux Maghreb: "Couchant/Occident" (Maroc voulant dire "extrême occident").

A l'origine de leur nom le sumérien E-Bar-Bar: "Temple de lumière", dans la même langue An-Bar: veut dire "fer/étoile/métal céleste", terme transmis à l'hébreu Par-Bar en II Rois XXIII: 11, identique au Benben égyptien, tertre où le soleil s'était manifesté, lors de la Création du Monde (et dont la pyramide est l'image et l'obélisque le symbole). Dans l'ancienne Kemit: "Terre noire/ Egypte", la Bari (de lexème identique à la Bearu des Goths), était la barque sacrée des Neter: "Dieux/Principes fonctionnels de la nature".

Tout comme le Fuþark (les Runes) qui se classe en trois ÆttiŔ: "famille", d'une "huitaine" (en dönsk tunga) de runes, les Tifinaghs (écriture berbère) se regroupent en un classement de trois doubles triades, de 18 lettres consonantiques, pour faire référence à la Déesse Trine, Grande Déesse Mère des origines, dont Sekhmet: "la puissante" la Déesse égyptienne personnifiant les rayons du soleil, patronne des médecins, est l'évhémérisation.

Cette écriture est encore employée, par les Targui et/ou Touaregs du Sahara de langue Temajegh/Tamasheq, parler qui lui est étranger, celui d'origine ayant disparu avant même son classement sémantique. D'ascendance, Aria et au sens de lecture indifférencié, l'ancien alphabet Tifinagh fut influencé par celui des Ibères et des Carthaginois, puis réorganisé par l'entremise du nouvel alphabet grec, qui lui sont tout trois apparentés, le sens de lecture notamment, fut fixé dans la direction dextrogyre, c'est-à-dire de gauche à droite.

Ce chiffrement par 3 est de même parturition, que les trois DisiŔ/FilgjaŔ: Divinités de la destinée des Skandinaves, Urd: "le passé", Werdandi: "le présent" et Skuld: "l'avenir" (et des 3 Parques Romaines, issues quant à elles des Moires Grecques: Γλοθο/Clotho, Λαχεσις/Lachesis et Ατροπος/Atropos), appelées NornaŔ/TridinornaŔ: "trois Nornes", et que l'Ass Suprême des Nordiques Óðinn, dont l'un des surnoms est Þridi: "troisième/triple", tirent eux aussi leurs origines de WĒrd/Verthus/Vertus/Nerthus appelée "la Doyenne des Dieux", Grande Déesse Mère des peuples du Nord, Kelts y compris.

Les Targui, peuplade à l'origine leucoderme, restent fidèle à l'organisation tripartite, des sociétés d'extractions Indo-Germaniques (concept démontré par Georges Dumézil), leur organisation sociale se divise également en 3 groupes:

- Les Imajeren: "guerriers nobles" (cavaliers, méhara),

- Imrad: "hommes libres" (commerçants, artisans), et

- Iklan: "paysans, serfs" (libres, affranchis ou esclaves).

Où nonobstant la diachronie, c.-à-d. l'évolution des définitions linguistiques, on reconnaît les lexèmes kelto-nordiskr:

- Ren/Renn: "course" racine des mots Renne, Rêne (courroie du françois Resne), et Reinette/Rouanne (compas de charpentier et/ou sorte de gouge),
- Rad: "voyage" qui donna Raid, et Radiner, et
- Klan/Klanos: "issus/fils de", identique au racenna Klan/Clan: "nommé" (en cette langue Clin: "fils", fait penser au deutsch Klein: "petit", à la koinè klon: "jeune pousse", origine du français Clone, et de Oglan: "enfant" en tartare), d'où proviennent Clan et Clique en français.

D'autres termes en Afrique du Nord, sont d'origine tusko-lydienne, et n'ont eux non plus, rien de chamito-sémitique:

- Hoggar, vient du tusk Haugr: "amas de pierre",
- Chotts (lac Tchad) vient du ält-saxen Skâdan: "déversoir",
- Oued: "cours d'eau", des tuskr Wed: "eau" ou Wet: "mouillé",
- El Djouf (dépression du Sahara occidental), du gotiska Djupa: "creux", Djúpa: "béer", Djúpr: "profond/béant" en norrois,
- Djebel vient de Gibla: "cime/sommet de montagne", Giebel en tusk.
- Daran, nom berbère de l'Atlas selon Pline, vient du gaulois Taranis…
Atil
On n'a strictement aucun indication montrant que les populations seraient venues d'Afrique du nord en Europe au paléolithique, mésolithique ou néolithique.
Par contre au néolithique, il y a eu des influences européennes dans le sens Ibérie --> Maghreb.
massirio
Atil a écrit :

"Comment les caractéristiques physiques proto méditerranéens peuvent ils apparaître des deux côtés de la méditerranée sans qu'il y ait origine commune?"

>>>>>>>En Afrique du nord, les proto-méditerranéens semblent être arrivé de l'est au mésolithique pour remplacer les cromagnoïdes.
Par contre, en Europe, on voit mal quels mouvements de peuples auraient pu apporter les proto-méditerranéens et refouler les cromagnoïdes au mésolithique.
Peut-être que les microlithes du mésolithique européen se seraient répendu non pas par diffusion culturelle mais par l'arrivée de nouveaux peuples ?


Merci. Ainsi, l'archéologie n'a t'elle pas encore recensé des mouvements de populations en provenance d'Afrique du Nord jusqu'en Europe via le détroit de Gibraltar?
Atil
"Comment les caractéristiques physiques proto méditerranéens peuvent ils apparaître des deux côtés de la méditerranée sans qu'il y ait origine commune?"

>>>>>>>En Afrique du nord, les proto-méditerranéens semblent être arrivé de l'est au mésolithique pour remplacer les cromagnoïdes.
Par contre, en Europe, on voit mal quels mouvements de peuples auraient pu apporter les proto-méditerranéens et refouler les cromagnoïdes au mésolithique.
Peut-être que les microlithes du mésolithique européen se seraient répendu non pas par diffusion culturelle mais par l'arrivée de nouveaux peuples ?
martiko
Atil a écrit :

Des cranes et des squelettes.

De quoi aurait-on besoin d'autres ?


je pensais plus à la génétique bien plus fiable, mais merci du renseignement que je connaissais déjà, et je serais plus de l'avis de massirio.
massirio
Atil a écrit :

"L'homme de Combe capelle a t'il une orgine commune avec les Capsiens?"

>>>>>>D'un point de vue culturel, le Capsien n'a rien à voir avec les cultures d'Europe.



Je pensais plutôt d'un point de vue anthropologique. Comment les caractéristiques physiques proto méditerranéens peuvent ils apparaître des deux côtés de la méditerranée sans qu'il y ait origine commune?
Atil
Des cranes et des squelettes.

De quoi aurait-on besoin d'autres ?
martiko
mais de quel matériel disposent ils pour pouvoir ainsi classer ce groupe étymologiquement et géographiquement?
Atil
Il y avait aussi des proto-méditerranéens en Europe.
massirio
Merci. J'ai du mal à comprendre pourquoi il nomment le type Capsien ""proto-méditerranéen" alors qu'on ne retrouve ce type qu'en Afrique du nord.
 
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