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Ase
Les Etats-Unis ont proposé un nouveau plan de paix aux israéliens et aux palestiniens.

Le Figaro a écrit :

La Maison Blanche, en pleine crise diplomatique avec Israël, envisage de proposer son propre plan pour qu'il serve de base aux négociations de paix israélo-palestiniennes , rapporte le New York Times aujourd'hui.

Des responsables américains s'interrogent sur l'engagement du gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu envers les négociations de paix après l'annonce de sa décision de construire 1.600 logements dans un quartier de colonisation de Jérusalem-est annexée, annonce faite au cours d'une visite en Israël du vice-président américain Joe Biden.

La crise qui a suivi entre les deux alliés et qui dure depuis plus d'une semaine, a conduit certains responsables américains à plaider pour un changement d'approche, toujours selon le New York Times.

"Le statu quo actuel va continuer à ne pas fonctionner et cela ne nous mènera nulle part" , a ainsi commenté un responsable de l'administration américaine, sous couvert d'anonymat.

Si le président américain Barack Obama avançait ses propres propositions, y compris sur la question du découpage territorial, cela ne passerait vraisemblablement pas par l'envoyé américain pour le Proche-Orient, George Mitchell , qui travaille depuis des mois à lancer des "négociations de proximité" israélo-palestiniennes, selon le New York Times.

Les Etats-Unis "attendent toujours une réponse à (leur) demande d'avancées de la part d'Israël pour instaurer la confiance en vue de ces négociations de proximité ", a souligné un haut responsable de l'administration américaine interrogé par le journal, faisant référence aux demandes répétées de la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton.


Le président Obama aurait consulter ses conseillers pour étudier toutes les options face à cette impasse du processus de paix au Proche Orient.
Selon ces conseillers, il faudrait que :
- les officiels palestiniens acceptent qu'il n'y a pas de droit au retour pour les réfugiés de 1948.
- les deux partis devront partager Jérusalem.
- Israël devra retourner dans ses frontières de 1967.
- les Etats-Unis ou l'OTAN devront donner des garanties de sécurité à Israël avec des troupes stationnant le long du Jourdain.
tayaqun
Nous sommes en présence de pensées folles... Le bon sens nous dit que cela va péter ... repétera... Les jusqu'auboutistes sont écoutés...
Les dieux rendent fous ceux qu'ils veulentperdre, disaient les Grecs.
Ase
oki Tayaqun, jai oublié de préciser que cette chronologie changera petit a petit. Si vous avez des choses a y rajoutter, pas de soucis. J'ai modifié certains points, et il y a encore dautres points a changer. Je recherche quelques infos sur les premiers sionistes, j'ai entendu dire que parmis ceux-là certains étaient marxistes athées et d'autres socio-démocrates (comme Théodore Herzl) ?
tayaqun
Ase!
T'as oublié le Ghetto de Varsovie qui se prononce Gaza depuis peu sous certaines latitudes...

Vous vous souvenez de la pub pour le canada-dry...? Cela a la couleur, cela a l'odeur, cela a la saveur de l'alcool, cela désaltère mais ce n'est pas (encore...) de l'alcool donc vous n'avez rien à dire monsieur le gendarme...
Ase
Chronologie aboutissant à la naissance d'Israël :

En 135: Jérusalem devient Aélia Capitolina et les Juifs y sont interdits de séjour.

Au VIIème siècle: Occupation Musulmane.

16 Juillet 1099: les Croisés entrent dans Jérusalem. S'ensuit un longue présence ottomane.

1856: Traité de Paris qui instaure un protectorat occidental sur les lieux saints. Début du mouvement juif de retour.



Retour sur l'histoire compliquée de la Palestine depuis l'arrivée des premiers sionistes jusqu'à la naissance d'Israël:


La Palestine ottomane

1878: Première colonie agricole sioniste en Palestine, territoire situé dans l'empire ottoman. Le sionisme, qui se développe à la fin du 19e siècle, est une théorie politique qui prône la création d'un état juif. Cette théorie s'appuie autant sur des thèses religieuses (la bible) que sur des idées nationalistes non religieuses en vogue en Europe.

1882: Environ 25.000 immigrants juifs, venus majoritairement d'Europe de l'Est, s'installent en Palestine. En Russie, la multiplication des pogroms provoquent le départ de nombreux juifs. C'est de cette émigration que naît, en Palestine, l'hébreu moderne.

1896-1898: Le journaliste austro-hongrois Théodore Herzl publie Der Judenstaat (l'Etat des Juifs) dans lequel il préconise la naissance d'un Etat juif. Naissance du mouvement sioniste.

1897: premier congrès sioniste mondial.

1901 : Création du Fonds national juif destiné à acheter des terres en Palestine. Une question qui ne cessera de peser sur les relations entre les migrants juifs et les Arabes (surtout après 1918, obligeant les Britanniques à intervenir).

1907: fondation du premier kibboutz (ferme collective juive)

1909: fondation de Tel-Aviv

1904-1914: 40.000 immigrants juifs sont arrivés en Palestine qui représentent désormais environ 6% des habitants de la région à la veille de la première guerre mondiale orchestré par le Prince de Galles (plus tard Edouard VII) en but de briser la coopération entre l’Allemagne de Bismarck, grande puissance économique, et la Russie d'Alexandre II (ex. projet de chemin de fer Berlin-Bagdad qui représentait une menace a visage économique)

1916: Accord secrets Sykes-Picot: Britanniques et Français se partagent les futures dépouilles de l'empire ottoman au Proche-Orient.

26 mars 1917 : Batailles de Gaza-Beersheba
http://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Gaza_/_Beersheba
L'Empire Britannique finira par chasser l'armée turque de Gaza

1916-1922: Dans la course au contrôle du "pétrole arabe", les Britanniques instaurèrent des régimes fantoches dirigés par des princes arabes (Hussein ibn Ali), dans le contexte du partage global de la région en sphères d’influence. Ces princes arabes jouant le jeu des intêrets britanniques (cf. T.E. Laurence d'Arabie). Finalement, après le démantèlement de l'Empire Ottoman, les Arabes aspirant à l'indépendance, les Anglais leur attribueront une autonomie locale dans le cadre d’un protectorat britannique (Ronald Storrs, le secrétaire de Horatio Herbert Kitchener au Caire, qui occupait les fonctions de pro-consul en Egypte, qui quittera ce post en août 1914 pour celui de ministre de la Guerre, prône la création d’un « empire égyptien » dont le chérif de La Mecque serait le calife, flanqué d’un roi d’Egypte, supervisé par H. H. Kitchener)

1916-1926: la compétition entre la France, les Etats-Unis et l’Angleterre pour les vastes réserves pétrolières de Mossoul devient critique. Un accord secret est alors signé pour le partage de pétrole à la conférence de San Remo en 1920. On apprend que lors du traité de Mossoul en 1926, l’Irak exerçait un contrôle officiel sur la région pétrolière et les royalties étaient réparties entre les compagnies pétrolières britanniques (à 52,5 %), américaines (à 21,25 %) et françaises (à 21,25 %).

L'Empire Ottoman dépouillé, il ne manquait plus que le verrouillage des plages de la Palestine pour assurer aux britanniques tout le contrôle des "territoires a pétrole" de la région.

1917: le Royaume-Uni publie la Déclaration Balfour le 2 novembre (du nom d’Arthur Balfour à l’époque ministre des Affaires étrangères) dans laquelle il se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif soumis néanmoins a certains quotas britanniques (entre autre restriction sur le nombre de pionniers sionistes)




La Palestine mandataire (britannique)

1919: affrontements judéo-arabes programmés par les Anglais pour empêcher Arabes et Juifs d’unir leurs forces.

1920-1922: les vainqueurs de la première guerre, puis le 24 juillet 1922 la Société des Nations, attribuent la Palestine au Royaume-Uni, malgrès les visées françaises sur la Palestine. Les nationalistes arabes voient leur rêve d'indépendance disparaître.

Le jeu des Anglais était double: ils disaient aux Arabes qu’ils n’avaient pas l’intention de favoriser la création d’un Etat juif, tout en affirmant aux représentants sionistes que telle était bien leur intention.

1920: création de la Haganah (organisation clandestine sioniste qui se voulait une force de protection pour les juifs ayant émigré en Palestine).

1922: Ben Gourion déclarait: "le seul souci qui doit imprimer et dominer notre action est la conquête de notre terre et son redressement par une énorme immigration. Tout le reste est rhétorique".

1929 : affrontements entre Juifs et Arabes.

1931: création de l'Irgoun (scission nationaliste de la Haganah).

1933 : arrivée d'Hitler au pouvoir.

1936-1939 : augmentation de la population juive. Révolte arabe qui donne lieu à des attaques contre les installations juives, à une grève générale et à des affrontements avec les troupes britanniques qui refusent toute indépendance aux "Palestiniens".

1937 : une commission d’enquête sur les «violences au Proche-Orient » (dite commission Peel) recommande pour la première fois la partition de la Palestine.

1938: nuit de cristal dans l'Allemagne nazie.

1939: livre blanc britannique (fixant un "quota" d'immigration juive en Palestine mandataire).

1944: les groupes juifs multiplient les attaques contre les forces britanniques en Palestine. Parmi les actions les plus marquantes de cette 'guerre', le meurtre du "ministre résident" britannique au Caire, Lord Moyne.



L'après deuxième guerre mondiale

1945-1946: La Palestine est toujours sous mandat britannique qui continue à appliquer son livre blanc. La SDN est remplacée par l'ONU en juin 1945. Les juifs immigrants illégaux vers la Palestine sont retenus par les Britanniques dans des camps sur l'île de Chypre.

1946 : le 22 juillet des membres de l'Irgoun de Menahem Begin font sauter une partie du King David, hôtel de Jérusalem qui abrite une partie du gouvernement britannique. 91 morts.

1947 : le bateau Exodus, abritant des rescapés des camps nazis, est refoulé par les Britanniques.


Le 27 février les Britanniques portent la question palestinienne devant l'ONU.

1947 : le rêve sioniste aboutit avec le vote le 29 novembre par l'ONU (résolution 181), de la partition de la Palestine en deux états, un pour les Arabes, un pour les Juifs qui bénéficient de 54% de la Palestine mandataire. La ville de Jérusalem est placée sous administration internationale.

1947-1948: dès l'annonce du partage, les accrochages se multiplient dans toute la Palestine entre Juifs et Arabes. Sur les origines et l'importance de ces combats, les historiens ne sont pas d'accord même si les recherches historiques récentes montrent que les sionistes sont en grande partie responsables de la violence qui règne dans ce qui est encore, jusqu'au 14 mai 1948, le Yishouv (communauté juive de Palestine) et dans toute la Palestine convoitée par les sionistes. Attentats et contre-attentats se multiplient sous l'oeil généralement indifférent des Britanniques.

1948 : le massacre de Deir Yassin du 9 avril commis par l'Irgoun et le Lehi (ex groupe Stern) fit entre 100 et 120 morts et est resté, jusqu'à nos jours, le plus symbolique de l'époque bien que d'autres massacres, parfois faisant plus de victimes, se sont déroulés pendant cette période. Pour de multiples raisons, l'impact de celui-ci fut néanmoins beaucoup plus important.

1948 : la politique israélienne et la guerre israélo-arabe ont permis à l'état juif d'agrandir sa superficie de 30% au détriment de l'état arabe qui ne voit pas le jour (la Cisjordanie est annexée par la Jordanie). Quelque 900.000 Palestiniens sont expulsés (ou fuient) de ce qui devient Israël.

Le 14 mai, jour du départ des Anglais de Palestine, Israël, par la voix de David Ben Gourion (1886-1973), proclame son indépendance.

Le 11 décembre l'Onu vote une résolution prévoyant le retour des réfugiés (résolution 194). L'UNRWA (service de l'Onu sur les réfugiés) estime à 914.221 le nombre de réfugiés palestiniens. Résolution laissée lettre morte.

1948: le médiateur des Nations unies en Palestine, nommé le 20 juin, le suédois Folke Bernadotte, est assassiné à Jérusalem le 17 septembre par des Israéliens. Il tentait de mettre sur pied un plan de partage acceptable par les deux parties et souhaitait (déjà trouver une solution au drame des réfugiés palestiniens.

1949 : un ultime cessez-le-feu est imposé avec succès sous la pression conjointe des Britanniques et des Américains. Le 24 février, Israéliens et Égyptiens signent à Rhodes, sous l'égide de l'ONU, un accord d'armistice et des accords de cessation des combats sont signées avec les autres protagonistes les mois suivants.



Les 60 ans de l'Etat d'Israël

1956: guerre de Suez. Israël, la Grande Bretagne et la France attaquent l'Egypte de Nasser.

1967: guerre des Six Jours. Au terme Jérusalem sera controlée par Israël (6000 km^2 à l'armistice de 1949), de même pour le Golan, et le Sinaï: début de la colonisation. Se met en place le terrorisme dont le docteur Arafat sera l'âme. Gaza est liberée de l'occupation égyptienne, il s'y en suit une immigration de 170 000 réfugiés.

1973: durant une semaine les blindés égyptiens et syriens bousculent l’état-major israélien, avant que le Général Rabin ne lance une contre-offensive victorieuse. On parlera depuis de la stratégie Rabin.

26 mars 1979: signature du Traité de paix israélo-égyptien à Washington, à la suite des Accords de Camp David de 1978. L'Égypte est alors le premier pays arabe à signer un traité de paix et à reconnaître l'Etat d'Israël.

1980: Israël proclame Jérusalem sa capitale.

1982: Israël envahit le Sud-Liban. Ce qui débouchera sur un conflit long et sanglant. Israël finira par s'en retirer partiellement en 1985 puis totalement en 2000.

1987: premier soulevement palestinien de l'Intifada dans les territoires occupées.

1993: Accords d'Oslo: reconnaissance mutuelle d'Israël et création de l'autorité nationale Palestinienne.

26 octobre 1994: Yitzhak Rabin signe un traité de paix avec la Jordanie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_paix_isra%C3%A9lo-jordanien

4 mai 1994: Accord de Jéricho-Gaza qui investit la nouvelle Autorité Nationale Palestinienne de pouvoirs limités.

28 septembre 1995: Accord de Taba, accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza qui prévoit les premières élections du Conseil Législatif Palestinien et implique un découpage négocié des territoires palestiniens en zones où les contrôles israélien et palestinien s'appliquent de façon différente, dans l'attente de l'aboutissement des négociations toujours en cours.

Le 4 novembre 1995: Assassinat du Premier ministre israëlien Ytzhak Rabin, le "Kennedy israélien", suivi d'une vague d'attentats suicides.
Deux conséquences majeures : le processus de paix israélo-palestinien a ainsi été grandement freiné, et s'élargit la fracture dans la société israélienne entre les religieux et les laïcs.

1996: Lancement du plan Clean Break par Dick Cheney, adopté par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou : plan qui prévoit des changements de régimes (au moyen de guerres et de putschs) en Irak, en Syrie, au Liban et en Iran. Il ne deviendra opérationnel qu'à partir de la guerre d’Irak en 2003.

2000: L'echec des pourparlers rallume une deuxième "guerre des pierres": Sharon façe à Arafat à Ramallah.

2001 Sharon arrive au pouvoir, il partage avec le Hamas (crée en 1987) le rejet des accords d’Oslo. Tout acte de terrorisme sera systématiquement attribué à Arafat, confiné dans le quartier général de l’OLP à Ramallah.

2003: construction de la barrière de sécurité autour des territoires occupés: en Cisjordanie 750km d'un mur de béton s'élevant à 9m.

A ce stade: les Anglais se trouvent à nouveau à Bassorah, protégeant ses riches champs de pétrole, tandis que leurs partenaires, Bush et Cheney, luttent pour maintenir leur contrôle sur Bagdad. Les Anglo-Américains ont promis aux Irakiens l’« indépendance », la « souveraineté », la « liberté » et la « démocratie ». Des unités militaires arabes, organisées en milices ou suivant des clans, se battent aux côtés des armées anglo-américaines, non contre un autre empire (les ottomans), mais contre le peuple irakien qui se soulève contre ce nouveau joug impérialiste.
L’Iran se trouve dans la ligne de mire, enjeu des intérêts rivaux entre la Russie et les Anglo-Américains. Et les Français lorgnent sur la Syrie et le Liban.

2007: Par deux fois l'accord de paix israélo-syrien échoue. La première fois, en septembre 2007, où ce fut le bombardement d’un site industriel en Syrie (soupçonné d’abriter des éléments d’une centrale nucléaire) qui fit échouer le projet. La deuxième fois, ce fut l’assassinat du chef présumé du service de sécurité du Hezbollah libanais, Imad Mugniyah, par certains services secrets, qui mit un terme au processus de paix.

Novemebre 2007: se tient la conférence de la "Paix" à Annapolis, rassemblant une cinquantaine de pays et organisations, notamment 16 pays arabes participant pour la première fois à une réunion de paix au côté d'Israël: le Hamas n'est pas invité.
Selon les experts, le contexte stratégique de la conférence d’Annapolis est tracé par la stratégie néo-conservatrice de « guerre préventive globale » contre la « menace islamiste » que les fondamentalistes chrétiens de droite des Etats-Unis ont élaboré. L'International Crisis Group (IGC) soutient que « le principal objectif à l’origine de la conférence est de marginaliser et d’affaiblir le Hamas ».

Le 13 avril 2008, l’ancien président américain Jimmy Carter exprime sa volonté de rencontrer les dirigeants du Hamas afin de les amener à coopérer avec le Fatah, formant ainsi un seul groupe capable d’unifier les Palestiniens.
Jimmy Carter ajouta qu’un sondage indiquait que 64% des Israéliens sont en faveur un dialogue avec le Hamas. Le Bloc de la Paix (Gush Shalom), âme du mouvement de la paix en Israël, a adressé une lettre ouverte félicitant Carter de sa décision de rencontrer Khaled Meshaal et d’autres dirigeants du Hamas, à Damas. Lorsque Jimmy Carter rencontra le président israélien Shimon Peres, ce dernier s’est dit consterné par la volonté de l’ancien président de rencontrer le Hamas lors de sa visite à Damas.

Décembre 2008: Un an après la conférence de "paix" d'Annapolis :
http://www.france-palestine.org/article10511.html


19 décembre 2008: commence la guerre de Gaza: expiration de la trêve de 6 mois conclue entre le Hamas et Israël. Le Hamas reprend les tirs de roquettes vers le territoire israëlien. A ce jour le conflit n'est pas terminée à Gaza.
Selon certaines analyses, cette guerre ne serait que le premier chapitre d’une nouvelle ère dans la région du Sud-Ouest Asiatique. Les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite ont activement armé le Fatah al-Islam au Liban pour lutter contre l’influence du Hezbollah, ainsi que les sunnites d’Irak pour en faire des soldats anti-Iraniens ; Dick Cheney et le Prince Bandar sont suspectés d’avoir également armé certaines factions et milices du Fatah palestinien afin de déclencher la guerre fratricide qui a mené à la destruction du gouvernement d’Union nationale et à l’isolement du Hamas.

Complément bande de Gaza: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bande_de_Gaza


Edité le 16-01-2009 à 00:47:46 par Ase


 
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